« les juges ne sont pas fous. Ils sont fanatiques. Ils croient au multiculturalisme à la manière d’une religion politique. Ils veulent y soumettre la société canadienne au multiculturalisme et sont prêts à tordre le cou au bon sens pour y arriver. Qui doutera encore que nous vivons sous la tutelle du gouvernement des juges? »
C’est clair, la Cour veut casser le parlement et lui donner une bonne leçon. Il y a dans sa décision une arrogance qui transpire le sentiment de supériorité morale de ceux qui prétendent imposer à une société une doctrine dont elle ne veut pas. Les juges connaissent les droits et les interprètent à la manière de grands prêtres surplombant le commun des mortels. – Bock-Côté, Hournal de Mourial, 16 septembre 2017
Kâlasse de tarte à la noix! Si les sociologues s’étaient regroupés sous le parapluie d’un ordre professionnel, non seulement Mathieu Bock-Côté (also known as Phock-la-Vérité) serait la honte et la risée de sa profession, mais en aurait été exclu pour cause de charlatanisme aigu.
Le prince des dindons
On a offert à ce gros bébé joufflu les tribunes les plus prestigieuses; après tout, le jeune homme glousse avec éloquence et c’est avec une magnanimité à la mesure de son immense égo qu’il fait étalage de sa pédanterie grotesque, au moyen d’un discours ésotérique destiné à mystifier la galerie. Mais en dépit de ce déguisement de jeune paon, le prêche de Bock-Côté est celui d’un gros dindon alimenté aux préjugés les plus abjects.
Le texte de Frachieu Bock-Côté témoigne davantage de ses immenses talents de pute que de ses maigres talents de penseur. Lire la suite