Hulk Ford: une victoire de la sorcière Horwath va provoquer un exode MASSIF des Ontariens

Je peux pas croire que 40 ans après le Québec de Ti-Poil, l’Ontario de la socialiste sorcière Horwath est à son tour menacée du coup d’la Brinks. Au débat de la CBC (27 mai), Pitbull Doug a affirmé que des centaines de représentants des milieux d’affaires lui ont pissé au creux de l’oreille qu’ils sont pé-tri-fiés devant la perspective d’un gouvernement NPD: we will pack-up and go down South in a half a second!

Paroles en l’air! Ce sont les mêmes qui menaçaient de fuir l’Ontario si Kathleen Wynne y fixait le  salaire minimum à  $15. Elle l’a fait. Et ils n’ont pas bougé. 

Je vois déjà les réfugiés ontariens traverser la Ottawa River puis le Pont Champlain qui menace ruine, avant de  franchir le chemin Roxham et  d’implorer les douaniers amerloqués et interloqués.

Please, let me in. I’m WHITE. I’m WEALTHY. I stand with Trump. I’ll buy myself a fully automatic rifle and join the NRA if I have to. And I’m escaping the People’s Socialist Kingdom of Horwathistan. I can’t stay in Kweebec, these assholes speak French! Come On, buddy – I’ll let you grab my wife’s pussy. Deal?

Les éclopés de Flaherty

Jim Flaherty m’aura toujours inspiré des sentiments plutôt positifs, et ce, même si ses lois fiscales m’ont parfois fait grincer des dents – en raison notamment de leur contenu non budgétaire. Mais de cela, j’ai toujours pensé qu’il n’était pas responsable. Un bon soldat, fidèle à ses valeurs, loyal à son chef, sincère, cohérent, rigoureux, intègre, affable. Et mortel. Un soldat qui obéit aux commandes du Commander-in-Chief. Un soldat qui aura servi jusqu’à la fin. 

Dewouârre, Kyoto… ou les casseroles du ministre des sables bitumineux

Le Canada mis KO par son ministre des sables bitumineux: KO, comme dans Kyoto? Out!

À peine débarqué de l’avion qui le ramenait de la conférence de Durban, le ministre des sables bitumineux annonce le retrait du Canada.

Comme le Canada sera incapable de respecter ses engagements, il serait forcé d’acheter des crédits de carbone qui totalisent 14 milliards en guise de compensation, calcule le ministre. Il préfère donc se retirer de l’entente, et il jette le blâme sur le gouvernement libéral pour avoir signé le traité en 1997. – Martin Croteau, La Presse, 12 décembre 2011

Trop modeste, mossieu le ministre; il omet de mentionner que si les Libéraux ont signé le protocole de Kyoto, c’est parce qu’ils avaient prêté foi au documentaire L’effet de serre, présenté à la CBC le 24 janvier 1984 par le journaliste Peter Kent [1]. Oui, oui, LE Peter Kent, que sa nomination à titre de ministre des sables bitumineux a libéré du poids de son propre cerveau.