Le bruit court à Ottawa que Stephen Harper serait béat d’admiration devant les burnes dorées et bien dodues du Kamarade Kim Jong Truc; on nous assure toutefois que cet entichement n’aurait aucun caractère libidinal et serait strictement politique.
De sa caverne d’Ali-BéBé à Pyongyang, le sex-symbol nord-coréen s’amuse à défier la communauté internationale et revient sur un engagement souscrit par feu son papa de désactiver le réacteur nucléaire de Yongbyon.
Il y avait eu la menace de bombarder Manhattan depuis un tire-pois géant, mais personne n’avait pris la menace au sérieux. Il y avait eu la menace de Kim Jong Truc de s’empiffrer de maïs soufflé jusqu’à ce qu’il explose et ne répande ses entrailles nauséabondes sur la Corée du Sud et le Japon, mais…
Cette fois, c’est du sérieux. Lire la suite