Wham bam thank you mam
Il y en a même qui se font tabasser par des gars violents… et qui retournent les voir!
«Ben voyons, pourquoi t’as recouché avec lui s’il t’a battue?
— Parce que c’est une vedette, qu’il est beau et célèbre!»
C’est pas un peu nono, ça? – Richard Martineau, le Hournal, 10 février 2016
Voilà bien une (autre) occasion ratée pour Mononc’ Menton, que des matantes de mauvaise foi osent appeler Monsieur Sophie Durocher, elle-même un peu mononc’ à ses heures.
Menton et Durocher: est-ce qu’ils ne forment pas le couple princier de la dynastie des Mononc’s?
Profiter du procès Gomeshi pour ridiculiser les femmes victimes d’agression et salir la notion de consentement de cette façon est d’un mauvais goût sans nom.
Des propos comme ça, des propos de mon’onc comme ceux-là, des propos dégradants envers les femmes comme ceux-là, je n’en reviens pas d’en lire encore, en 2016, publié par un grand média! – Marie-Ève Duchesne, « Sophie, gère ton chum, SVP!, Huff Post, 12 février 2016
Les ratés du procès
Taré, raté: inversion dans les consonnes, inversion dans les rôles… TADAAAAAM! c’est la victime qui est coupable!
Plutôt que de s’attarder sur les RATÉS de ce procès moffé, Martineau a tiré à boulets rouges sur ces TARÉES en pâmoison devant un Ghomeshi beau, riche et célèbre. Victimes de Ghomeshi? Un jugement le dira. Victimes du manque de jugement de Mononc’ Mentons? Crisse, oui!
Le déroulement chaotique du procès aura révélé des failles au niveau de l’enquête policière; peut-être les enquêteurs au dossier auront-ils craint de pressuriser les victimes alléguées, de crainte qu’elles ne craquent et ne reculent? Aussi noble puisse paraître cette forme de compassion, le cas échéant, si une victime doit s’effondrer, mieux vaut qu’elle le fasse AVANT le contre-interrogatoire serré des avocates de l’accusé. Une simulation s’impose. Et à défaut d’une telle simulation, le procureur de la poursuite (Me Michael Callaghan) s’est fait prendre les culottes à terre…
Le contre-interrogatoire des trois victimes alléguées a viré au cauchemar pour la Couronne; toutes trois ont alors fait des révélations qui ont pris par surprise Me Callaghan et l’équipe d’enquêteurs de la police. À qui la faute?
«La défense a pris les commandes et la Couronne s’est retrouvée sur la défensive. Que s’est-il passé entre l’enquête policière et le dossier remis aux procureurs?»soulève Me Jean-Claude Hébert, criminaliste.
Le public a d’ailleurs jeté la pierre aux procureurs de la Couronne. Or, il revient aux policiers de recueillir les éléments de preuve, avance ce dernier. « Même si les victimes ont oublié ou occulté des faits, les policiers auraient eu les moyens techniques de retrouver ces correspondances numériques, même des années après », opine-t-il. – Isabelle Paré, Le Devoir, 12 février 2016
Je pose donc de nouveau LA question: pourquoi les policiers enquêteurs n’ont-ils pas POUSSÉ les victimes au delà de ce qu’il a pu sembler décent? Si le policier parvient à faire brailler la victime par ses questions indiscrètes, et si elle n’est pas alors prête à révéler tous ces petits détails intimes, alors mieux vaut renoncer à l’offrir en pâture aux avocats de la défense. Le bureau des Procureurs a-t-il suffisamment insisté? La règle d’or, c’est: no stone shall remain unturned! Et tant pis si l’eau du lac en est toute brouillée; c’est là le principe cardinal que mon mentor m’a enseigné il y a 40 ans. C’était un winner.
Oui, je sais, c’est cruel pour la victime. Mais il y a quelques décennies, c’était plus cruel encore; c’est le procès de la victime que faisait l’avocat de la défense, et elle en sortait complètement démolie. Alors les victimes ont cessé de dénoncer. Tadaaaam!
Oui, je sais, Pierre-Hugues Boisvenu et ses tinamis Conservateurs souhaitaient accroître les droits des victimes, quitte à bafouer le droit de l’accusé à une défense pleine et entière.
De façon générale, les plaignants sont bien préparés à faire face aux interrogatoires, commente Me Rachelle Pitre, elle-même une Couronne sous l’autorité du Directeur des Poursuites Criminelles et Pénales (DPCP). De façon générale? Ça, j’en conviens – du moins, quand les compressions budgétaires n’affectent pas trop la qualité du traviail en amont du procès.
La pierre angulaire d’un procès d’agression sexuelle est la notion de consentement. Tout devient une question de crédibilité, et le contre-interrogatoire vise à tester la crédibilité d’un témoin. C’est un exercice exigeant, rigoureux, et c’est loin d’être une partie de plaisir. Mais c’est un exercice nécessaire au système de justice », explique Me Rachelle Pitre.
Pressé de questions après qu’il eut déclaré sa preuve close sans qu’un expert du comportement ne vienne tenter de recoller les morceaux, le procureur au dossier, Me Michael Callaghan, a fourni une explication qui aura laissé bon nombre de criminalistes sur leur appétit… et je partage ce scepticisme! Callagnan affirme – ce en quoi il a raison par ailleurs – que de nombreux juges ont reconnu que les rapprochements subséquents entre la victime et son agresseur sexuel – le cas échéant, n’avaient aucune incidencesur la culpabilité de l’accusé.
Erreur de stratégie???
Mais la question est plus complexe; l’avocate principale de Jian Ghomeshi, Me Marie Henein, l’a bien compris, elle qui a reconnu dans son argumentation que les courriels et les « I love you so much » postérieurs aux actes reprochés, qu’auront pu adresser les victimes à l’accus, n’ont pas de réelle importance en droit sur l’évaluation du degré de culpabilté de l’accusé.
Le problème, a-t-elle insisté, porte plutôt sur la crédibilité d’un témoin qui, après avoir été pressé de questions, consent ENFIN à déballer des faits qui n’avaient jamais été révélés aux enquêteurs. Dit autrement, la spontanéité des déclarations les rend toujours plus crédibles, ce pourquoi d’ailleurs les tribunaux ont toujours accordé beaucoup d’importance aux versions accordées par les témoins dès qu’ils/elles en ont l’occasion.
C’est ici qu’un témoin expert aurait pu recoller les morceaux et expliquer, par exemple, pourquoi et comment ces violences dont elles avaient été victimes ont pu être refoulées dans leur subconscient au point de n’en pouvoir sortir spontanément.
Bien sûr, des cas semblables ont été rapportés dans les annales judiciaires. Bien sûr, une jurisprudence abondante reconnaît ce phénomène de refoulement. Mais… le juge n’en a pas une connaissance judiciaire. Il ne peut tenir compte de cette hypothèse que si et seulement si preuve est apportée que les témoins X, Y et Z ont vécu ce refoulement.
C’es quoi, cette notion de « connaissance judiciaire« ? C’est un principe de droit qui veut qu’il ne soit pas nécessaire de faire la preuve des faits censés être connus de tous. Comme, par exemple, que l’eau gèle à zéro Celsius et atteint son point d’ébullition à 100 degrés. Par contre, le tribunal n’a PAS une connaissance judiciaire des principes sur lesquels reposent la psychologie ou la physique nucléaire.
Qu’une victime d’agression sexuelle puisse refouler certains souvenirs désagréables au point qu’ils demeureront dans son subconscient et qu’ils ne lui viendront pas spontanément à l’esprit, c’est possible mais le juge n’en a PAS une connaissance judiciaire. Même si le juge sait en tant qu’amateur de sport que les Leafs de Toronto n’ont pas remporté la Coupe depuis le printemps ’67, légalement,il n’a pas le droit d’en inférer quel âge a un dividu qui, d’après le témoin XYZ, serait né la veille de cette victoire historique. C’est la règle.
D’où, à mon avis, le risque que le 24 mars, le juge prononce le rejet des accusations d’agression sexuelle, au motif que le comportement des victimes ou leur réticence à tout dévoiler aux enquêteurs a pu soulever un doute raisonnable sur leur NON-consentement. Acquittement, donc? Peut-être pas. Restent les voies de fait, une infraction moins grave.
Auquel cas, dans les heures qui suivront, Mononc’ Menton pourra encore une fois se réjouir de la nounounerie congénitale de ces femelles que Dieu a inventées pour servir d’exutoire à l’homme. Et la direction du Hournal applaudira ces écarts de conduite répétés, qui constituent autant de propos haineux à l’égard des femmes, en contravention avec les dispositions impératives des articles 318 et suivants du Code Criminel.
C’est la méthode Québecor. C’est la technique Péladeau. La fin justifie les moyens, et la fin recherch.e, c’est le cash!
Plus Martineau vomit, et plus il fait vendre. Le capitalisme sauvage dans toute sa splendeur. Tadaaaaam!
@ PAPITIBI ,
je suis accusé au criminel et faut que j’aille pour des empreintes , vu la tempête qui s’annonce , vu que mon Toyota est très petit : Est-ce que je peux aller avant ou après la date et l’heure prévue vu que je suis handicapé ?
J’ai copié encore sur le même thème , le 27 mai 2014 à 16:07 , vu que faut que j’enlève les noms , ex = > De Serre , les prénoms = >Jean-Marie on peut laisser ?
Pour vous et vos amis , l’été je dis à près de + 30 que je me transforme en (Mexicain et à l’ombre) , mais là je dis que près de – 30 – 23 chez moi aujourd’hui , ben on chauffe la fournaise.
Bonne fin de journée ,
Jean-Marie De Serre.
@PAPITIBI ,
merci , de m’avoir dit , je ne veux pas manquer le rendez-vous.
Ce matin -23 sans facteur éolien et demain + 8. Cela fait que je n’ai pas à m’inquiéter du verglas trop.
Il y a un problème dans les petites Municipalité , on vient de tuer un Policier et pour moi ce n’est pas pire que n’importe qui d’autres que son travail comporte des risques. C’est pour cela que le régistre des armes à feu est complètement inutile.
La grogne s’installe dans les conseils , on la vu avec La La Tremblay la Vedette de la prière voilà pas long , il y avait de l’opposition.
On vient de me dire de mettre mon commentaire ,
on se reparle chez pas quand……….
Jean-Marie De Serre.
@ PAPITIBI ,
Monsieur Papitibi , je vous reparle encore pour donner suite à ceci ,
colle = >Il y a un problème dans les petites Municipalité , on vient de tuer un Policier et pour moi ce n’est pas pire que n’importe qui d’autres que son travail comporte des risques(pompiers etc). C’est pour cela que le régistre des armes à feu est complètement inutile.
Par contre à Tingwick , entre le 6 et le 9e Rang semblable à plus haut , il y a eu mort.
Comme c’était le même matin que je devais être opéré , il y avait des barrages partout et je revenais de mon autre Ferme , je n’avais pas le temps et je n’ai pas poser de questions , mais pourquoi on a pas appris de cela chez les policiers ?
Un Policier qui intervient ou Policiaire le visage protéger et veste pare balle full top car on en fini plus d’améliorer ce qui tue………. C’est qui la faute : La Pentarchie Religieuse……………..
On a enlever JM2BLEU du Web et je ne comprends pas pourquoi. Mais il y avait de la matière là.
Si l’UPAC me rencontre , je vais leur dire que je ne comprends pas que l’on m’aie flusshé ……………
Jean-Marie De Serre.
J’avoue que cette histoire du viole me laisse les bras pendant. Mais il y a une chose que je suis certain. Ceci ne ressemble pas à des pratiques de sadomasochiste. Règle général avant même que « l’action » de commence, des règles sont établit et un mot code est crée de façon que celle ou celui qui occupe la position de dominée puissent tout arrêter à n’importe quelle moment. Le coup de poing aucun adepte de sadomasochismes ne ferais ça. Trop dangereux, dommageable et incapacitant.
@ Alain 19:29
Il n’y a pas une grand-mère qui fait ses pâtés à la viande de la même façon et je suis concaincu que pour chacune d’entre elles qui y incorpore l’épice XYZ ou des pétaques pilées, il y en aura 100 pour dire que « ça se fait pas« .
De même, il n’y a pas de limites à l’imagination et à l’expérimentation des partenaires l’un(e) envers l’autre. Ni aux tabous exprimés, d’ailleurs. Toutes les femmes que j’ai amenées dans mon lit aiment se faire « mordiller » les oreilles. Elles aimaient toutes les caresses de la nuque. Toutes? Non. Il y en a une qui devenait très agressive (pour ne pas dire plus).
Alors pour les pratiques sado-maso, j’imagine que s’il existe certains « codes » entre certains partenaires, pour d’autres couples, par contre, la douleur est un ingrédient essentiel au plaisir… Comme certains ingrédients atypiques dans certains pâtés à la viandre
désolé papi, Je comprends ton opinions, malgré tout, il y a plusieurs chose qu’il ne colle pas. Les adeptes du SM sont très discrets étant donner l’image négatif de leur pratique. À la fin de la séance rien qu’un vêtement normal ne peut cacher ne peut paraitre donc les sévisses à la tête ou au visage sont hors de question. De plus comme tu le dit, le but est d’infliger de la douleur. Le poing à la figure fait plus de dommage et assomme plus qu’il n’inflige de douleur. Pincer, fouetter, gifler, coincer, électrifier et bruler sont plus dans les cordes des personnalités sadiques que de faire perdre la carte. Le coup de poing à la tête par contre est parfait pour faire tombé toute résistance à assommant la victime.
@ PAPITIBI ,
Monsieur Papitibi , pour la suite à ce que si cela colle , j’aurais une question avant , pourquoi on prend si souvent les empreintes quand on va au criminel ?
Si vous permettez j’en aurais une autre , toutes les fois que je vais pour les empreintes sauf une , je vais à la réception , et on me dirige plus loin et je passe à l’extérieur.
Là-bas , room d’attentes très confortable , mais il y a un bruit que j’ai découvert mardi , qui m’endors hiver comme été. Mais comme les ours je dors plus dur l’hiver , quand le Policier a ouvert la porte j’ai fait un cris de jump , une chance qu’il n’y avait personne encore , j’aurais pu la blesser avec ma canne…
Est-ce que l’on pourrait rendre plua silencieux les deux ?
Jean-Marie De Serre.
24 mars. Le juge vient d’acquitter le beau jeune homme. Il vient de PLANTER les trois dindes qui avaient fait dresser les cheveux sur la tête de Mononc’ Menton.
Mononc’ Menton, lui, avait amorcé sa danse du cobra en se pavanant torse nu et en roulant son gros cul devant une « cliente », aux Francs Tireurs d’hier soir. Prélude, sans doute, à une bonne branlette de réjouissance et d’exultation en raison de l’acquittement pour motif de putasses non crédibles.
Je vous l’avais bien dit, dira le Martinôôô: une greluche, c’tune greluche.
= = =
Pas encore lu le jugement, cela dit; les médias ont rapporté que la critique des trois « victimes » avait été acerbe mais pour ma part, et pour avoir moi-même soumis des témoins à une séance intensive de « contre-interrogatoire » simulé pour tester leur capacité à résister à la chaleur du fourneau, je demeure sous l’impression que les policiers-enquêteurs ET/OU la couronne sont fautifs dans la préparation des témoignages pour le procès.
Au cours de ces simulations, deux fois sur trois j’ai fait craquer les mamans qui avaient accouché d’un enfant atteint de paralysie cérébrale en raison d’une erreur médicale ou hospitalière. « Coudon’, toé crisse, on dirait que tu travailles pas pour moé! Pourquoi tu m’fais chier de même, sacraman? »
Pourquoi? Parce que si t’es pas capab de stander la chaleur dans mon bureau, c’est devant le juge que tu vas craquer. Dans mon bureau, tu t’essuies pis tu recommence. Devant le juge, tu perds ta cause. Pis tes millions… Faque on va recommencer demain matin, pis on va recommencer aussi longtemps que ça va ME sembler nécessaire pour que tu gagnes ta cause.
= = =
Assez winner, comme stratégie. Coûteux, mais winner. Et quand c’est winner, c’est gé-né-ra-le-ment payant.