« Coco » Couinard dénonce, pour une deuxième fois, l’humble blogueur gauchiste qu’est Papitibi.
Dans un billet [Femmes, féminisme et droite] qui se veut une réponse à mon mien papier du 8 mars, les zamis de la vâââârité poursuivent leur délire:
À partir des éléments qu’il [Papitibi] soulève, je pourrai préciser ma pensée à propos du rôle de la femme dans la société…
Avant tout, une femme doit remplir son devoir naturel, qui est celui d’être mère. Ce devoir s’inscrit, bien entendu, au sein de l’institution sacrée qu’est le mariage. En enfantant, la femme peut ainsi pleinement s’épanouir, et réaliser la fonction pour laquelle Dieu l’a créé.
Pour être conséquent avec cette fonction, une femme politicienne se doit d’être une mère. Politiquement, il serait contradictoire qu’elle ait une orientation politique autre que de droite. En effet, il s’agit du seul moyen de défendre les valeurs familiales contre les maux qui les menacent: soit l’avortement, la légitimation du concubinage ou la légalisation de pratiques immorales.
Dieu a créé la femme pour enfanter et faire la vaisselle, et l’homme, pour s’émerveiller des performances de P.K. Subban. La Bible disait aussi que la femme doit se donner à l’homme et lui obéir, alors que l’homme doit la corriger physiquement au cas d’errements. Et la protéger de tous… sauf de lui-même!
Un respectable [1] commentateur, Simon Picotte, dont j’ai trop longtemps tu l’immense talent, philosophait sur les motifs qui avaient inspiré au comédien Mel Gibson son meilleur rôle, celui d’un goujat jaloux:
«Tu ressembles à une putain de chienne en chaleur. Et si tu te fais violer par une bande de nègres (niggers), ce sera ta faute.» [Mel Gibson, à sa conjointe]
Cette métaphore existe chez tous les peuples de la terre depuis la nuit temps. Elle est déterminée neurologiquement pour éviter que des clans d’hommes des cavernes volent des femmes d’un autre clan. Et c’est resté.
Une métaphore! Une métaphore déterminée neu-ro-lo-gi-que-ment! Que de poésie… Et quel observateur perspicace de la fumelle en rut, ce Picotte, quand même:
J’ai grandi dans un environnement de belles femmes et elles adorent tous ce faire dire qu’elles ont l’air de vraies putains ou de vraies salopes. Cela est un gage de leur beauté selon elles. Je suis un fin observateur de la nature humaine et on ne peut m’en passer des vites de même. Mon ex m’a déjà affirmé qu’elle aimait que je lui dise qu’elle avait l’air d’une pute. Rien de moins. Que Lizzie la Docteur en psy de la très prestigieuse McGill vienne m’expliquer ce phénomène ici maintenant sur ce blogue sans délai. Et pour la récompenser, il me fera plaisir de lui signaler que je suis convaincu qu’elle est belle comme une salope.
Même mon bon ami Jean-Loque y allait de son analyse percutante , le 17 juin 2010:
Est-ce que ça aurait un lien avec le complexe d’infériorité que certaines femmes ont (dont la plupart d’entre elles sont, étrangement, des fémi-fascistes enragées) à l’égard des hommes, depuis que les femmes ont les mêmes droits que les hommes, mais qui est, quand même, une séquelle de l’époque où elles vivaient comme dans «Papa a raison», hein???
L’un de ses compatriotes d’Antagonistan [Seeds72] eut le 17 juin 2010 cette réplique empreinte de sagesse:
Oui c’est vrai Proulx,… j’ai trouvé les statistiques qui démontraient que plus d’hommes étaient de droite….
Je crois que ca s’explique plutot par le fait que Plus d’hommes ont la faculté de la raison développée, alors que plus de femmes sont émotionnelles et donc répondent par des émotions (la gauche).
Les homos aussi sont plus emotionnels, donc comme Chose disait, ils sont gauchistes eux aussi.
Ha! Voilà donc l’explication à cette homophobie si répandue au sein de la drouate. Et ça n’a rien à voir avec la morale. Les tapettes sont des hosties de go-gauches, voilà tout!
Donc donner le droit de vote aux femmes a nuit a nos libertés, nuit a notre cause libertarienne Lire la suite