Né en 1931 à Homs, une ville de Syrie aujourd’hui dévastée par la guerre civile, ce vieux débris de mousselime a grandi dans une famille plutôt conservatrice et plutôt à l’aise. Mère soumise, père autoritaire. Abdul Fattah souhaitait entreprendre des études en droit à Damas mais son vieux bouc de géniteur s’y est toutefois opposé, sous prétexte que la Syrie comptait déjà suffisamment d’avocats pour dire n’importe quoi.
Quel moron: des avocats, il n’y en aura jamais assez! 😉
C’est donc à Beyrouth, au Liban, que le jeune Abdul a entrepris ses études universitaires; il avait alors 18 ans. Toutefois, dans la foulée des soulèvements populaire qui ont forcé la démission du président Bechara El Khoury, le jeune taurillon nationaliste Abdul Fattah Jandali s’est réfugié à New-York chez un membre de sa famille, Najm Eddin al-Rifai, alors ambassadeur du gouvernement Syrien auprès des Nations-Unies.
Aux States, cette foutue graine de terroriste importée du Levant a pu obtenir une bourse d’études et compléter à l’Université du Wisconsin un doctorat en sciences politiques et économiques… en même temps qu’il engrossait une jeune Suissesse de bonne famille, catholique et germanophone, Joanne Carol Schieble.
Homme de principes, le papa Suisse a refusé à sa fille dépravée l’autorisation d’épouser cet impie, mousselime par surcroît; bien sûr, en ces temps reculés il n’était pas question d’avorter et le poupon – né le 24 février ’55, a été mis aux enchères sur le marché de l’adoption…
Herr Schieble avait formulé une série d’exigences: les parents adoptifs devaient être des catholiques de bonne éducation; malheureusement, c’est une fille que désirait le couple qui avait été pressenti, et le bébé était équipé d’une robinetterie typiquement masculine, ce qui le disqualifiait d’emblée. À sa grande honte, le patriarche Schieble avait dû se résigner à confier cette peste à moitié arabe à des parents qui – ô sacrilège! – n’avaient même pas fréquenté l’Université; mais, au moins, Paul et Clara Jobs étaient catholiques et Paul a su communiquer à ce bâtard son goût pour la mécanique.
Le tit-pit, ses parents adoptifs l’ont fait baptiser Steven Paul Jobs. Steve, si on veut.
Avec ses amis Steve Wozniak et Ronald Wayne, ce fils de réfugié syrien a créé Apple Computes le 1er avril 1976. Peut-être ce vieux schnok d’Abdul Fattah – qui vit encore – a-t-il volé le job (?) d’un bon chrétien, blanc, Républicain et patriote, mais somme toute, le bilan demeure plutôt positif pour le pays d’adoption: cinq ans après le décès prématuré de Steve Jobs: Apple emploie plus de 90000 personnes et vaut 700 milliards de dollars.
Dire que si le vieux Abdul Fattah était né 60 ans plus tard et avait évoqué le bombardement de sa ville natale par Daesh (l’État Islamique), le Canada (tout comme sans doute les USA) lui aurait refusé le statut de réfugié. À méditer…
L’arbre est dans ses feuilles, le ver est dans la pomme, la pomme crée des jobs, Jobs a créé la pomme. Et toutte est dans toutte, chantait Raoul Duguay. Qui lui, bien sûr, est à la fois poète, un peu fou… et Abitibien.
sources, pour ce segment: MacWorld et, accessoirement, Wikipedia
Abdul et sa belle Suissesse se sont mariés… trop tard
Trop tard? C’est à voir; Steve Jobs aurait-il été ce visionnaire entreprenant s’il avait été élevé par un père musulman et s’il s’était appelé Hussein? Pensons à ce pauvre Barack Hussein Truc, tellement décrié par l’intelligentsia des tasses-de-thé. Et tout ça, pour un prénom!
Peu de temps après l’adoption [de Bébé Steve] Jandali et Schieble ont reformé un couple et ils se sont mariés. Leur fille Mona est née un an plus tard; Mona est devenue depuis une auteure à succès. Jobs était âgé de 27 ans quand il a appris que Mona Simpson était sa soeur biologique et qu’ils ont pu se rencontrer. – Simon Jary, MacWorld, 8 septembre 2015,
Qui est Mona Simpson? Un nom comme ça – qui n’était pas le sien à l’origine, ça ne s’invente pas: son mari Richard Appel est le producteur de la série télévisée The Simpsons!!!
Ce maudit Abdul est retourné en Syrie, où il a divorcé de sa belle Suissesse en ’62. Et pui, il est revenu. Aujourd’hui, il est vice-président du Boomtown Casino and Hotel, à Reno, Nevada. All bets are off, please!
On n’arrête pas le progrès!
@ PAPITIBI ,
je ne sais plus quoi penser là , je ne sais pas si c’est la lettre de mon avocat que la Municipalité de Tingwick a reçu , mais j’ai mon permis de construction et la Municpalité a commencé à couper ses branches qui me causent préjudice.
Mais je veux cela propre devant mon terrain qui a 1,000 pieds de façade et quand j’en aurai fini sur les 33 pieds que j’ai cédé à la Municipalité.
Me Charles Caza et Rino Soucy , on peut régler hors cour mais depuis 2005 et avant que cela traine……
Les offres sont acceptées et je vais dire à mes avocats.
Comme il y a des Lois et des Règlements Municipaux , Me Charles Caza et Rino Soucy qui travaillez pour Tingwick ,
pourriez-vous me dire à l’endroit d’une haie de cèdres à Tingwick ; hauteur , distance de l’emprise de rue en façade de la maison principales , un inspecteur en bâtiment me là donné et il a eu des ennuis après.
Me Mélanie Pelletier de Sherbrooke ma redis elle aussi un m’en donné , une haie de cèdres ne peut avoir de droit acquis , ce n’est pas une construction.
Je ne sais si j’ai une colle =>
Né en 1931 à Homs, une ville de Syrie aujourd’hui dévastée par la guerre civile, ce vieux débris de mousselime a grandi dans une famille plutôt conservatrice et plutôt à l’aise. Mère soumise, père autoritaire. Abdul Fattah souhaitait entreprendre des études en droit à Damas mais son vieux bouc de géniteur s’y est toutefois opposé, sous prétexte que la Syrie comptait déjà suffisamment d’avocats pour dire n’importe quoi.
Quel moron: des avocats, il n’y en aura jamais assez! 😉
Papi , je suis d’accord , mais des avocats , en compétence avec le problème que tu as.
J’ai vu sur le même thême.
Jean-Marie De Serre.