Je pose la question, comme ça: doit-on abolir la DPJ?
On ne peut que spéculer sur la réponse qu’apporterait Mohammad Shafia à cette question, mais du témoignage des intervenants rattachés au Batshaw Youth and Familly Center, au procès de la famille Shafia à Kingston, on pourrait être tenté d’affirmer que le couple Mohammad Shafia / Tooba Yahya percevait la DPJ comme des empêcheurs de tourner en rond.
La Loi sur la protection de la jeunesse a confié au directeur de la protection de la jeunesse de chaque centre
jeunesse du Québec la responsabilité de recevoir les signalements d’enfants en situation de danger. Son rôle lui impose également de prendre les mesures nécessaires pour assurer la protection des enfants dont la sécurité ou le développement personnel est compromis. – Association des Centres-Jeunesse
Je précise, pour les ceusses (il y en a à Québec-village, à tout le moins !!!) qui oseraient nier: les intervenantes du centre-Jeunesse Batshaw qui ont reçu des signalements concernant les filles Shafia, C’EST AU NOM DE LA DPJ QU’ILS INTERVIENNENT.
Pour sa part, l’illustre Jean-Luc Proulx se montre plus opposé encore – pour peu que ce soit possible – au maintien de la Direction de la Protection de la jeunesse: Des voleurs d’enfance… bin oui, bin oui, Paul Arcand a fait un film là-dessus…
- à quand une Commission d’enquête sur ce système mafieux voleur d’enfance et meurtrier, au fait, hein??? – 22 novembre 2011
- si la DPJ aurait [sic!!!] été abolie (ce qui serait une véritable libération, pour tous les enfants du Québec)… – 22 novembre 2011
- les bonzes de la DPJ qui utilisent les drogues en vente libre sur le marché avec la bénédiction du Collège des médecins pour asservir les enfants maltraités, battus et sans familles. La DPJ, c’est de la merde corrompue, une mafia si tu préfères. On devrait mettre la police là-dessus – 12 décembre 2007
- jamais la police n’a voulu faire une enquête sur la DPJ, même après toutes les révélations à glacer le sang faites dans «Les voleurs d’enfance» ou «Les enfants de la DPJ». Je soupçonne la police d’être de connivence avec cette business corrompu qui maltraite, viole et bat les enfants, même ceux qui sont en très jeune âge, et qui sont sans familles et sans domicile fixe. Tout comme les prêtres de la secte catholique, les éducateurs et éducatrices des centres jeunesse de la DPJ abusent de leurs pouvoirs en situation d’autorité sur de très jeunes enfants pour satisfaire leurs pulsions sexuelles. – 20 décembre 2007
- et je ne parle même pas du Département pénitentiaire de la Jeunesse (DPJ), un crime contre l’Humanité qui est encore pire que les Centres pénitentiaires pour enfants (CPE) socialistes. Lire la suite