Donne à manger à un cochon, il viendra chier sur ton perron. – proverbe québécois
Quand j’pense que tu as étudié chez les Soeurs de la Charité, dans l’institution consacrée à la mémoire de la Vénérable Marcelle Mallet; on peut pas dire que les nonnes t’ont appris les bonnes manières. « Je ne suce pas la queue de la DPJ comme toi!!! Ouache! How shocking… C’est Soeur Pierrette qui va être déçue.
Tu prétends que je te censures. Cé pô tes idées que je mets à l’index – même pas tes élucubrations les plus déjantées. Ni même l’expression de tes préjugés les plus trash.
Mon blogue, c’est un peu ma maison, et malgré nos fortes divergences, tu es l’un de ceux à qui j’ai le plus souvent ouvert mes portes; d’ailleurs, WordPress me confirme que tu as soumis un total de 1399 commentaires à l’un ou l’autre des 900 billets que j’ai publiés ici. Pourquoi une minorité d’entre eux n’ont-ils jamais été publiés? Quand tu n’exprimes que mépris, injures, préjugés ou mauvaise foi évidente, je flushe. Comme, genre, quand tu suggères que j’ai sucé la queue de la DPJ ou que j’ai fait mon cash sur le dos des pôv ti-z-enfants.
Quand tu diffames, je flushe. Et comme tu n’es qu’un ado boutonneux mal torché que ni ses parents ni ses éducateurs ne sont parvenus à polir, il m’arrive de t’expédier au purgatoire sur une base temporaire.
Dis donc, Han-Luc, en arrière-plan, ça serait-y pas le Métro Plus de yousque tu étais commis responsable de la manutention des menhirs de septembre 2008 à avril 2015, ça? À droite sur la photo, j’ai reconnu feue la Révérende Soeur Marcelle, mais le gros bouffi plein de morve-avec-des-boutons-à-trois-mentons dans’a face, le connais-tu? On me glisse à l’oreille que – selon son compte Twitter, il s’agirait d’un fier sioniste pro-Israël, associé par ailleurs à la gauche anti-capitaliste. Bien sûr, ça peut pas être toé. Un go-gauche!
Coudonc, cé-tu parce que tu aurais été surpris en train d’éplucher la banane du gérant des menhirs que t’as perdu ta job? Ou parce que ton boss t’aurait confondu avec le gars du compte Twitter? Ou encore parce qu’il aurait été pris de panique à la lecture des propos à saveur terroriste que tu avais publiés dans les pages de La Presse à peine un an avant ton embauche chez Métro?
J’espère que c’est payant, ton nouveau job de surveillant d’examens au Campus de Lévis de l’Université du Québec à Rimouski; par contre, il y a deux p’tites choses qui m’inquiètent.
Et de un, j’espère que pour avoir ce job tu n’auras pas été contraint de t’enfoncer un membre viril jusqu’aux amygdales; tu sembles en faire une vraie fixation, comme le suggère cette allusion malveillante à la manipulation du pipeau. Soeur Pierrette, la défunte Vénérable à capiche et moi-même en sommes d’autant plus chagrinés que cette allusion pourrait être un indice révélateur de ta propre détresse. Pauvre petit!
En second lieu, à mon époque antédiluvienne, la période des examens, c’était à peine deux ou trois semaines par année. Pôv toé, ça te laisse du temps en masse pour te pogner l’radis pis te l’rouler au creux d’la main. Et surtout, je m’inquiète de tes moyens de subsistance: avec si peu de revenus, tu dois bien avoir droit aux prestations de l’aide sociale?
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à ces cochons qui chisent dans mon salon.
Y a-t-il un suce-pissette sur ce blogue?
C’est pas la première fois que cette grosse morve gluante l’affirme: si j’ai fait mon cash avec des dossiers en protection de la jeunesse, c’est parce que j’aurais sucé la DPJ!
Et de un, et je le répète ici pour la 20e (et dernière?) fois, je n’ai jamais travaillé POUR la DPJ, ni AVEC la DPJ, et la DPJ ne m’a JAMAIS VERSÉ le moindre honoraire. D’ailleurs,mes clients ne m’étaient référés ni par la DPJ ni par un membre de son personnel; ce sont les bureaux d’aide juridique qui distribuaient à la clientèle admissible une liste des avocats prêts à accepter un mandat, leurs coordonnées ET les spécialités du droit où ils acceptaient des mandats.
Et de deux, dès que la DPJ fait signifier une requête susceptible d’affecter les droits des parents et des enfants, elle doit en aviser le bureau d’aide juridique local et c’est ce dernier qui se charge d’inviter les avocats À TOUR DE RÔLE, pour éviter tout soupçon de suce-pissette. Dans le cas des jeunes enfants, c’est le bureau d’aide juridique qui choisit son avocat; encore une fois, les avocats sont contactés à tour de rôle, de manière à assurer un partage aussi équitable que possible.
Proulx est ignorant de tout cela mais son ignorance coutumière ne l’aura jamais empêché de lancer les acccusations aussi salaces que diffamantes. de favoritisme ou d’inféodation du présent blogueur à la DPJ: « parce que je ne suce pas la queue de la DPJ comme toi!!! » . des honoraires disponibles pour la communauté juridique.
Y avait-il un plaideur complaisant dans cette salle?
Il y a des avocats avec lesquels les intervenants en première ligne (agents de relations humaines et travailleurs sociaux) sont plus à l’aise, et d’autres plaideurs qu’ils souhaiteraient tenir le plus loin possible de leurs dossiers.
J’avais – pour ma part – la réputation de brasser la cage des témoins dont les intérêts sont opposés à ceux de mes clients. Je ne crois pas m’être fait beaucoup d’amis au sein de ces cohortes de jeunes diplômes qui n’avaient aucune expérience pratique du rôle de parent et qui se mêlaient de faire la leçon à des femmes qui auraient pu être leur mère.
Il y avait un fort taux de roulement au sein des effectifs, d’où ce flot continuel de jeunes intervenants sans expérience. Des proies faciles, en somme, pour le vieux plaideur qui cède parfois à la tentation de donner un bon show à son client. Un peu comme si Steve Vai lui faisait un solo de guitare, rien que pour lui. Sans prétention, bien sûr!
Faudrait par ailleurs demander à ces intervenants que j’ai fait brailler en pleine Cour s’ils me percevaient comme un allié de la DPJ; deux d’entre eux ont tenu responsable de leur démission, en raison de la pression que je leur mettais sur le dos avec mes contre-interrogatoires de style pitbul.
On est loin de la complaisance que cette grosse larve a imaginée dans ses cartoons les plus fantaisistes.
Tout ça pour dire à ce nez plein de morve qu’il n’y aura désormais pour lui ni modération, ni censure, ni whatever: je te crisse dehors à coups de pieds dans le cul, et la décision est sans appel.