L’émotion m’étreint. Tsé, là, l’émôôôtion avec trois os circonflexes; y a d’la moelle là-dedans. C’est pas comme des os creux qui goûtent rien!
Quand je pense que Bell Media a enlevé son micro à Jeffie Jiffy Pop Fillion! Comme si, en les privant de leur Captain Libââârté, la Grosse Cloche bleue avait voulu exercer des représailles contre les Villageois parce que leur Centre Vidéotron est pas mal plusse glam que le Centre Bell!
Je chie pour toi, Libââârté!
«quand tu fais de la radio pour quelqu’un qui a des mains et des tentacules partout, ça implique que tu ne peux pas dire grand-chose et à la radio, et sur Twitter. C’est tu dégueulasse? Peut-être. C’est tu injuste? Peut-être. […] Ça prend un appel de Toronto pour faire d’un pitbull enragé un chihuahua édenté.» – La Grosse Barbe à Denis Gravel, sur les ondes de RadioX [1]
Quand j’pense que les pauvres nostalgiques du pitbull n’ont plus que cette image à se mettre sous les crocs pour se remémorer l’immense talent qu’avait étalé Jeff Fillion sur son compte de Twit; ça m’arrache un torrent de larmes!
Une précision: le bouffon d’opérette déguisé en Jeff Fillion, ci-dessus, c’est la reproduction d’un authentique Ygreck de l’époque où Jappi Toutou s’était présenté à la mairie de Québec contre Régis Labeaume, le 1 novembre 2009.
Qui ça? Moé? .
Il n’y a pourtant aucun commentaire, clamait Fillion pour sa défense, en réponse à ce Éric Dépatie. Delphine Lamothe lui exprime sa honte? L’autre fait mine de ne pas savoir de quoi elle parle. C’est pas une grosse histoire; c’est juste la gauche – qui n’a pas su interpréter ses propos et qui exige sa ration de sang quotidien.
Du mépris ;a l’égard des Taillefer, père et fils défunt.. Du mépris à l’égard de tous ceux qui ont OSÉ lui en faire reproche. La réplique de Fillion, c’est une insulte à l’intelligence collective. Celle des Québécois du village Labeaume, et celle de tous les autres, du Nunavik aux Îles de #SalutSalut.
Je suis aussi un père, écrivait-il. Peut-être. Mais avant de chier aussi mou, il aurait dû penser à la honte que va éprouver sa descendance. Tu corresponds à la définition de père indigne.
Je n’ai rien dit? Qooooh, que oui, t’as dit kek chose! Tu as dit à quel point tu es incapable d’assumer ta propre marde. Le Québec a besoin de sang* Noooon. TU as besoin de sang. Sophie Chiasson, Pierre Jobin, les Gaspésiens, Raïf Badawi, Alexandre Taillefer…
Qui ça? Encore moé? Oh, Shit!
L’émoticône-à-palettes n’a pas rapport, par contre. écrivais-tu au chroniqueur Hugo Dumas, du Soleil? À ton avis, ducon, et puisque nous sommes bien en 2016 pluôt qu’en 1516, à quoi peut bien servir une émoticône dans un texto, ou encore dans ces tweets limités à 140 caractères? C’est très parlant, une émoticône, tu penses pas, Señor Chihuahua? Et surtout, ça ne pèse pas lourd sur Twitter!
Et pourquoi celui-la en particulier, avec des lunettes à la Taillefer pis deux grosses palettes de demeuré? Bis repetita placent; deux fois l’erreur est répétée! Était-il nécessaire d’en coller deusses, comme pour appuyer su’l crayon? Deux émoticônes jumelles, c’est pas un peu comme écrire en majuscules sur les internets? C’est pas un peu comme pour CRIER ton mépris?
Vous avez le droit de déformer mes propos… mais ça n’est vrrrraiment pas fair!
Hé bin… C’est qui, déjà, l’ordure qui – parce qu’il ‘a aucune éthique de travail, avait déformé les propos de ce Taillefer qu’il haït si tendrement!
Plutôt que de te renseigner auprès d’une source digne de foi, tu te contentes d’un compte-rendu que tu as toi-même qualifié d’insignifiant. Si ce compte-rendu était à ce point insignifiant, pourquoi alors lui avoir prêté foi? Au rythme où tu accumules les âneries et les invraisemblances, je n’ose imaginer la brutalité sauvage des orgasmes intellectuels que tu dois déclencher chez l’avocat qui dirige ton contre-interrogatoire!
Please! Fais-moi un procès, que je puisse te faire avaler ton dentier
Dossier fermé!
Game over, en effet. Tout ça pour un tweet? Libââârté! Sus à la censure des anti suce-cul!
Et si c’était pas si simple? J’le jure su’à tête à Jeff Fillion: j’aurai l’occasion d’élaborer – dans vraiment vraiment heu vrrraiment pas long – sur cet odieux (?) Game Over.
Après toute, j’ai une ‘tite formation en marketigne, une ‘tite formation en médias, pis une moins p’tite formation en droit, pis faut bin que ça serve à kek chose, non?
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[1] La dernière phrase, c’est cité tout de travers. J’assume, puisque le sens n’est pas altéré. Le vrai Grand Gravel avait dit: «Ça prend un appel de Toronto pour transformer un gars qui se prend pour un bulldog en chihuahua.»
Gravel a manqué de respect envers Jeffy Jiffy; un bulldog, ça bave. Un pitbull, ça mord et ça âche pas le morceau.
« Au rythme où tu accumules les âneries et les invraisemblances, je n’ose imaginer la brutalité sauvage des orgasmes intellectuels que tu dois déclencher chez l’avocat qui dirige ton contre-interrogatoire!
Please! Fais-moi un procès, que je puisse te faire avaler ton dentier »
J’adore!
@ PA^PITIBI ,
Monsieur Papitibi , que Pensez vous de l’affaire Denis Coderre , d’interdire à DIEUDONNÉ , de présenter ses spectacles à Montréal ?
J’ai redis sur FACEBOOK , on verra…….. Mais cela ne se peut pas mais pas pan toutte. La LIBERTÉ d’expression , cela commence au Québec.
Jean-Marie De Serre.
@ JMdS 16h49
Je ne suis pas très chaud à l’idée de permettre à Adil Charkaoui de chier sa merde dans l’ampithéatre du Cégep Maisonneuve ou dans une université où il aurait loué un local, mais mon problème n’est pas avec le fait qu’il donne une conférence, mais qu’il la donne dans une instituyion « de haut savoir ». Dans l’esprit du public, ça peut donner l’impression que Charkawi (ou tout autre) vient donner un cours, et ça « légitimise » ses propos.
Il y a quelques années, une militante d’extrême-droite (Ann Coulter, sauf erreur) devait s’adresser aux étudiants de l’Université d’Ottaqa mais l’Université avait refusé. J’étais d’accord avec l’Université pcq la direction a une obligation de protéger les locaux et ses étudiants contre la violence et c’est sûr qu’il y aurait eu de la casse et que des opposants aux idées de la madame iraient la chahuter.
Je suis pas d’accord avec les opinions politiques de Dieudonné et son antisémitisme, c’est de la marde. Par contre, je suis pas sur que Coderre a raison sur le plan légal.
a) est-ce qu’il y a des débordements de violence quand Dieudonné donne un spectacle? Pas sûr…
b) si Coderre voulait interdire un rassemblement dans un édifice qui appartient à la Ville, il pourrait avoir le droit de lui interdire l’accès puisque la Ville a le pouvoir de faire ce qu’elle veut avec ce qui lui appartient
c) mais là, sur le plan légal, puisque la salle de spectacle n’appartient pas à la ville (je présume, car j’ai pas lu), il reste à la ville la juridiction sur ce que les avocats appellent « la paix et le bon gouvernement » à l’intérieur du territoire municipal. Si la police pense que le risque de violence est élevé, je dirais NON. Si la police pense que le risque de violence est nul, alors à première vue je ne vois pas de quel droit le maire peut dire NON.
La liberté d’expression de Dieudonné s’arrête là ou débute le droit des Montréalais à leur sécurité.
Je n’aurais jamais cru un jour donner raison au petit caporal Lévesque de Trois-Rivières qui disait ce jour à la radio quelque chose comme: si les gens veulent assister à son spectacle, ils sont libres de le faire. S’ils n’achètent pas le billet, ce sera un flop et les promoteurs et Dieudonné en prendront acte.
Par contre, le bon sens et certaines lois interdisent certains propos haineux et autres chiasseries dont Dieudonné s’est fait le chantre; il me semble donc que ce n’est qu’après coup, après le spectacle, qu’on pourrait le considérer officiellement persona non grata. Me trompé-je? Personnellement, je le classe dans la même catégorie que les Mike Ward et Jeff Filion: des merdes à face humaine.
Ce sont les citoyens qui en décideront par l’accueil qu’ils lui feront, un peu comme on l’a fait avec la Le Pen, quoi!