C’est quand ils chisent que les Libâââârtariens présentent leur plusse beau profil. So is David, dont je ne me lasse ni des incohérences ni de cette science biscornue que lui confère son Ph.D. dans un domaine qui m’est par ailleurs étranger.
À vrai dire, cette supériorité intellectuelle et cette incommensurable faculté d’intellection si caractéristiques du grand homme qui qui rend la comparaison aussi stimulante.
Pendant que Mourial se gelait les roubignoles, le Nord du Nord s’hostitoastait su’é deux bords en même temps. Le grand Chef des Cris et Chuchotements avait beau s’époumoner à réciter les mots de la Danse de la pluie, les nuages refusaient de crever au dessus de Waskaganish, Eastmain ou de Nemiscau. Alors les épinettes aussi archi-chesses que les chemises de l’archi-duchesse se sont pudiquement embrasées – avec pas deux « S » – et elles ont starté à crépiter en choeur avant d’éjaculer du lait de boucane. Et c’est cette substance éthérée qui a stâllé le métro de Mourial et les ascenseurs de la Tour de la Bourse.
La boucane, elle a le dos large. De plusieurs kilomètres.
Le David, il en a eu pitié, de la boucane; il s’est donc mis à la recherche de boucs-émissaires, à qui il pourrait tirer la barbichette pendant que la boucane se retirerait discrètement sous la douche.
Il en a trouvé deux: Marxiste Ouellet et Popo la Triso – comme dans matante Pauline la trisomique. Deux sales pékwisses femelles, bien sûr…
En 9 mois, la Popo la triso a fait pire que Charest en 9 ans. Pas de farce, les histoire de corruption on se rend compte que c’était le bon vieux temps.
Quand le PLQ saigne les contribuables, endette les Québécois et détruit l’économie de la province avec son interventionnisme, au moins quelqu’un s’en met plein les poches et quelques emplois sont créés au passage. Lire la suite