C’est pas facile de pénétrer un Russe.
Je n’en croyais pas mes orteils: Jean Perron a encore une fois su enfiler l’aiguille, ce soir du 28 novembre, au rendez-vous de fond de soieries auxquel le réseau TVA convie quotidiennement la crème des amateurs de hoquet.
Quand Perron saute dans l’emmêlée, les constricteurs de la mission – consacrée aux spores de contacts divers – doivent marcher continuellement sur les yeux. Quant aux spectres tâteurs, installés confortablement au creux de leur diva, l’esprit pénétrant de Perron leur évite de souffrir d’enculose des haussements et des sortilèges.
Au risque de paraître indécent, j’ajouterai que ce bouquet de péronismes n’était qu’une entrée en matelas. C’est plutôt l’autre dingue que je vais farcir.
La belle Isabulle
Pierre-Hugues Boisvenu est le meilleur porte-parole que la justice puisse avoir. Et nous avec. Il est la voix des absents. Les morts ne parlent pas. Ils ne témoignent pas en cour. On peut donc négocier des conditions de détention allégées dans leur dos, voire des accommodements déraisonnables avec des sadiques, les morts ne broncheront pas. […]
Car [l’agresseur de Julie Boisvenu] avait déjà agressé sexuellement au moins une autre femme avant qu’un juge bien intentionné estime, de toute sa hauteur, que les risques de récidive du meurtrier étaient nuls. Nuls comme son jugement, visiblement. – Isabelle Maréchal, Le Journalle de Mourial, 28 novembre 2011
Où ça? Quand ça? J’en ai-tu manqué des bouttes, ou bedon si c’est la belle Isa qui s’est enfermée dans sa bulle? Lire la suite