Ne me plains pas, non,
un matin clair efface la nuit entière,
je voulais juste dire
qu’il y a des choses dont on ne meurt pas,
en tout cas pas nécessairement.
J’aurai mille ans hier
– et demain
encore le coeur d’un clown…
Gilles Latulippe, c’était une culture populaire à laquelle je n’adhérais pas; je pouvais parler bien plus pointu que ce bouffon adulé par les masses laborieuses qui, suprême décadence, semble n’avoir jamais utilisé un peigne de toute sa vie. Moi, j’étais davantage Paul Éluard que Léo Rivest, Manda Parent ou Gilles eurk… Latulipe. Et j’étais davantage « Les beaux dimanches » que Cré Basile ou Symphorien.
J’ose croire qu’on aura compris que je procède ici à mon auto-flagellation et à un Acte de contrition public… N’empêche que… j’ai revu hier un épisode de Symphorien, mis en ondes par le TVA de 2014 avec les moyens techniques et le laisser-aller du Télé-Métropole d’il y a 40 ans. Décors de carton-pâte, lentille de qualité douteuse, effets spéciaux du générique, TOUT contribuait à repousser le jeune adulte que j’étais à l’aube des années ’70. Entre les Beaux malaises de Martin Matte et le Symphorien de Marcel Gamache, l’écart est immense!
Gilles Latulippe, c’était aussi le Théâtre des Variétés, qu’il a inauguré quelques semaines avant la fin d’Expo 67. Ah, l’Expo, ça, c’était moi. Ça avait duré 180 ou 185 jours; j’ai foulé le sol des Iles de l’Expo au moins 140 ou 150 jours, ce qui ne doit pas être très éloigné du record absolu! Et j’ai tout vu. Touuuuut! Bien sûr que ça a laissé des traces.
Le Théâtre des Variétés, c’était avant tout le coeur de mon quartier. Sur Papineau, au nord de la « ruelle Généreux », il y avait la Commission des Liqueurs, où maman m’amenait quand venait le temps d’acheter une nouvelle bouteille de Rémy-Martin ou d’un brandy plus cheap, selon l’état de la fortune familiale. Il y avait aussi le bureau de poste, « succursale DeLorimier » [1]. Je sais que le bureau du « Secours Direct » d’après-guerre se trouvait par là… Et puis, il y avait deux « cinémas », l’un presque en face de l’autre: le Papineau, à côté du bureau de poste et de la Régie des Alcowâls, côté Est, et le Dominion, qui était devenu un temple Jéhovah avant que Gilles Latulippe n’en fasse le rachat.
Qu’est devenu le Papineau? Il s’est transformé en Licorne, en 1989… Le théâtre La Licorne.
Le Montréal des années 40 et 50
J’observe la photo ci-dessus, que j’ai retravaillée un peu pour en améliorer le rendu… Un ti-pit à casquette traverse Mont-Royal. À ses côtés ou devant lui, son père (?), portant un feutre presque identique à celui de ces deux types devant le poteau de la Montreal Street Railway. Très semblable, également, au couvre-chef que porte le bonhomme devant le kiosque à journaux.
Ces deux mâles côte à côte, qu’on les affuble de boudins et d’une barbe, et ils feront de parfaits Hassidiques! Long paletot, tout à fait correct, sinon qu’il est un tit-brin trop pâle! Quant aux madames, à part cette forme un peu floue à l’extrême droite, j’en vois neuf. Neuf dames, neuf chapeaux.
Tout ça pour rappeler que le design vestimentaire, ça ne ment pas!
Je n’étais pas né au moment où cette photo a été prise mais je me souviens de ce kiosque à journaux qui appartient à une autre époque; au meilleur de mes souvenirs, il a traversé les années 50 et mon père m’y a parfois délégué pour y prendre les journaux qu’il avait oublié d’acheter. J’habitais à quelques centaines de mètres de cette intersection dont le coin Nord-Est était toujours occupé par cette succursale de la Banque Royale, du moins, la dernière fois que je suis passé par là…
Immédiatement à l’Est de la succursale bancaire se dressait dans les années ’50 un beau grand « Quinze-cennes« , le United Store [2]. Du côté opposé, en diagonale, il y avait le Bowl-o-rama ou quelque chose comme ça, à l’étage; j’y ai travaillé comme planteur. Mon salaire? Un sac de chips pis une bouteille de Pepsi! En dessous, il y avait un autre quinze-cennes, F.X. Larivière. Tout le quadrilatère a brûlé lors du week-end rouge et c’est un McDo qui a remplacé le magasin à rayons du vieux F-X… J’me souviens, mes amis et moi nous étions sur Mont-Royal, en face de la Banque Royale… et nous avions vu des pompiers de Ville St-Laurent (!) faire leur gros possible pendant que la mafia syndicale des pompiers de Montréal coupait leurs boyaux à coups de hache.
Évidemment, à la fin de la guerre, la grande affiche illuminée du C.W.A.C., au centre de la photo, a perdu son utilité; C’était une pub du Canadian Women’s Women’s Army Corps, au nom si bien adapté au quartier alors francophone à 99,9%.
Sous cette grande affiche, une enfilade de petits commerces: Restaurant Asia, salon de barbier, le cordonnier Tony Pappas et un resto Delicatessen. Pappas a pris de l’expansion et sorti le salon de barbier. MON barbier… jusqu’en 1980. J’habitais Rouyn-Noranda mais je venais régulièrement voir ma mère sur le Plateau et quand je me pointais, mon barbier italien de la rue Mont-Royal me faisait toujours une petite faveur…
Tony Pappas, c’est grec, ça? Pantoute… Ça l’était au début. Et les débuts, ça remonte au XIXe siècle, alors que l’immigrant grec du même nom a ouvert sa cordonnerie sur Mont-Royal. En 1900. Mais depuis 76, Pappas a appartenu à quelques générations de Gauthier, qui en ont fait une boutique haut de gamme dès 1977 et qui ont avalé en 2000 l’espace qu’occupait mon barbershop.
Et pour revenir à Gilles Latulippe?
Je l’ai rencontré une fois. À vrai dire, c’est plutôt mon père qui l’a interpellé alors que nous déambulions sur Mont-Royal. Le paternel était tout sauf timide; moi, au contraire, j’aurais voulu m’enfoncer dans l’asphalte! Le bonhomme attrape Latulippe par la manche et il lui demande si il connaîssait des zartisses que lui, mon papa à moi, avait connus. Genre Manda Parent, à qui il s’était adressé deux ou trois fois à ma connaissance… bord-en-bord de la rue et du haut de notre balcon: « avez-vous encore bin des contrats, madame Manda? »
Genre Roland Bédard, le bel Onésime Ménard de la famille Plouffe . Mon père et Roland Bédard avaient des amis communs. Sacré bonhomme! Il voyait passer des aînés qui n’en était pas moins plus jeunes que lui, et il me demandait « T’as tu vu le p’tit vieux l’autre bord de la rue? » Il était sourd, et il parlait toujours quelques décibels plus fort que nécessaire; cibole que j’haïssais ça!
Latulippe me regarde, puis il demande à mon père « Pensez-vous qu’il va pouvoir monter sur scène, c’te beau jeune homme-là? » M’est avis que c’était pour Gilles Latulippe une manière de clore la conversation. M’est avis, également, que c’était justement la question que mon père attendait pour ploguer sa fierté. « Ça me surprendrait. y étudie pour faire un notaire, ou peut-être un avocat! »
Shit! J’aurais voulu disparaître encore plus creux en dessous du trottoir!
C’est Latulippe qui avait eu le dernier mot: Ouin… il y a bin des choses à dire sur les notaires et les avocats!
Celle-là, je l’ai jamais oubliée! Et c’est peut-être pour ça que j’ai toujours collectionné les perles d’humour involontaire entendues à la Cour.
_________
[1] « Succursale DeLorimier », puisque située (de mémoire) au 4549 Papineau. Incongru? Non… Parce que, à peine 40-45 ans plus tôt, ça n’était pas encore Montréal. C’était le « village DeLorimier », dont l’hôtel de ville sur Mont-Royal (angle Des Érables) est devenu une caserne de pompiers…
[2] Aaaah, les 5-10-15 d’avant Zellers et WalMart! C’était tout petit, avec des planchers en bois et des grands îlots où la marchandise était exposée à l’oeil concupiscent du client. C’était l’époque PRÉ-étagères. Quand le grand United a fermé, Croteau (avant l’Aubainerie) en a pris la moitié, avant de déménager plus ;a l’Ouest dans l’ancien Greenberg-changé-en-A.L. Green-puis-en-Metropolitan avant de fermer. Aujourd’hui, sauf erreur, les deux moitiés sont occupées par Chaussures Yellow et par le Colisée du Livre…
Tu sais quoi, je vais dire exactement comme quand on a perdu la mairesse Boucher (parce que je me rappelle de la couverture médiatique à l’époque): on s’en calice de ton maire de village, c’est quand même pas René Lévesque qui est mort.
http://blogues.lapresse.ca/lagace/2007/09/05/mairesse-boucher-une-toute-petite-observation/
@ Proulx
Tu as transmis ce commentaire après que j’eus intégré la photo d’Ulrick Chérubin à l’entête de mon blogue.
Mais AVANT la publication de mon billet « Chérubin: un phare s’éteint ».
Bref, j’imagine que c’est au décès de Latulippe que tu fais allusion. Des funérailles civiques? Une exposition en chapelle ardente à l’Hôtel de ville? Les drapeaux de la ville en berne?
Non, rien de cela n’est justifié. Gilles Latulippe a beau avoir été un géant dans son domaine, il n’a pas été à ce point transcendant que…
Cela dit, Patrick Lagacé avait écrit du décès d’Andrée Boucher: « Ceci étant dit, une semaine plus tard, je peux le dire : vu de Montréal, disons que tout le flafla autour de ses obsèques était, disons, consternant. »
Dans un sens, il n’avait pas tort. Mais je suis particulièrement bien placé pour faire une analyse au deuxième degré des Lagasseries…
Sur le plan idéologique, lui et moi logeons plus souvent à la même enseigne. Ce qui nous distingue, c’est – en gros:
a) une tête particulièrement enflée chez Lagacé
b) son souverain mépris des régions et surtout, des minus qui les habitent. Bref, pour Lagacé, la civilisation s’arrête aux limites du 450 et du 819. Et bien sûr, le 418 se trouve en territoire inculte.
Qu’un crisse de snob écrive dans La Presse et tienne un show de putes branchées à Télé-Qc, je m’en crisse; d’ailleurs, je manque rarement Deux hommes en or. Malgré les deux interviewers de style m’a-tu-vu?. Là où je décroche, c’est dans la manipulation de l’information dont il se rend coupable à l’égard des régions.
Et de un, il a une fâcheuse tendance à estimer que le Platôôô, c’est le centre du monde, sans lequel le Québec sombrerait dans l’anarchie la plus totale et perdrait du coup 20 points de QI en moyenne…
Et de deux, et c’était le cas à l’époque où je lisais son blogue, il avait aussi une fâcheuse tendance à filtrer les commentaires de ses lecteurs. Tu le flattes dans le sens du poil, il te publie. Tu lui dis de manger d’la marde, il te publie… parce qu.il attend de la meute de ses admirateurs béats qu’ils se mettent à 25 pour te dépecer.
Mais essaie de démolir pierre par pierre la thèse qu’il défend (c’était souvent le caractère de sangsues fiscales des régions), avec des arguments solides, et il ne te publiera pas.
En gros, le contentieux Lagacé-Papitibi du printemps 2008, ça se résume à ça. Il laissait quelques mangeux de marde publier des propos orduriers sur les régions ou sur un commentateur qui se disait régionaliste, sans permettre au régionaliste de publier la moindre réplique. Quand l’un de mes commentaires a été refusé cinq fois, je lui ai écrit, il a répondu que mon commentaire avait dû tomber à chaque fois dans la craque du sofa. Alors j’en ai envoyé une sixième copie, dont je savais qu’il ne la publierait pas.
À l’époque, j’avais identifié entre 40 et 45 infractions de Lagacé au Code de déontologie du Conseil de presse. Pour chaque infraction, j’avais identifié quelle disposition du Code de déonto était violée, en quoi elle l’était, et surtout, dans chaque cas, la jurisprudence pertinente du Conseil de presse.
Facile, pour moi, à l’époque; 35 ans après avoir fait aux States une maîtrise en droit des médias qui ne m’avait jamais servi, j’avais décidé de m’en servir, j’avais répertorié et indexé toutes les décisions SIGNIFICATIVES rendues par le Conseil de presse et… le projet est tombé à l’eau. Les banques de données que j’avais constituées sur une période de 3 ou 4 ans, elles, n’étaient évidemment pas perdues.
A quelques heures de finaliser ma plainte, j’ai subi un infarctus et j’ai été transporté par avion-ambulance à Montréal; à mon retour, le délai pour porter plainte étant de 45 jours (de mémoire) après l’infraction, j’étais hors délai pour les plus beaux cas, et mon cardiologue m’a suggéré de laisser tomber. Alors j’ai laissé tomber… et me suis ramassé avec ce psychopathe qui dit s’appeler Simon P. L’un de tes amis chez le Tatagoniste… Un gars de région (Trois-Rivières), comme toi. Et comme moi, qui le suis devenu par choix et qui a choisi de le demeurer.
PAPITIBI ,
Monsieur Papitibi , le dernier paragraphe , vous êtes devenu quoi ? Un Rebel ?
Vous parlez de droit de la Quenne( CRIMINEL ) mon voisin a attaqué mon fond en 2000 en creusant un fossé trop près et cela a asséché presque mon puits. Longue histoire entre les deux qui va peut-être se réglée le 3 novembre 2014.
Pourquoi , moi qui n’ai fait que couper un cadenas , après le OK de mon avocate , je me suis fait embarquer par la Sûreté du Québec ?
Papi , c’est bin pour dire , si ma Municipalité( Sauf les Mrs Simoneau et Gautier) , n’auraient pas été des J/sus-Christ de pissettes et plottes-molles , innocentes , ignorantes et incompétentes ,
je n’aurais pas besoin d’aller en Cour Supérieure le 3 Novembre 2014.
Papi , j’ai aimé sur le même thème , 15 juin 2014 , Hoyeux cinquantièmes , Hournal de Mourial et les commentaires.
Je ne sais ce que la Cour Supérieure me réserve , je verrai et comme j’ai déjà dit deux menteurs , c’est plus fort qu’un autre CITOYEN qui ne ment pas .
Jean-Marie De Serre.
@ PAPITIBI ,
le 14 février 2010 , j’écrivais ceci : avocat 2010………….
colle = >
14 février 2010.
avocat 2010
Cela fait bientôt 7 mois que j’essaye de comprendre comment ça marche dans ce Jésus-Christ de système là. (Criminel Code)
Comme j’ai yeinck une tite-tête et que je n’y parvenais pas j’ai demandé à la Librairie St-Jean de Victoriaville de me procurer ce Code et je l’ai reçu. On m’a dit qu’il est aussi sur Internet.
Très intéressant à date , je connais la Loi sur les compétences municipales , le Code municipal , le Code civil et j’apprivoise lentement le Code criminel. C’est très difficile ce Code , car il y a deux gagnes qui s’affrontent : fédéral et provincial , c’est pour cela que vu que tout le monde s’entresucent à 173% dans la Haute , faudrait que quelqu’un quelque part leur dise d’harmoniser leurs menteries.
J’espère que vous ne pensez-pas que je me suis limité aux Codes , il y a aussi les Protocoles : protocoles des Sages de Sions (666) , protocoles des Sages de Toronto (666) et peut-être d’autres que je n’ai pas vu. J’ai surtout pas le temps d’aller vérifier ceux-ci , mais pourquoi les grandes gueules du Québec , genre Patrick Lagacé et Nathalie Pétrowshy , ne le font pas ? Leurs patrons font parti de ces sages ?………
Je résume , le 16 juillet 2009 , emprisonné. Ma maison a été fouillée au complet et mes armes m’ont été enlevée. Le soir même j’ai été relâché.
Le lendemain 17 juillet 2009 un enquêteur est venu en après-midi me remettre un ordre de cour. Il m’a demandé si j’avais tiré des coups de feu la veille , je lui ai dit que non et vous savez très bien pourquoi. Il m’avait lui-même enlevé mes armes le 16 juillet 2009.
Je me suis dit que sûrement quelqu’un avait porté plainte. Je pose la question : qui a porté plainte ?
Qui a porté plainte le 10 janvier 2010 encore pour ces armes ? j’ai du retourner aux empreintes.
Le 15 février 2010 une plainte à été réglé , j’ai plaidé coupable d’avoir dit à mon voisin que la seule manière de prouver que son chien venait m’attaquer ainsi que mes invités , était que je le tire. Ça faisait déjà 4 fois que je le prévenait d’attacher son chien.
Par contre dans le contexte où je l’ai dit je ne me sens aucunement coupable. Personne n’a dit au juge que j’essayais d’expliquer à mon voisin que ça faisait 6 ans que j’essayais de faire attacher le chien de mon voisin d’en face et 3 ou 4 ans le chien d’un autre voisin 1/2 mille plus loin.
Un moment donné tu viens tanner de te faire attaquer , pisser sur tes pneus d’auto et chier sur ton perron. J’ai prévenu la municipalité tout au long de ces années et rien n’a été fait car les chiens viennent toujours.
Est-ce que ce sont toutes ces plaintes de toutes ces années qui ont servi à la Municipalité de Tingwick , pour m’accuser de harcèlement et m’envoyer en prison ? Si oui , vous devez comprendre pourquoi j’utilise les mots : innocent , ignorant et incompétent. À l’avenir je ne vais probablement plus écrire ces mots , je vais le dire en pourcentage . Ce sera peut-être 120 % 133 % ou 173 %. Tant qu’à y être je vais aussi faire l’analyse en chiffre des mots pissette et plotte-molle.
J
Jean-Marie De Serre.
@ PAPITIBI ,
Monsieur Papitbi ,
je crois que c’est pour cela que le » JUDICIAIRE » prends tellement son temps , ils espèrent que le »CITOYEN » oublie.
Dommage pour eux , mes monteurs de site ont des archives et le WEB est garant.
Papi , j’ai écrit ma vie sur le » WEB » tout le long depuis 2001 que cela se déroule et le ferai encore à l’avenir en premier ici bien sur si c’est important.
Merci pour l’ espace chez vous.
Jean-Marie De Serre.
@ PAPITIBI ,
si vous permettez encore , je vais profiter de votre espace.
J’ai pris ceci sur les 7. Mon commentaire n’est pas entré , pourtant je croyais que je disais bien…….
Colle = > @ L’idiot de la colline ,
Vous dites : Il est bien beau votre texte mais quel porté a-t-il etc.etc.
Vous n’avez pas dit de quel colline vous étiez , Monsieur Boisvert ses lettre de noblesse sont sur la table , j’aime savoir à qui je cause.
Alors le Fou du village de Tingwick vous dit que : Le texte de Monsieur Boisvert porte énormément plus que s’il n’aurait rien dit.
Elles sont loin les prochaines élection au FÉDÉRAL mais en même temps tout près , car je ne sais si j’aurai eu le temps de dénoncer avec preuve à l’appuie les dictateurs de ma Municipalité et de tous les autres GOUVERNEMENTS , donc du( Municipal au Clérical ) de leur abus de pouvoir.
Je ne participerai pas moi non plus à la guerre de en 2014-15 , car c’est toujours David contre Goliath et avec le Web j’ai compris que presque tous ceux qui dirigent ne sont que des veaux(GOLIATH) que l’on obligent à » SUCER ». C’est très dommage qu’il y aie ce Code d’Éthique et de Déontologie qui obligent les Élus et employés Municipaux(sauf Monsieur Simoneau et Gauthier à Tingwick) à n’être rien d’autres que des moins que rien en 2014.
Jean-Marie De Serre.