Encore ces foutus barbares arabes à barbe! Shit…
Un respectable correspondant, lui-même juif néo-converti à ce qu’il paraît, a attiré mon attention sur des pratiques barbares auxquelles se seraient adonné récemment des groupes de musulmans, à Ste-Anne de Sabrevois, à L’Assomption et au Mont St-Grégoire.
égorgé 158 moutons=cruauté envers les animaux. Mais ça tu n’en parle pas. – commentaire non publié, 9 novembre, 11h23
Je plaide coupable à l’accusation de ne pas avoir dénoncé cette barbarie sans nom dès l’instant où la nouvelle en est parvenue à mes oreilles de vieil agnostique à la conscience élastique tique tic et tac et toque.
Malheureusement, mon informateur bénévole avait omis de fournir un hyperlien, sans lequel il m’avait semblé difficile de faire de ce fait divers un topo digne de l’intelligence de mes lecteurs. J’ai donc cherché, et j’ai trouvé ce texte de Charles Payette, du réseau Cogéco Nouvelles:
Des dizaines de moutons ont été égorgés, dimanche, notamment en Montérégie, lors d’une fête musulmane.
[…] On questionne le fait que les bêtes aient été abattues hors d’un abattoir. Des citoyens ont rapporté l’abattage de moutons dans d’autres municipalités.
[…] Les musulmans pratiquants fêtent l’Aïd-el-Kébir ou Aïd-el-Adha en souvenir du sacrifice commis par Ibrahim, en soumission totale à Dieu.
Acceptant de tuer son propre fils, Dieu aurait remplacé ce dernier par un mouton, juste avant qu’Ibrahim ne porte le coup fatal.
La tradition veut que les musulmans fêtent l’Aïd-el-Kébir en égorgeant un mouton, sans anesthésie, couché sur le flanc gauche et regardant vers la Mecque.
Retour, donc, à la légende de ce héros biblique qu’était Abraham, prêt à sacrifier son propre fils pour démontrer sa foi en Yaweh.
Et si on parlait maintenant de la cruauté cachère?
Qu’un juif respectable se préoccupe ainsi du sort de 158 ovins, c’est très bien. Qu’il me soit permis de le rassurer; il ressort des entrevues dirigées par Paul Arcand, du 98,5 Montréal, que les viscères, le sang et les carcasses des animaux abattus ont été mis dans des sacs et ne souilleront pas notre environnement. L’abattage n’en demeure pas moins préoccupant; la liberté de religion et les accommodements raisonnables, j’en suis, mais il y a des limites que moi, je n’accepterai pas de franchir. En voici une…
Je m’étonne par ailleurs – moi qui suis agnostique – de constater qu’un respectable juif soit si mal informé. La critique qu’il adresse à certains membres de la communauté musulmane se retourne invariablement contre des juifs pratiquants, coupables d’encourager eux-mêmes des pratiques tout aussi odieuses, par leur consommation de viande d’animaux abattus selon des rites tout aussi contraires à nos valeurs occidentales.
Today’s kosher meat comes from the same abusive factory farms as all other meat. Despite the humane intention and spirit of the Jewish dietary laws, there are no standards to ensure that kosher slaughter is any less cruel than conventional slaughter. In some instances, it’s been shown to be much worse.
In the face of horrifically cruel and ecologically devastating factory farms and a kosher industry that has sanctioned even the most grisly abuse of animals, it’s difficult to see how eating animals is compatible with Jewish values. – PETA.org
Nombreux sont les Juifs qui ont reçu un Nobel en reconnaissance de leur contribution à la culture ou à la science universelle, comme le sage docteur Mange-Grenouille se charge de le rappeler à la plèbe. Mais Mange-Grenouille n’a jamais parlé de Isaac Bashevis Singer. Probablement parce que la littérature, c’est pas aussi valorisant que la biophysique moléculaire. Bof!
To be a vegetarian is to disagree—to disagree with the course of things today. … [S]tarvation, cruelty—we must make a statement against these things. Vegetarianism is my statement. And I think it’s a strong one.
—Isaac Bashevis Singer, Yiddish writer and Nobel laureate
Une autre source, tout aussi édifiante: l’encyclopédie universelle
Un aide, genou sur la bête, ramène en arrière et immobilise la tête du boeuf, l’offrant à l’égorgement du sacrificateur. Là, le sacrificateur égorge l’animal à l’aide d’un couteau à lame longue, parfaitement effilée, et au manche court.
L’abattage rituel pose un problème encore épineux. L’abattage israélite requiert que l’animal soit pleinement conscient au moment où il est tué; l’étourdissement n’est donc pas possible pour que la viande soit cachère, c’est à dire, reconnue propre à la consommation humaine.
Avantage, tout de même, à la cruauté telle que pratiquée par les Juifs: bref retour sur l’abattage artisanal tel que pratiqué à l’occasion de la fête musulmane de l’Aïd el Kébir, celui dont traitait Paul Arcand.
L’abattage musulman pose des problèmes encore plus graves. Là encore, l’animal doit être conscient au moment où il est égorgé, ce qui est une grave source de souffrances. Mais de plus, l’égorgement est loin d’être toujours pratiqué avec le même soin et sérieux que dans les rites israélites (à noter d’ailleurs que la viande cachère est automatiquement hallal, c’est à dire consommable par les musulmans, alors que l’inverse est faux).
Durant la fête de l’Aïd el Kébir, nombreux sont les musulmans qui se croient obligés de tuer eux-mêmes le mouton qu’ils vont consommer. Or, ces personnes n’ont aucune connaissance de l’abattage, sont souvent très maladroites, et utilisent un matériel inadéquat.
Chu coupable de rien, nous dit le respectable juif; ma cruauté de juif est moins cruelle que celle dont fait preuve le musulman!
En conclusion:
Comme cela se pratique couramment, l’abattage Casher constitue une violation atroce des principes de base du Judaïsme et de son héritage. Un chapître entier du Talmud est consacré au commandement, tsa’ar ba’alei hayim, la prévention de la souffrance des animaux. Il est clairement exposé dans le Code de Loi Juive: « Il est interdit, selon la loi du Torah d’infliger la douleur sur n’importe quelle créature vivante. » En outre « Schechitah », la méthode d’abattage orthodoxe Juive rituelle, particulièrement barbare, est certainement celle qui entraine une plus grande souffrance d’une manière légale dans le monde occidental.
[…] J’ai visité une chaîne d’abattage casher: Ils frappaient les murs et leur mugissement pourrait être écouté jusqu’au bout dans le parking. Pour installer les chaînes sur le bétail vivant, ils utilisaient un stylo qui piquait l’animal pour le faire tomber. A quelque distance, la tête de l’animal suspendue est maintenue par le nez connecté à un cylindre aérien. L’étirement du cou par le nez est douloureux. La suspension à l’envers provoque aussi un grand malaise puisque que le ruminant appuie sur le diaphragme. »
L’animal bouge par saccades en se tordant durant 2-5 minutes pendant qu’il est suspendu et avant que sa gorge ne soit tranchée jusqu’à l’os, la chair déchirée et des ligaments souvent rompus, même des fractures dans certains cas. Une mort très douloureuse![…] Ne tombez pas dans ce piège où l’on vous traitera immédiatement de raciste car même les pratiquants religieux commencent à rejeter ces méthodes archaïques d’abattage.
http://sepharade2.superforum.fr/t64357-difference-entre-l-abattage-hallal-et-cachere
Personne n’a osé parler de certains mets favoris en Asie, particulièrement en Chine. Quand on a une population de 1,3 milliard (1 300 000 000) d’habitants, on protéine son alimentation comme on le peut, et cela dure depuis des centaines, voire des milliers, d’années. Ici, ce n’est pas une question de religion.
Âmes et coeurs sensibles, abstenez-vous. D’ailleurs, je ne vous décrirai pas les pires images filmées que j’ai vues avec ma femme, chinoise d’Outremont, dans un reportage il y a bien une vingtaine d’années. Nous en étions tous deux horrifiés. Si vous êtes persuadés que l’égorgement animal rituel est une vraie barbarerie, les méthodes ancestrales chinoises dépassent tout. Je ne vous décrirai pas non plus la préparation traditionnelle millénaire du plat probablement le plus cher de tous sur la planète, le mets simien, non montré dans toute sa « splendeur » dans le second hyperlien ci-dessous.
À propos de l’alimentation chinoise, un éminent philosophe juif états-unien a affirmé que les Chinois étaient, selon lui, le peuple le plus logique de tous en matière d’alimentation et de choix des aliments, le plus diversifié de tous. Par conséquent, tout pourrait être mangé, bien que la majorité des vidéos et des textes soit axée sur deux espèces d’animaux de compagnie. Une situation où l’homme n’est pas leur meilleur ami et l’a rarement été de toute façon… Je ne remonterai pas non plus dans l’histoire passée du Quartier chinois de Montréal et d’autres grandes villes, probablement.
Peut-on associer chow-chow à chow mein ? Non. Du moins, pas nécessairement, j’ajouterais à la blague, mais sachez que chow peut signifier manger. D’ailleurs, un article du National Geographic des années soixante-dix (de mémoire) décrivait le chow-chow : chien chinois à l’épais pelage, à la truffe camuse puissante, à la langue violacée, au cou trappu et aux pattes épaisses et robustes, mais aussi son utilité ou triple rôle : défendre le maître contre les humains, défendre le maître contre les chiens, nourrir le maître.
Dans les combats de chiens, on n’en a que pour le pitbull, mais le chow-chow, en raison de son pelage, de son coup , de sa truffe , ainsi que de ses pattes, est historiquement le chien le mieux doté pour résister aux attaques et morsures du pitbull, qui, pendant qu’il essaie d’étouffer le chow-chow, peut se voir casser une patte par le puissant étau qu’est la gueule du chow-chow, qui n’a qu’à se pencher et saisir la première patte à sa portée. Un chien de combat n’a plus les mêmes facultés physiques et mentales quand il ne peut compter que sur trois pattes, la quatrième étant devenue un obstacle incontournable et excessivement douloureux de surcroît…
http://www.liveleak.com/view?i=5fe_1254103917
http://en.wikipedia.org/wiki/Monkey_brains_(cuisine)
Petit rappel : l’homme (la femme aussi, koval) est un animal.
Les sportifs qui s’adonnent à la pêche ne prennent pas toujours la précaution « humaine » de tuer leurs prises d’un bon coup asséné sur la tête. Très souvent, les poissons sont décrochés de l’hameçon et laissés au fond de l’embarcation, où ils s’étouffent durant de longues minutes…
Papitibi,
Hors-objet, mais pas tant que cela.
Drôle, votre photo shoppée…
948 jours plus tard, John James a compris quoi, au fait ?
Qu’il n’aura qu’à déclencher une élection avant que les preuves de la Commission Charbonneau l’accusent et le terrassent, lui et son parti et possiblement le parti au pouvoir précédent ?
C’est donc qu’il ne se représentera pas. Ni à Ottawa.
Je suis le seul correspondant… So be it.
Toujours à propos de bouffe, ultracachère, un article au sujet d’un arabophage, un bouffeur d’arabes, plus précisément un palestinophage.
http://www.gilad.co.uk/writings/dershowitz-lies-and-glitches-by-gilad-atzmon.html
« Petit rappel : l’homme (la femme aussi, koval) est un animal. »
Pourquoi tu me gosses?
On s’aime pas toi et moi c’est clair, en tout cas, moi je ne m’entends pas du tout avec toi et j’en fais pas un plat, je passe à autre chose, ma dernière escarmouche ici avec Papi m’a fait réalisé que ces discussions m’attristaient plus qu’autre chose…
Je n’ai plus envie de discuter sur cette tribune, elle est toute pour toi et votre con du dîner, vous l’avez déjà…
Alors tes ptites allusions à moi m’emmerdent, j’suis pas trop d’humeur et j’aimerais que ça cesse et qu’on en reste là!
À koval,
Your wish is my command!
Même l’humour ne passe pas. Dommage…
La publication de commentaires, ce n’est pas un match à finir avec quiconque avec lequel on est en déasccord, au cas où vous l’auriez oublié, mais un échange d’opinions. Le tout est de savoir le faire respectueusement, dans les deux sens.
Quant au con du dîner, comme vous le nommez, je rien dit de lui avant que je lise un de ses commentaires à mon encontre dans un autre blogue. Quand son propos où l’objet de son propos ne m’intéresse pas ou ne n’a pas attaqué, je n’écris rien.
Vous ne devriez peut-être pas juger les gens si vite et faire des commentaires si radicaux. Procéderiez-vous de la même manière si nous étions en train de discuter au lieu de s’écrire ?
La clé est le respect, à mon avis de vieux (que voulez-vous, je suis beaucoup plus sage et pausé que dans la vingtaine, et là, nous aurions eu du matériel explosif à s’échanger).
Je m’excuse si je vous ai blessée, car là n’était pas mon intention, sauf si l’un de vos commentaires à mon endroit a été pris comme une attaque de front, à laquelle la réplique ne laissera aucune ouverture au flanc.
Je ne vous écrirai plus. Bonne continuité.
« Même l’humour ne passe pas. Dommage… »
Ça prend une certaine proximité pour l’humour….
« Vous ne devriez peut-être pas juger les gens si vite et faire des commentaires si radicaux. »
Relis-toi, c’est toi qui me juge, c’est comme si j’étais la seule ici à manquer de respect…
Je ne te juge pas moi!
Je dis simplement qu’en tant que jeune et femme, j’en ai rien foutre de ces discussions où les grands singes alpha ont toujours raison….
Bonne continuité!
Vous les blastez, vous les jugez, non ? Vous me blastez, vous me jugez.
Je vous vouvoie… Et je n’ai certainement pas écrit que vous étiez la seule à manquer de respect.
Mes commentaires ne sont pas aussi radicaux que de mettre tout le monde devant le fait accompli que je ne reviendrai plus dans le blogue de Papitibi.
Les singes alpha et les guenons alpha sont des mots qui vont très bien ensemble, surtout s’il s’agit de bonobos, de vrais bonobos.
Je me suis même excusé, et c’est comme si j’étais le seul de nous deux à pouvoir le faire, sans devoir le faire, en réalité.
Quant à l’humour, je pense plutôt que ça prend un certain détachement. L’amour, ça prend une certaine proximité…
C’est fini ! Je reviens plus souvent dans ce site ! Merci de m’avoir convaincu du devoir à accomplir 🙂 🙂 🙂
Tu m’en veux vraiment d’être revenue, c’est un reproche??
J’ai fait une dernière tentative sur le sujet du progres vs la survie.
J’ai fait une dernière tentative qui fut malheureuse parce que je m’en voulais de calisser là Papi et son blogue à cause de l’empoingne entre nous deux.
D’autres reproches? Shoot-les tous qu’on en finisse!!
@ mangouste
Avec 1,3 milliard d’individus, je suppose que les Chinois n’ont pas trop le choix de trouver leurs protéines où ils le peuvent, mais de voir ces pauvres chiens et chats promis à la casserole fait mal au coeur. Les amis de l’homme, et c’est le sort qu’on leur réserve.
Quant aux sacrifices d’animaux pour des raisons religieuses, ça n’a plus se place de nos jour et la société devrait l’interdire. Les animaux souffrent déjà suffisamment dans notre monde sans qu’on ait besoin en plus de rendre gloire à Dieu en les égorgeant! C’est une idée d’une autre époque.
Ceci dit, il y a bien d’autres circonstances qui mériteraient d’être revues en ce qui concerne nos comportement envers les animaux. Dont la chasse sportive, et l’élevage industriel pour satisfaire nos envies de manger carné. Deux péchés dont je suis exempts et que je peux dénoncer. 😉
Bonne soirée!
Le sacrifice d’animal est interdit par l’Islam et le Judaisme, que je sache. Ne mélangeons pas les choses.
@the Ubbergeek
Qui mélange quoi ici? Ce n’est pas moi qui le dit:
« L’aïd el-Kebir qui commémore le sacrifice d’Ibrahim est la fête musulmane la plus importante. A la différence que chez les musulmans il s’agit d’ismael et non d’issac. Elle marque chaque année la fin du Hajj (pèlerinage à La Mecque), le dernier mois du calendrier musulman. Chaque famille musulmane, dans la mesure de ses moyens, sacrifie un mouton, ou un autre animal, en l’égorgeant couché sur le flanc gauche et la tête tournée vers La Mecque. »
Oui, mais attention – il possible que ce soit un ajout ultérieur (survivance pré-islamiste? Il y a des traditions des ages pré-Islam qui ont survécut), car ce n’est pas dans le Coran, que je sache.
Comme les saints en catholicisme.
Quelle que soit l’origine de cette pratique, il faut avouer que ce n’est pas ce genre de détail qui turlupine les moutons quand ils ont le couteau sur le gorgoton.
Pauvre petite bêêêêête!
À Spritzer,
J’ai la conviction que nous sommes plus animaux que les animaux, malgré notre supposée intelligence, siège de notre soi-disant sagesse, donc de notre supériorité indiscutable sur le reste du règne animal.
Cette conviction de notre supériorité va jusqu’à persuader des gens qui croient en un dieu que les animaux, tous les animaux, n’ont aucune intelligence, que leurs agissements ne sont dictés que par l’instinct. Le Petit Robert donne comme définition au mot « animal » ceci :
« I (Concept général, incluant l’homme) 1. Être vivant organisé, doué de sensibilité et de motilité, hétérotrophe (difficile à distinguer du végétal à l’état unicellulaire).
« II (Concept excluant l’homme) Être vivant non végétal, ne possédant pas les caractéristiques de l’espèce humaine (langage articulé, fonction symbolique, etc.).
Des biologistes pourraient contredire l’assertion d’absence de langage articulé chez les dauphins et de nombreux autres cétacés. Le corbeau n’est pas en reste dans la démonstration d’intelligence.
http://www.edutube.org/fr/video/intelligent-crow-uses-small-stick-get-large-stick-get-food
http://www.ted.com/talks/lang/fre_fr/joshua_klein_on_the_intelligence_of_crows.html
Klein fait le commentaire erroné de l’absence de corbeaux dans l’Arctique, alors qu’il voulait probablement dire l’Antarctique. Le corbeau est très présent dans l’Arctique et s’amuse à chercher sa nourriture chez les humains, dans les barrils servant aux ordures, au nez des chiens attachés devant les maisons : un corbeau s’approche du chien à la marche jusqu’à ce dernier, rendu au bout de sa chaîne soit assez près du corbeau pour penser en faire une bouchée. Le corbeau maintient l’attention et les efforts du chien rivés sur lui, alors que les amis du corbeau fouillent l’intérieur du barril d’ordures, prennent ce qui les intéresse et déguerpissent ensuite pour aller casser la croûte avec le corbeau chargé de la diversion.
@Mangouste 19:58
Quand elle a soif de caresses, l’aînée de mes deux chattes se pointe sur l’accoudoir et dépose une patte sur mon avant-bras. Et me regarde, bien sûr, de ses yeux langoureux. Suffit que j’agite à mon tour quelques doigts sur son dos pour qu’il frémisse et se dresse – en même temps que la queue soyeuse.
À d’autres moments, c’est sa tête qu’elle m’offre, en la frottant sur moi.
Dénué de langage, le chat? Et je ne parle pas des miaulements de la chatte sur le point de mettre bas; c’est son angoisse qu’elle exprime. Pas mal différent du miaulement du chat qui a faim… ou qui cherche, le matin, à faire sortir de sa chambre son humain qui y dort derrière une porte close…
Et on dit les chats indépendants…
papitibi dit :
10 novembre 2011 à 20:54
Ce ne sont pas des animaux de compagnie pour rien, les chats et les chiens, au point qu’on les utilise de plus en plus pour des traitements thérapeutiques chez les aînés trop souvent seuls.
Comme je l’ai déjà écrit, un ami avait dressé son chat à écouter et à obéir aux commandements exactement comme on le ferait pour un chien.
Quand je joue de près avec lui et que je lui montre beaucoup d’affection et de taquinerie, l’un de mes huskies, celui qui a un pelage caramel, essaie littéralement de me parler en faisant toutes sortes de bruits doux, variés en intensité et en tonalité, exactement comme s’il essayait de faire des vocalises.
L’autre, qui ressemble un peu à un loup blanc par sa teinte, mais avec un fascies de coyote, gronde doucement comme je le fais quand je le caresse et lui donne des bisous. Deux frères, deux personnalités différentes.
Chaque matin, quand je vais les rejoindre à l’extérieur (les chiens nordiques sont des chiens d’extérieur parce qu’ils ont besoin de bouger, de courir [avec ou sans écureuils pour les stimuler]), je m’assieds sur le haut de l’escalier de la terrasse, et chacun choisit son côté, enfonce son museau sous mes bras par derrière et ressort devant pour se faire caresser. Pour profiter davantage de la première rencontre matinale, ils s’allongent tous deux sur le côté, tête à tête, pour que je puisse vraiment les caresser ensemble, sans qu’ils bougent.
Chaque matin est une démonstration d’affection canine comme si la nuit avait duré plus d’une semaine.
Le chien, le meilleur ami de l’homme, oh que si, mais pas toujours vice versa. C’est une relation que l’humain oublie trop souvent d’entretenir, et on en voit les résultats dans les centres d’hébergement d’aminaux abandonnés, et c’est encore pire pour les chats, semble-t-il.
Tient le chien galeux islamique papitibi qui défend ses islamistes chéris.On devrait te déporter direct en Arabie Saoudite pour t`assiste en direct à des décapitation au sabre en public,à des pendaison de gai en public,à des lapidation en public,tu pourrais même y participer le chien galeux islamique que t`es.Tu pourrais aussi te crisser une ceinture de bombe et te faire exploser au nom du chien Allah en Irak.On serait débarrassé d`un petit criss de juriste islamiste minable.Aille tu dois pleurer,ton idole Anjem Choudary s`est fait fouiller sa maison en Angleterre.
@ Jack dit le trou de cul
Dans ce billet, je parle de pratiques barbares. De barbarie sans nom.
Je parle également de l’abattage cachère – non pas parce que j’approuve l’abattage par les barbus, mais parce que les Juifs sont assez mal placés pour dénoncer une forme de barbarie qu’ils pratiquent eux-mêmes.
Et malgré tout, et tout en dénonçant l’abattage cachère, je mentionnais que l’abattage musulman pose des problèmes encore plus graves..
Et ton cerveau de pomme de terre bouillie te fait néanmoins conclure que je défends mes islamistes chéris?
Alors va chier, trou de cul.
L’enfoiré est de retour.
C’est votre blogue Papi, vous savez ce que vous faites, mais comme ma mère disait: invite un cochon dans ta maison et il va chier sur ton perron.
Ça ne vaut même pas la peine de tenter d’expliquer la moindre chose à ce crétin dégénéré. Sa place est dans la sou à cochon!
J’admets cependant qu’il écrit moins comme un débile profond comme il le fait chez Hétu, là où il se retient. C’est ce que ça donne quand on essaie de travestir sa vraie nature; on a l’air encore plus débile, si c’est possible.
@Spritzer
Plus il en chie, et plus il a le cul sale!
Surtout que sa maman – qu’il haït pour s’en confesser – a quitté son papa avant de lui enseigner l’usage du papier-cul.
Il pue tellement de l’entre-fesses que la plupart des restaurateurs de Valleyfield ne peuvent plus le sentir.
Au propre comme au figuré…
J’ai pitié de lui; c’est pourquoi j’accepte sa présence à mon « souper de con ».
Le dîner, c’est réservé à Jean-Luc…
À Papitibi,
« Le dîner, c’est réservé à Jean-Luc… »
Aïïïïe ! Vous allez vous faire ruer avec cette allusion, et c’est moi qui vais écoper et devoir nettoyer tout cela. Vous avez une idée de la corvée que représente tout ce déféquage de cons ? Les écuries d’Augias, c’était rien en comparaison. Le crottin est tellement moins merdique…
« Il pue tellement de l’entre-fesses que la plupart des restaurateurs de Valleyfield ne peuvent plus le sentir. »
Bien normal. Le cric de bois a tellement peur de se retrouver face à face à un islamiste qu’il se tient les deux fesses serrées 24 heures sur 24.
Jackstrap a une fixation sur Anjem Chaudron…pourtant quasi personne sait qui il est…il habite meme pas ici…t’se quand t’es parano
jackwood dit :
11 novembre 2011 à 19:43
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et dire que ce p’tit avorton aime brailler que la gau-gauche n’est qu’émotive ! pauvre toi, si je me fie à ton « texte », tu dois bien appartenir à l’extrême extrême-gauche !
le plus drôle avec ce genre d’imbécile c’est qu’il doit être tout fier de lui d’avoir réussi à déposer sa p’tite crotte sur ce blogue.
lâche pas mon jack, d’ici 30-40 ans tu devrais réussir à atteindre l’âge mental de 13 ans.
Cher Papwood
Je tiens à m’excuser à vous et à vos lecteurs, car j’avais sniffé une track pis bu 3 redbull et dans ces temps là, je ne porte plus sur mes ailes! 😯
Plus jamais je ne vous traiterai d’islamiste, et je vais cesser d’aller sur tatagoniste pour devenir un lecteur assidu du R’nart à l’avenir.
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[1] propension à se fourrer un doigt dans l’oeil
Jacques Houde dit :
11 novembre 2011 à 23:57
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Pas crédible, pas de fautes d’orthographe contrairement à l’autre épais qui doit même en faire en signant son nom, héhé
Papitybi,
Je suis en France et vient pour la premire fois sur ce site. Et je le dis très franchement: vous êtes dans le vrai.
L’egorgement des animaux par les musulmans, est quelque chose d’abominable, de monstrueux, de terriblement barbare, et de plus ils n’ont aucun respcet pour les animaux. Je vous invite à voir la video suivante (attention les images sont abominables et je suis en train de faire des recherches pour retrouver l’egorgeur egyption qui s’est livré à ces actes inimagineables de cruauté et en parler dans les journaux de son pays de tarés arrierés et sanguinaires) et ce n’est qu’un exemple parmi des milliers d’autres.
Video aller dans you tube et taper: dia do sacrificio
Je n’en dors plus depuis une semaine. Ces gens sont des malades uen secte satanique d’un autre âge.
Ce qui n’exempte pas les abattages casher, tres cruelles aussi mais plus discret et ne maltraitant pas les animaux avant un egorgement à vif, et de la façon que l’on voit sur cet abominable vidéo est une chose abomination, cela devrait être formellement interdit.Et que dire des australiens et neo zelandais qui leur vendent leurs moutons, sachant le sort atroce qui les attend, après avoir enduré des voyages en bateau absolument éprouvants, la vie sur terre est un enfer pour ces animaux.
Papitibi, c’est vous qui avez raison.
Amicalement.
PS: desolée pour les fautes de frappe,c’est lémotion et la vitesse de frappe.
Vous ave censuré mon commentaire, je ne comprends pas pourquoi mais ne chercherais pas à comprendre….
Oups, non desolée, il est là, je ne l’avais pas vu….je nai pourtant pas bu!!!
@Tana
Les appeller des malades sataniques,… on se calme. Franchement.
Pârlant de Joe Connaissant… Ca soir sur Bazzo.tv, ce jeune arrogant et vaniteux Bock-Coté qui se prend pour un phare intellectuel (de droite) et un autre débatrons sur l’immigration – ’50,000 immigrants par année ext-ce trop?’.
@Geek
Que ce soit chez les chrétiens, chez les juifs ou chez les musulmans, Dieu (YHWH, Allah) est peut-être l’architecte de la « Foi », mais ce n’est pas lui qui est l’architecte des pratiques religieuses. Je dis bien « peut-être« ; moi, je suis agnostique.
Ce sont les hommes (ici, opposé à « femmes » par ailleurs) qui ont déterminé les pratiques religieuses, et ils l’ont fait il y a des milliers d’années (judaïsme et christianisme) et il y a 1400 ans (islam). Faut pas se surprendre si ces règles religieuses ne respectent ni la femme ni nos amis les bêtes: elles sont le reflet de la société du temps, bien différente de la nôtre.
C’est pas Dieu qui a dit que les femmes ne pouvaient pas accéder à la prêtrise; ce sont des hommes qui appartenaient à une société patriarcale. Ce n’est pas Dieu qui a ordonné aux rabbins d’immoler les boeufs en leur tranchant la gorge alors qu’ils sont encore vivants (cacheroute) . Même chose pour la certification Halal. Non. Ce sont des hommes d’une autre époque.
La raison – l’une des raisons – pour laquelle je me suis détaché de mon Église après avoir été très militant, c’est justement ce refus de remettre en question ces règles d’un autre âge. Si j’étais « né » juif ou musulman, j’aurais critiqué tout autant, sinon même un peu plus.
Chez moi, c’est pas de la judéophobie ou de l’islamophobie; c’est un rejet de la religion, quelle qu’elle soit.
= = =
Cela dit, ce n’est pas aux auteurs de ces pratiques que j’adresse mes critiques; à leur époque, tout le monde pensait que la terre était plate et qu’elle était le centre de l’univers. Ceux que je vise, ce sont les leaders religieux d’aujourd’hui, pour leur refus de s’adapter à des sociétés moins patriarcales, ou plus soucieuses du respect de la vie animale.
Je sais relativiser. Et c’est justement parce que je sais relativiser que j’affirme que le catholicisme pratiqué au 21e siècle est plus « moderne » que l’islam et le judaïsme. Tout en étant lui-même plus rétrograde que certaines églises protestantes.
Et tout en affirmant que d’autres églises protestantes – les fondamentalistes de la Bible Belt notamment – sont aussi rétrogrades que les salafistes musulmans ou que les juifs hassidiques.
À chacun sa Foi et ses motifs de croire. Je respecte ces choix; en contrepartie, j’ai le droit, moi, de dire ce que j’en pense.
Avant de critiquer les » arabes » , faudrai se questionner sur la maltraitance qu’on fait nous aussi aux animaux: conditions de vie du betail, enfermes jour et nuit, tues de facon cruelle dans les abatoires, volailles confinees dans des espaces serres, …. Il est plus facile de critiquer les autres mais plus difficile d’assumer ce que nous on fait aussi!!