Sont donc bin drôles, les pékwissettes Mauriciennes!
Noëlla Champagne, qui célèbrera son soéssante-huitième anniversaire ce prochain Noël [tiens donc!], ne semble pourtant pas un cadeau pour Matante Pauline. En ce sens qu’elle n’a pas l’air tout à fait emballée par le choix biscornu des titulaires des ministères – sans Trois-Rivières.
La députée péquiste de Champlain, Noëlla Champagne, affirme que le choix de ne pas nommer de ministre dans la région de la Mauricie est une grave erreur de la part de Pauline Marois et que cette erreur risque de coûter cher à la région.
Noëlla Champagne avoue avoir eu envie brièvement de quitter la politique lorsqu’elle a appris qu’elle n’avait pas de poste de ministre. – Radio-Canada, 20 septembre 2012
Celle pour qui avoir un siège au sein du Conseil des ministres est « aussi une question de fierté », ne comprend pas cette décision […] «Ça laisse un goût amer, comme si on se vengeait d’un manque d’électeurs qui ont donné des députés à Mme Marois. » […] « Je ne retournerai pas au caucus des députés d’ici la fin du mois, sans avoir eu, minimalement, une rencontre avec Mme Marois », a-t-elle lancé à Mario Dumont. – Agence QMI, 20 septembre 2012
La madame est pas contente, mais si le maire de Trois-Rivières n’avait pas frappé Djemila Benhabib d’anathème parce qu’elle a le malheur d’être « une importée qui vient pas d’icitte« , peut-être que la Mauricie aurait été mieux représentée au Conseil des ministres. Peut-être bin que matante Pauline lui aurait confié le ministère de l’Immigration et des communautés culturelles, en lieu et place de Diane de Courcy qui aurait sans doute préféré gérer l’Éducation? Quand un parti plante un candidat vedette quelque part, généralement, c’est pour en faire un ministre, mais quand la vedette passe pas, bin… y a malheureusement un prix à payer. Sauf que…il faut être un peu con pour attribuer ça à un désir de vengeance. Lire la suite