
Oui, je sais, j’aurais dû écrire ″Alice aux pays des vautours″ mais bon, ça s’éloignait trop du roman de Lewis Carroll, Alice in Wonderland/Alice au pays des merveilles. Désolé, folks, pour ce titre trompeur…
Mais une corneille, ça reste un oiseau de malheur, ne serait-ce que par son chant lugubre, qu’on pourra écouter ici avec une joie à peine contenue!!!
Dans l’esprit tordu de ce phallocrate, les rôles sont inversés; la pauvre victime, c’est ce bon monsieur Gerry Souvlaki!
Pas les enfants du couple Souvlaki. Pas madame Souvlaki, dont le statut Facebook pourrait passer bientôt de ″en couple″ à celui de ″en réflexion″. Non, non, non, LA victime, c’est ce pauvre Monsieur Souvlaki, sur qui tous ces médias crasseux ont apposé le label crasseux de ″prédateur d’habitude″, un peu comme le label ″criminel d’habitude″, inventé par la Justice pour maintenir les indésirables en réclusion.
Non, non, non, ZE VICTIM, c’est ZE Souvlaki dont les doigts de poulpe semblent s’être déployés partout partout sur le corps de cette fille qui n’avait même pas la moitié de son âge. Éthan P-o-u-l-p-y, qu’il signe? Génial, ce pseudo, pour un défenseur du droit des poulpes, non?
La participation des médias dans le ″victim shaming″
Diabolisation de la victime. Culpabilisation de la victime. Victim Blaming. Aux States, ils ont ce Donald Trump, tellement obnubilé par sa propre image de Mr Clean Hands que sa campagne à la présidence s’articule désormais autour de la menace de poursuivre ses dénonciatrices devant les tribunaux. Au Québec, c’est l’Armée des Zombies qui sonne la charge.
Le commentaire ci-dessus est tiré du Huff Post, un média qui a perdu son âme depuis que Ariana Huffington l’a vendu à AOL. Lire la suite