14 commentaires sur “Matricule 728 au pays des mangeux d’marde

  1. C’est bien beau de commenter l’événement mais il faut maintenant passer à l’action pendant qu’ils sont à terre. Tous dans la rue pour provoquer une purge au sein du SPVM!

  2. @ Phil

    Ouin… mais moi, je suis à 630 km du poste du SPVM le plus rapproché. Alors non, je ne marcherai pas dans la rue.

    Tout ce que je peux faire, moi, c’est sonner la charge, expliquer, expliquer et expliquer encore, en espérant que cette « valeur ajoutée » puisse servir à quelque chose….

  3. Bonsoir Luc-Mado…

    Votre adresse semble bien confirmer que vous êtes bien ce personnage flamboyant. Merci de cette visite!
    Homophone? Homophobe?
    Homophone, ce serait « leur » – « leurre » – « l’heure », ou « ses », « ces », « c’est »…
    Alors que lis que la madame est plutôt homophobe.
    À vrai dire, elle me semble plutôt « PHOBE » dans sa nature. À part le benchpress et son power-trip, y a-t-il vraiment quelque chose qui lui plaise, à celle-là?

  4. Stéphanie à l’attaque et Boisvenu dans les goals… Le dream team des tough on crime! 😈

    Devraient la mettre à l’UPAC, à te brasserais ça les Vaillancours pis les Tremblay, elle!

  5. « Le présent billet s’est étiré au fur et à mesure que des développements survenaient. Il sera donc scindé. Suite au prochain numéro… où il sera notamment question de la faute du SPVM dans la « mise en service » d’une telle folle. »

    Faute ? Je dirais que ça faisait leur affaire depui 1995…

    Comme dit La Flaque ; je reste là jusqu’au prochain numéro.

  6. @ J-F
    « Je dirais que ça faisait leur affaire depui 1995… »

    = = =

    Ça pouvait faire l’affaire de certains, mais ça faisait pas l’affaire de tous. Il y a des policiers de haut rang pour qui l’image de la police compte beaucoup. Des comme ça, j’en ai connu. L’un de mes trèèèès bons copains a dirigé un poste de la SQ, quelque part; il est vrai qu’il possédait une formation académique, lui. 😉

    L’un de mes cousins a dirigé un gros corps policier; en 95 il était décédé mais non, il n’aurait pas accepté.

    Et quand j’ai travaillé au SPVM – qui s’appelait alors le SPCUM -, j’avais des amis haut-gradés que 728 aurait fait vomir. Mais à cette époque, et en particulier à l’occasion d’une grosse manif, j’ai eu connaissance d’initiatives prises par certains policiers dans la « gestion » de la manif. Pas joli…

    Mais déjà, vers 1970, le SPCUM payait un cours de droit à certains jeunes lieutenants ou sergents. Il y avait un but derrière tout ça, j’imagine. Le problème, c’est qu’un avocat ne POUVAIT PAS légalement être policier; quand ces jeunes ont eu le droit d’entrer au Barreau, ils ont dû choisir entre un salaire de lieutenant (de mémoire, ±18-2000$ par année) et un salaire d’avocat au dernier échelon prévu par la convention collective – ± la moitié de cette somme. Certains sont partis pour la « Couronne », d’autres ont choisi de demeurer lieutenants et refusé d’utiliser leurs connaissances du droit dans l’exercice de leurs fonctions de policiers!

    J’imagine qu’ils ont corrigé le tir depuis mon départ; ils ont eu plus de 40 ans pour le faire, après tout!

  7. Je ne sais pas si papa et maman sont fiers de leur fifille. Ils doivent se dire qu’ils auraient dû lui acheter une guitare au lieu d’un Nintendo et lui payer des cours de diction au lieu des séances de paint ball.

    Quoi qu’il en soit, cette personne n’a pas sa place dans le SPVM. Elle en est la disgrâce.
    Autant de grossièreté et de vulgarité me fait vomir!

  8. « La crainte du policier est déjà une observation de la loi »

    Mettons nous à la place de tous ceux et celles qui ont été « brassés » par cette enragée depuis 1995 pour des motifs insignifiants. Et il y en a BEAUCOUP d’autres enragéEs qui marchent à l’adrénaline.

    Quand à ses parents, interrogeons nous plutôt sur leurs comportements en privé envers ce bébé. J’ai comme l’impression qu’elle a souvent entendu dire que sa couche puait et je suis poli.

    Par delà les campagnes de relations publiques, c’est une armée d’occupation. La répression des 22 du mois du printemps érable est révélatrice. Ils ont obéit au « QLP » contre leurs enfants, mais vômissent sur la mairie de Montréal. Ce n’est pas congruent et il y a d’autres incongruences comme de congédier le « boss » de la SQ qui en sait des chooosesssssss lui, mais qui n’ont pas rapport au Métropolis.

    Comme « cadeau », gracieuseté du SPVM, je l’obligerais à suivre une thérapie chez Pierre Mailloux alors qu’il est suspendu de pratiquer la médecine mais pas la thérapie.

  9. @ J-F

    Je n’ai pas l’habitude de lire Renart Léveillé; j’aurais apprécié qu’il cite ses sources, de manière à permettre à ses lecteurs d’en apprendre davantage.

    Il aurait été intéressant, par exemple, de savoir qui est le rabbin qui tient ce « Centre » où l’incident a eu lieu. Il aurait été intéressant de savoir que la communauté Lubavich accuse les policiers d’être antisémites. Voir le site Crown Heights.info.

    Le rabbin Moshe Feiglin qui dirige cet Institut Aliya à New-York est-il ce Moshe Feiglin dont on parle sur cette page Google?

    Est-ce qu’il s’agit du même Moshe Feiglin que le Haaretz décrit comme un admirateur de Hitler?

    = = =

    Enfin, c’est quoi, cet Institut Aliya à New-York? « Alya », c’est l’acte d’émigration d’un juif de la diaspora vers la Terre Sainte.
    Ça laisse deviner que Moshe Feiglin, rabbin à New-York, est le Moshe Feiglin, politicien sioniste d’extrême droite en Israël.

    = = =

    Cela dit, pourquoi cette nuée de coquerelles en uniforme dans le clip vidéo? Était-il nécessaire de se mettre à 16, 18 ou 24 pour maîtriser un individu déjà assommé à coups de poing? Se pourrait-il que les policiers aient tendance à appeler des renforts non pas pour « maîtriser la situation » mais pour se donner des témoins qui pourraient nier la brutalité policière? Là, ils sont mal tombés, une caméra a tout filmé.

    = = =

    Une dernière question; pourquoi l’agent de sécurité qui a appelé la police n’avait-il pas été informé de la présence légitime de la victime de cette violence? Pourquoi la communauté ne se pose-t-elle pas de questions là-dessus?

    Ce qui me surprend, c’est que l’Institut semble accueillir des jeunes. Pourquoi, dans les circonstances, l’agent de sécurité aurait-il été surpris de la présence de celui-là sur les lieux?

    Entéka…

  10. Bon, Je vous laisse le domaine juif.

    Vous semblez ne pas avoir remarqué que la première « team » était formée d’un mâle et d’une femelle à queue de cheval. C’est la participation de cette dernière avec son « bâton télescopique »qui me fait dire « clone de 728 ».

    L’agent de sécurité aura vraisemblablement tenté d’évincer le « barbu » dont on peut facilement conclure au refus d’obtempérer. N’importe quel rabbin aura eu raison de monter l’affaire en épingle avec une telle preuve « béton ».

  11. @ J-F

    N’en doutez point, j’avais noté la présence de cette policière à la queue de cheval et parfaitement compris le parallèle avec 728.

    Mais j’essaie toujours d’aller au delà de la nouvelle…
    Etje note, simplement, que si le rabbin est pris à partie par des Juifs en Israël, à plus forte raison est-il susceptible d’être pris à partie à New-York. Aussi bien par des Juifs que par des non-juifs que son idéologie peut « heurter ».

    L’Institut où ce jeune Juif était hébergé fait donc possiblement l’objet d’une surveillance accrue, et ce, non pas pour tapocher un Juif mais pour empêcher que des Juifs soient l’objet d’attaques quelconques. Je m’étonne donc, du moins à première vue, de la réaction.

    Non pas de la dénonciation de la brutalité policière: je suis 100% d’accord avec cette dénonciation.
    C’est l’accusation d’antisémitisme qui me chatouille.
    Le gars s’est-il fait brasser parce qu’il est Juif, ou s’est-il fait brasser parce que, à tort ou à raison, les policiers ont cru qu’il était un intrus à l’intérieur d’un immeuble voué aux oeuvres juives?

    Quand un chien lève la patte et fait son pipi sur le mur extérieur d’une synagogue, la plupart du temps (!) ça n’a rien à voir avec l’antisémitisme. Cela dit, peut-être le maître de ce chien a-t-il – lui – posé un geste politique en dirigeant sciemment son chien vers CE mur-là plutôt que vers un autre mur…

    Oui, je sais, je parle parfois en paraboles.

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