17 commentaires sur “« Les étudiants sont armés de missiles » – Eriiique Duhaîîîme

  1. Bonté gracieuse! Aoh, je dis, ce spectacle est surprenant! (Astérix et les Bretons)

    Je suis d’accord avec une partie de de que Duhaime dit! 0-o

    Bouchard se fait aller au sujet de la grève étudiante. Mais http://droit-inc.com/tiki-read_article.php?articleId=3572&show_comzone=y

    Voici l’article que j’ai vu qui explique le mieux les enjeux http://www.theglobeandmail.com/globe-investor/personal-finance/rob-carrick/young-adults-have-a-right-to-be-up-in-arms/article2420563/

  2. En passant, dans ce conflit, Duhaime n’est, ni un Rouge (contre la hausse, pour la violence et pour le boycott), ni un Vert (pour la hausse, contre la violence et contre le boycott)!!! C’est un Bleu: contre la hausse, contre la violence et contre le boycott!!!

    Martineau, lui, est un Jaune: contre le boycott, contre la violence et pour la hausse, à la condition que le gouvernement fasse le ménage dans sa cour avec ça!!!

    Moi, je me reconnais plus avec les Jaunes et avec les Verts!!! Les Bleus méritent également d’être entendus!!! Mais, les Rouges ne méritent que de se faire sacrer en prison pour caution de terrorisme!!!

  3. @Proulx

    Un rouge est pour la violence et pour le boycott? Pour le « boycott », oui. Mais pour la violence, t’es certain de tes sources? Je te rappelle que les casseurs du Black Block et les étudiants, c’est deux…

    Et puisque tu veux aborder le sujet de la violence, devrai-je te rappeler encore une fois que toi, Jean-Luc Proulx, tu es pas mal plus violent que tous ceux que tu prétends dénoncer.

    Connais-tu le gros tas de marde qui m’as écrit (sous le nom de Jean-Luc Proulx) il y a quelques semaines pour me dire qu’il voulait me tirer?
    Connais-tu le gros tas de marde qui avait publié (sous le nom de Jean-Luc Proulx) sur Cyberpresse qu’il voulait un Québec blanc, laïque et francophone et qu’il était prêt <a prendre les armes pour se débarrasser des Anglais?

    La violence, mon tit-coune, c'est ça. Et ça, c'est toi.

    = = =

    Tu serais donc entre le vert et le jaune? C'est quoi la différence entre TES verts (pour la hausse, contre la violence et contre le boycott – je te cite) et TES jaunes (contre le boycott, contre la violence et pour la hausse, à la condition que le gouvernement fasse le ménage dans sa cour avec ça!!!)

    Veux-tu dire que les VERTS sont opposés au « ménage » que proposent les JAUNES?
    Je te signale que faire le ménage, c’est ce que proposent les ROUGES… que tu méprises.

  4. @Qui ça? Moi?

    Il est! N’est-il pas?

    @papitibi

    Avec leur endoctrinement visant à leurs faire croire que par marketing viral et astro turfing, ils gagneront la guerre de la propagande médiatique, les libertariens ont crée un nouveau virus de la connerie tout-terrain par la fraude intellectuelle que représente leur idéologie bluffante.

    Martinono a déjà dit qu’on peut très bien lyncher à bon escient. J’en prends acte, surtout en vue d’un futur western que je réaliserai un jour où le susnommé, pour ne pas dire le soumissionné, pourra jouer une belle tête de pendu.

  5. CE N’EST PAS LE CAS MAINTENANT, MAIS, SAIT-ON JAMAIS UN JOUR DE VIOENCE PROVENANT DU ‘HAUT’… Une tengente.

    Brûiot; des fois, dans de TRÈS rares et ultraspécifiques cas, la violence est inévitable, sinon nécesaire, rappelait Malcom X.

    Il nous rappellait que, et comme certains anars et autres le disent, la non-violence pourrait ne pas marcher du tout contre un ennemis sans aucune retenu ou morale. Il est tout à fais honorable de se battre et se défendre, pour ses droits et sa sécurité.
    (Mais comme Luther KIng et autres rétorquerons, utiliser la violence cautionne indirectement l’usage de violence de l’autre coté, il est à dire. Si des policiers agissent comme des brutes épaisses, par example, well.. surprenez vous pas de La Haine, comme le film avec Cassel.)

    Et puis, la résistance non-violent peut être une bravoure et même violence terrible, sacrifice de soi et tout.

  6. La démocratie est le principe qui donne au droit sa légitimité. Cette légitimité crée le droit, permet aux tribunaux de dire le droit et aux policiers d’appliquer les décisions des tribunaux. Cependant le principe démocratique ne se limite pas à sa dimension institutionnelle comme semblent le croire Martineau, Duhaime, le juge en chef de la Cour supérieure et certain avocats. Il ne suffut pas d’une élection pour couvrir toute règle de droit. Encore faut-il y trouver un certain degré de consentement de la part des gouvernés. Car après tout, la démocratie n’est que le véhicule par lequel on consent à l’autorité, aux lois, donc au Droit.

    Lorsque 200 000 personnes marchent contre une décsion de l’autorité, que plusieurs miliers de personnes le répètent pendant des dizaines de jours, le moins savant des être intelligent comprend que la notion de consentement n’est pas béton, que le principe démocratique est chancelant. Cela serait peut-être encore passable si l’autorité avait accepter un début de dialogue. Toutefois, compte tenu de l’ampleur du mouvement de contestation et de l’intransigeance de l’autorité, je suis d’avis que les injonctions n’ont pas le degré de légitimité nécessaire pour être appliquées sans risquer de mettre le feu aux poudres.

    Je crois que ceux qui exigent des interventions policières plus musclées pour faire respecter les injonctions n’accordent pas assez d’importance à la légitimité réelle de l’autorité sur le sujet de la grève étudiante. Je crois qu’ils donnent un peu trop de valeur à la dimension institutionnelle de la démocratie et qu’ils ne supportent pas que cette dimension puisse faire défaut. Je suis d’avis que les policiers, instinctivement, comprennent que l’ordre est mieux servi par la non intervention que par l’intervention. Il me semble que le juge en chef de la Cour supérieure devrait reconnaître que les décisions de cette cour ne seront pas toujours la solution à tous les problèmes. Son intervention manquait peut-être d’humilité.

    Christian Brunelle, professeur de droit constitutionnel et de droits et libertés de la personne à l’Université Laval est d’avis que seule une solution politique peut régler l’impasse sans casse. Sans le dire expressément, il est donc d’avis qu’il faille travailler sur la légitimité et non sur le respect du droit.

    Tout ça pour dire que Martineau et Duhaime sont des chiffons rouges (dixit Bernard Landry).

  7. Aussi, il y a les deux problèmes – Tyrannie de la Minorité, et de la Majorité.

    Si les québecois sont pour la hausse, est-ce un cas de la majorité dans le tord? Est-ce que la démocracie et les voteurs peuvent être dans le tord?

  8. L’amphithéâtre de pédaleau n’est pas encore construit que ces chroniqueurs se comportent déjà comme des commentateurs de lutte…. 🙄
    JLP a raison sur un point pour une fois: Martineau est un jaune…

  9. Vive la gratuité scolaire! Que l’éducation soit reconnue comme fonction régalienne nom de Dieu! Et m’sieur geek bon sang, pas question de passer les voteux dans l’tordeur parce qu’il risque d’en sortir plein de jus rouge LIBÉRAL! 😡

  10. Réalise-t’il seulement que les libertariens HAISSENT l’école publique… Idéologiquement et vicérallement.

  11. Il faut avoir vécu dans cet isoloir qu’on appelle Assemblée nationale, pour concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complètement l’état d’un pays sont presque toujours ceux qui le représentent.

    PROUDHON

  12. LU sur la page Twitter de Simon Jodoin et qui résume tout le bien que l’on pense des libertariens et de la Tatagonie.

    « @Antagoniste_net argumentum ad populum. #sophisme »

    Tout est dit. 😉

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