
Ce qui distingue l’homme – incluant l’homme femelle – de la bête, c’est sa capacité à apprendre de ses erreurs.
En ce sens, la marouale est toute une bête politique! Testing! One-two… toute une bête…
Une bête de somme, en somme. Une bête qui cherche à diviser, qui multiplie les bourdes et qui essaie de se soustraire à cette bouette immonde qui lui revient en pleine face avec un effet boomerang. De savants calculs l’ont amenée à déclencher des élections au moment qu’elle avait jugé le plus opportun. Mais la baguette magique ne lève pas. Pas d’érection…
La bête s’en est pris à Monsieur de Couillard parce que, voilà plus de 20 ans, le bonhomme avait – comme des milliers d’autres Québécois, gagné sa pitance chez les Wahhabites de Saoudie. Et alors qu’il n’entretenait aucun lien avec le Canada, il avait ignominieusement versé ses payes dans un compte off-shore, au lieu de les déposer en Saoudie… où on ne perçoit aucun impôt sur le revenu. Cachotterie? C’eut pu. Mais à son retour au Québec, l’homme a tout déclaré sans même que le fisc ne cherche à l’y contraindre.
La bête n’en rumine pas moins. C’est cheap! Pourtant, quand son poulain Pierre-Karl se voit infliger le même traitement par les p’tits baveux de Québec Solidaire, la dame monte aux barricades. Faites-moé pas chier, c’est une tempête dans un verre d’eau! Y a pas eu d’évasiion fiscale de la part de MON candidat ou de ses compagnies.
Soit. Et pourtant, elle en remet encore sur Couillard. Comme si elle n’avait pas compris le principe du boomerang.
Couillard n’a pas dénoncé ses amis saoudiens avec suffisamment de vigueur, clâme-t-elle encore
Il devrait autant dénoncer ce qui se passe en Arabie saoudite, qui met en cause les droits des femmes et de beaucoup d’autres personnes qui se distinguent dans cette société.»
Le chef libéral a perdu patience. «Quelle niaiserie! Je m’excuse, mais quelle niaiserie de dire une affaire de même! Comme s’il y avait un Québécois qui trouve acceptables les coutumes sociales de ce pays-là – Paul Journet et Tommy Chouinard, La Presse, 30 mars 2014
Indeed! Mais que dirait la Pauline si un aspirant au trône saoudien s’invitait dans la campagne électorale et se mêlait de qualifier la Charte des valeurs de disgrâce islamophobe? Pas sûr qu’elle ne lui répondrait pas de se mêler de ses affaires… Et à vrai dire, elle serait parfaitement justifiée de l’envoyer paître avec ses chameaux!
Voilà-t-y pas qu’Alain Gravel s’adresse à deux dénonciateurs de Monsieur Pauline… heu, Monsieur Claude. Les deux dividus ne sont pas anonymes; Radio-Canada connaît – mais protège – l’identité de ses sources.
Et comment réagit Madame Claude… heu, Madame Pauline? Elle réagit comme l’aurait fait une ado de 15 ans, toutes griffes dehors: Faites-moé pas chier, c’est une tempête dans un verre d’eau! Y a pas eu de crochitude de la part de MON mari.
Me semble que je le connais, cet air-là! Lire la suite