Dark Side of the Moon
La Commission Charbonneau promet de jeter la lumière sur la face cachée de la Lune Libérale. The Dark Side of the Moon…
Au sein de la députation Libérale et donc parmi les candidats pressentis à la succession de Jean Charest, peut-être y en a-t-il quelques-un(e)s qui ont déjà une petite idée de l’empreinte qu’aura pu laisser le crime organisé sur le financement du Parti et son organigramme. Pour peu, bien sûr, qu’empreinte puisse être décelée…
Ceux qui savent – ou qui craignent simplement que le Parti puisse avoir été compromis, le cas échéant, pourraient hésiter à se lancer dans la course à la chefferie; ils n’ont pas oublié les effets dévastateurs du spectacle quotidien de la Commission Gomery et de ces « J’m’en rappelle pas » plutôt incriminants.
Parmi les candidats qui ont dit « peut-être » et qui n’ont pas encore renoncé, deux proviennent du caucus: Raymond Bachand et Pierre Moreau. Je n’ai jamais vraiment aimé Bachand, même quand il était péquiste et la profondeur de ses convictions « libérales » n’a peut-être convaincu les militants. Moreau, par contre, me semble un excellent candidat. Il « passe » bien à la télé, il a un certain charisme, il est articulé, il a « l’air honnête« , et c’est un « débatteur » de talent. Mais c’est peut-être parce qu’il a facilement éclipsé Sam Hamad au ministère des Transports qu’il paraît si bon!
Par contre, « ministère des Transports », c’est associé aux dépassements de coût, à des chantiers qui ne semblent pas avancer, à la corruption et à la collusion alléguées; au fur et à mesure que les travaux de la Commission Charbonneau avanceront, cette association pourrait nuire aussi bien aux chances de Moreau qu’à sa crédibilité à long terme. Cela dit, je ne crois pas que lui-même ait trempé dans les magouilles…
Les télétubbies?
Alors peut-être vaudrait-il mieux choisir un chef au delà de tout soupçon. Quelqu’un qui est de toute évidence innocent – au sens noble du terme, bien sûr. Les télétubbies, par exemple. Ils se répètent un peu, certes, mais avec les oreilles qu’ils ont, leur capacité d’écoute est sans doute remarquable. Ils respirent le bonheur, la fraîcheur, la pureté, l’innocence; ça nous changera du leader précédent!
Et puis, détail non négligeable, leur public actuel, ne sont-ce pas les électeurs d’après-demain? À n’en point douter, Laa-Laa [le télétubbie jaune] pourrait faire des ravages au pays du cousin Là-Là, maire de Saguenay. Avantage non négligeable pour les Libéraux; le pays Là Là est un repaire de sales péquistes; comme il ferait bon, pour les Libéraux, de rafler la région!
Trois candidats hors-caucus semblent vouloir se déguiser en télétubbie: Martin Cauchon, Benoit Pelletier et Philippe Couillard. À ceux-là, je crois pouvoir ajouter Pierre Paradis, celui que Jean Charest avait tassé comme s’il avait eu la peste. Lui, on sait qu’il n’avait pas les deux mais dans l’assiette-à-beurre; Charest l’en avait tenu éloigné!
Martin Cauchon n’a aucune chance. Il traîne derrière lui la réputation d’un loser; n’est-ce pas lui qui a perdu le comté d’Outremont aux mains de Thomas Mulcair? Et qui n’a pas été capable de le lui reprendre? C’était pourtant, à l’origine un bastion libéral… Et puis, il a autant de charisme qu’une planche à laver! Enfin, qu’il soit un transfuge des Libéraux fédéraux ne l’aidera pas: c’est qu’ils traînent derrière eux un cortège de squelettes.
Benoit Pelletier serait mon choix personnel. C’est un constitutionnaliste brillant, fédéraliste, certes, mais plus nationaliste que ses adversaires présumés; ce facteur n’est pas négligeable, dans la mesure où Pelletier pourrait rallier des nationalistes mous, dont plusieurs ont voté pour la CAQ.
Mise à jour: Benoit Pelletier s’est désisté ce 17 septembre, ce qui ne me surprend guère; le gars a refusé de s’abaisser au niveau de la politique dite politicienne, un genre qui lui est étranger…
Philippe Couillard l’emportera, s’il confirme sa candidature; pire, le PLQ court le risque d’un couronnement. Ses adversaires savent à quel point Philippe Couillard était populaire au sein du cabinet Charest, avant qu’il ne quitte dans des circonstances un peu troubles, que Couillard devra expliquer. À titre de ministre, il a livré moins que ce qu’il avait promis, mais toujours, il a su convaincre par ses explications.
Un mode de sélection archaïque
Il serait temps que le PLQ abandonne ce mode de sélection archaïque, qui permet à chaque circonscription de choisir un nombre égal de délégués. La course aux délégués donne trop souvent lieu à des magouilles qu’il faut avoir vues de l’intérieur pour en bien saisir le caractère anti-démocratique.
Pour cette course à la direction, les éventuels candidats se préparent. Philippe Couillard a agi méthodiquement pour gagner l’appui de stratèges libéraux, des organisateurs susceptibles de l’aider dans la course aux délégués. La constitution du PLQ prévoit en effet qu’un chef soit choisi par un congrès de délégués. Vingt-quatre militants sont sélectionnés dans chaque circonscription pour former ce congrès.
Cette opération de ratissage de délégués fait partie du folklore politique québécois. Une anecdote suffira: pour la course à la direction du Parti conservateur de 1983, les hommes de main de Brian Mulroney avaient enrôlé les résidants de la Mission Old Brewery, refuge pour sans-abri du boulevard Saint-Laurent, à Montréal, pour aller choisir les délégués pro-Mulroney. Un dérapage parmi tant d’autres.
Dans ces circonstances, pas surprenant qu’au sein du PLQ, beaucoup s’interrogent sur la possibilité de tenir un vote au suffrage universel des membres, ce qui se fait dans tous les autres partis depuis des années. – Denis Lessard, La Presse, 15 septembre 2012
Des délégués, ça s’achète. De mémoire, cette année-là (1983), la convention du Parti Conservateur s’était tenue au Motel Alpin, à Rouyn-Noranda. Le comté s’apprêtait à déléguer des partisans de Joe Clark au Congrès national, lorsque de tous nouveaux membres se sont présentés en grand nombre pour élire « la slate à Mulroney ». Une « slate« , c’est une liste de candidats délégués, choisie par l’un des candidats à la chefferie.
Les nouveaux arrivants avaient tous un bout de papier dans les mains, pour leur rappeler à côté de quels six noms ils devaient mettre leurs « X ». L’un des nouveaux-venus s’est approché de moi pour me demander de lui lire les noms sur son bout de papier. C’était un client à moi; comme tous les autres de son groupe, il avait bu… et comme il était particulièrement bavard, je lui ai tiré les vers du nez!
Quelqu’un les avait recrutés dans un aréna et leur avait offert une caisse de 24 et un peu d’argent, avant de les faire monter dans un autobus. Ce « quelqu’un » savait combien de personnes étaient réunies au Alpin. Disons 20, pour les besoins de la cause. Alors il a recruté 21 ou 22 « électeurs ». That’s it, that’s all. Tu reproduis le même stratagème dans suffisamment de comtés, et tu remportes la course!
À quelques nuances près, c’est ce même scénario qui attend les candidats à la chefferie du PLQ. C’est pas le meilleur qui va l’emporter; c’est celui qui aura remporté – no matter how – la course aux délégués.
La constitution du PLQ force le recours aux délégués, et les apparatchiks libéraux soutiennent que le temps manquerait pour tenir un congrès – le seul moyen de changer la constitution – Denis Lessard, La Presse, 15 septembre 2012
Le journaliste de La Presse poursuit: Raymond Bachand s’interroge sur le mode de sélection du chef. C’est sans doute qu’il n’est pas rassuré par le mode prévu à la constitution du parti. Denis Lessard ajoute:
les candidats à la succession de Jean Charest auront à prendre position sur le mécanisme qui choisira le prochain chef. Dans l’entourage de Pierre Paradis, on chuchote déjà que c’est la seule question qu’il pose à ceux qui le courtisent.
Bref, s’il estime que le mode de sélection pourrait le désavantager, il n’ira pas.
Voilà comment le PLQ a raté – quand il en était temps – l’occasion de se donner la constitution qui aurait pu lui permettre d’attirer les meilleurs candidats, plutôt que les seuls candidats qui croient avoir assez de poigne sur l’appareil du parti – ou une éthique assez élastique pour autoriser certaines bassesses.
À croire que c’était là l’objectif visé…
Aucun des candidats probables à la chefferie du PLQ ne transpire le chef ou, encore, le premier ministre en attente!!! Ce ne sont que de pitoyables et de lamentables histrions!!! Ça sent pas mal la répétition de l’histoire de Stéphane Dion, du côté du PLQ!!!
Et, on sait ce qui est arrivé au PLC, avec Stéphane Dion et même après lui!!!
Et tu crois que René Lévesque transpirait le chef ou encore, le PM en attente – pour reprendre tes mot?
Petit de taille, cigarette au bec, rempli de tics, une voix plus ou moins agréable, sans la moindre qualité de leader connue, c’était un simple journaliste avec une formation en droit. Si je regarde les choses sous cet angle, Couillard, Moreau, Paradis et Pelletier offrent davantage au bon peuple que René Lévesque dans le temps. Et pourtant…
Air juvénile et fragile, timide, peu assuré, avec pas de charisme, le Robert Bourassa de 1970 n’offrait aucune garantie de « premier-ministrable ». Aucune qualité apparente de leader. La faiblesse incarnée, comme l’avait évalué Trudeau: le p’tit mangeur de hot-dog, qu’il disait de l’autre avec mépris…
Pourtant, autant Lévesque que Bourassa ont marqué l’histoire du Québec, plus que tout autre PM depuis Jean Lesage.
Robert Stanfield avait un visage à faire peur, un français pénible, une voix endormante, pas le moindre signe de charisme, et la compagnie de caleçons et de camisoles Stanfield, c’était sa famille… Rien pour appeler sa mère, hein??? Pourtant, les historiens et politiciens s’entendent pour dire de Robert Stanfield que c’est le meilleur PM qu’on n’a pas eu et qu’on aurait dû avoir!
Stéphane Dion et le comte Ignatieff sont deux universitaires plus ou moins connectés au terrain. Discours plate. Et terne. Aucune comparaison possible avec Philippe Couillard ou Paradis, pour ne nommer que ces deux-là. Pelletier est un intello, un universitaire. Charisme, plus ou moins.
Régis Labeaume, c’est l’exemple parfait du leadership dans le sens où toi tu l’entends. Des couilles grosses comme le Colisée. Un one-man show. Mais un vrai leader, tu vois, c’est un homme (ou une femme) d’équipe, capable de s’effacer devant son équipe pour donner au talent de chacun la capacité de s’exprimer, capable de rassembler, et capable de trancher quand c’est le temps. Avec, en plus, assez d’intelligence pour comprendre tout ça.
Labeaume un homme d’équipe? Ichhh, on voit que vous n’avez pas consulté des « insiders »… L’équipe ça commence et se termine avec lui, son cabinet d’une taille inégalée et ses généreux donateurs.
@ BarefootLuc
Qui c’est qui aurait affirmé que Labeaume est un homme d’équipe?
C’est pas Proulx, que je sache.
Et c’est pas moi non plus, qui écrivais à 3:58: « Un one-man show. »
Grrrrr! 😉
@ cher JLProux
« Et, on sait ce qui est arrivé au PLC, avec Stéphane Dion et même après lui!!!’ (JLP)
Ce qui est arrivé avec le PLC n’a pas grand chose à voir avec Dion le ti-pit. Heu! Bon, un ti peu avec la loi claire…
C’est Le ti-gars de shawi qui à amoché le parti et Martin à fini la job. Dion lui, à hérité de la merde et vu que ce n’est pas un imbécile il le savait certainement.
Le ti-gars de shawi dont la fille est la bru de Démarais,
P. Martin le protégé de Démarais, tsé avec les bateaux.
Dion lui? Ben il ne faut pas prendre Démarais un grand conservateur pour un idiot.
Que voulez-vous il préférait stifenne de harde de peur pour ses affaires. Heu!… pkp itou.
Donc on a saigné le PLC pour mettre l’argent dans le parti de hardpeur.
Tu devrais être fier de pkp qui finance le PC et le fera avec le stade labbaume de Québec. On sait maintenant pourquoi tu refuse ta promesse de te présenter comme mémaire; sa nuirait à hardpeur canadian conservative.
@Papitibi , il me reste ici encore où je peux m’exprimer , sur les 7 du Québec tout a changé et je n’y comprends plus rien. Cela fait que : qu’ils aillent se promener en EUROPE , je suis Québécois et vous êtes la dernière référence pour les commentaires des Canayens……..
« A youlle , Yes , Sir………
Jean-Marie De Serre.
@ papitibi
Ça m’apprendra de lire avant d’avoir l’espresso. Faut croire que juste un « mais » ne suffisait pas, probablement que « mais par contre » m’aurait réveillé sur le sens de la phrase. 8;-)
@ youlle.
Il y a quelques éléments véridiques dans ton commentaire, mais, à la fin, tu oublies deux petits détails!!! Le premier détail est que Harper n’a pas mis une cenne noire dans le Colisée corpo-fasciste!!! Le deuxième détail est que la femme de PKP a donné son appui à matante Pauline, aux dernières élections québécoises!!! Donc, on peut déduire que PKP a aussi voté pour matante Pauline!!! D’ailleurs, le père de PKP était peinturé bleu péquiste, si je ne m’abuse!!!
@ youlle.
Si j’ai décidé de ne pas me présenter à la mairie de Québec, c’est pour ne pas diviser le vote anti-Labeaume!!! Pour déloger le monarque de la Grande-Allée en 2013, j’appuies Anne Guérette, je l’ai dis et je le répète!!!
@ Proulx
Kâlisse nous la paix avec Péladeau le père… que j’ai connu en 69 ou 70, by the way; je voulais un job, je lui avais écrit pour lui proposer un concept, et il a aimé. Il a pris le téléphone et c’est mon père qu’il a eu au bout de la ligne. Quinze minutes plus tard, j’étais au bureau du bonhomme, à deux coins de rue de chez moi, sur Papineau. Quand je me suis présenté à lui, Péladeau avait déjà parlé à son DG et il m’a mis dans un taxi pour que je puisse le rencontrer.
Denis Lamoureux – le DG – m’a fait une offre difficile à refuser; il me faisait chroniqueur, et j’avais à peine 20 ans! Si je l’avais acceptée, je n’aurais pas été capable de mener de front mes études et mes trois chroniques par semaine, et ça, ça me chatouillait. Je n’aurais peut-être jamais complété mon droit, j’aurais eu 100 ou 200 mille lecteurs avant d’avoir 24 (!) ans et aujourd’hui, je serais probablement au Devoir.
Pourquoi je parle de Denis Lamoureux? Voir sa fiche sur Wiki. Ouin. Un ancien du FLQ. Quatre ans de prison… Le Journal de Montréal des débuts, c’était d’ailleurs un repaire de gauchistes purs et durs; Lamoureux n’était pas le seul. Mais en contrepartie, il y avait André Rufiange, le potineur Maurice Côté… Ça, c’était pas pantoute à gauche!
= = =
PKP devrait être pékisse pcq le bonhomme l’était?
Ha Ha Ha!
Tu connais David Frumm, le Canadien qui écrivait des discours pour W Bush?
As-tu connu sa mère, Barbara Frumm, de la CBC?
Tels mère, tel fils, tu crois?
Des exemples de fils qui n’ont pas suivi leur père, il en pleut. Mais à l’âge que tu as, tu manques malheureusement de recul.
Ça s’acquiert avec le temps.
@ papitibi.
Bourassa, Lévesque et Stanfield étaient dans une classe à part!!! Tu ne peux pas comparer les grands du passé et qui respectaient notre intelligence avec les idiots qui nous gouvernent aujourd’hui et qui nous prennent pour des valises!!!
privatiser!
@ JLP
« Il y a quelques éléments véridiques dans ton commentaire, mais, à la fin, tu oublies deux petits détails!!! »
Et ils sont tellement insignifiants.
Encore plus insignifiant le Colisée et Harpeur.
Encore une fois tu n’as rien compris, mais RIEN.
Le vote de pkp et de sa blonde n’a aucune importance, aucune.
Ce qui est important est le financement pour que ses médias tournent rond.
En fait je trouve de plus en plus que tu ressemble à un de mes anciens stagiaires: ton environnement se limite aux quatre murs de ta chambre, un clavier et un écran.
Heu, il y a aussi le super marché.
Couilard veut devenir PM pour finir de nous couillonner et de provatiser le 68% du système de santé qui est à peu près public. En le rendant inefficace puis en propageant le mythe que «le privé est TELLEMENT plus efficace». Tous ceux qui ont été clients de Bell-le-monopole ont eu un exemple sous les yeux que c’est faux. Il en mouille de toute façon.
Et le mode de $crutin au PLQ me renforce dans mon impression.
Couillard est prétentieux et d’une ambition et cupidité dévorantes (les deux vont ensemble).
«privatiser le 68% du système de santé qui est à peu près public. »
Ce taux (plus près de 70 % selon l’Institut canadien d’information sur la santé, mais en forte baisse depuis 30 ans) est en fait la proportion du financement public de la santé. Par exemple, les honoraires des médecins en clinique sont payés par le secteur public, même si les services sont donnés par un organisme privé (la clinique). Et, de prime abord, c’est surtout cela que M. Couillard voudrait voir encore plus répandu. Il n’a rien contre le fait que le secteur public continue à payer, mais voudrait que le secteur privé contribue davantage à la prestations des services. On garde le financement socialisé, mais on privatise les profits. Quelque part, c’est encore pire…
Le privé c’est vraiment la solution!!!
set sarcasm == off
Un de mes collègues a eu vendredi une injection. Lors de son appel pour prendre rendez-vous on lui a dit que s’il se présentait rapidement on pourrait s’occuper de lui immédiatement. Le Dr a oublié de lui demander si il était diabétique, faut croire que l’on était plus soucieux de le faire payer avant le traitement que de s’assurer de ne pas avoir d’effet secondaire. Ce qui est dramatique c’est que le lendemain matin lorsque mon collègue a lu son taux de glycémie il s’est rendu compte qu’il aurait pu ne jamais se réveiller!
2e épisode douteux que mon collègue a à cette clinique privée (pourtant recommandée par notre employeur). Il a décidé de ne plus laisser de chance au coureur.
J’ai déjà fait affaire avec cette clinique. Désormais je vais les « boycotter », je n’ai pas survécu au cancer pour voir quelqu’un trop soucieux de faire de l’argent risquer de me faire mourir!
À voir, la Facture de cette semaine, RDI-SRC.
Faudrait-il forcer, au risque de se faire appeler communistes, les privés au minimum à prendre l’assurance-santé?
Ils n’ont même pas la décence de faire comme les dentistes c.-à-d. faire payer après le traitement. Accepter la carte soleil c’est. probablement trop leur demander 8;-)