La belle-maman du freak à fricclestone

Tout est bien qui finit bien, la  jeune madrasta  de Tonton Bernie a pu être arrachée à ses ravisseurs sanguinaires. Notons toutefois que tonton Bernie – ou  Tio Bernie, diront plutôt les brasileiros, ne semble pas avoir  offert une maudite cenne nouère pour  récupérer le colis:

 

Selon le quotidien brésilien Veja, Aparecida Schunck, 67 ans, a été enlevée devant chez elle, dans le quartier Interlagos à São Paulo, qui se trouve à plus de 400 km de Rio. Les ravisseurs exigeraient une rançon de 36,5 millions de dollars US (environ 48 millions CAN) …

Mme Schunck est la mère de Fabiana Flosi, 38 ans, qui a épousé Ecclestone, âgé de 85 ans, en 2012. – Jean-Philippe Arcand, La Presse +, 27 juillet 2016

Apparence  que la jeune épouse n’a pas pardonné au vieux tonton son caractère radin; on verra bien si elle le prive de nanane!

Toutte est dans toutte, par ailleurs. La madame avait  été enlevée dans la riche banlieue d’Interlagos, et c’est justement là qu’est couru le Grand Prix automobile du Brésil, l’une des composantes de la machine-à-piasses de la vadrouille Ecclestone.

L’enquête menée par Radio-Moustache  identifié trois commanditaires potentiels de cet enlèvement. Que le lecteur attache sa tuque avec d’la broche: le coupable serait québécois! Un pure-laine.

Directement de la bouche du ch’fal

Madâââme Pantoite nommée à Parisse, les juments ­’exclutes’ du Vieux-Mourial

Que de choses aurons-nous tu apprites toutes crutes en ce 17e jour de mai [1]:

King Kod-R et l’adrénaline du marteau-piqueur

Cette imagea été prise à l’entrée du Parc-Nature – un Parc dans lequel la Ville de Montréal a beaucoup investi ces dernières années. Un parc en bordure du Lac des deux-montagnes. Sans doute que jouquée une bonne paire d’échasses empruntées au Cirque du Soleil, Sarah Palin pourrait saluer Justin Bieber de la main quand le petit monsieur s’en ira se déhancher au Beach Club de Pointe-Calumet.

Et ça, c’est les sparages du rappeur King Kod-R, que l’on aperçoit alors qu’il s’apprête à faire chanter son marteau-piqueur à l’entrée du parc.  Drette su’l bord de ce Boulevard Gouin,dont le tracé étroit et sinueux épouse le parcours de la Rivière des Prairies. Est-il particulièrement approprié d’installer des boites communautaires à l’entrée du Parc ou sur le Boulevard Gouin? Je ne sais pas. Mais sur les pages du National Post, c’est le King Kod-R qui passe pour le vandale; pas cette Société de la Digne Couronne qui a saccagé un Parc-Nature…

Coderre est un bandit. Un criminel. Un vandale, qui a saccagé la propriété de la Couronne fédérale! Il mérite le fouet! Évidemment, personne ne semble avoir réfléchi au fait que ce qui appartient à une Ville appartient indirectement à la Couronne provinciale, dans la mesure où Québec a droit de vie  et de mort sur les cités, villes, villages et Municipalités Régionales!

Le syndrome Ponce-Pilate

Le 14 mai, à 11h47, un libââârtarien BCBG – Jaw Reform Sequel – blâmait les cochons qui rejettent leur junk mail dans la nature, plutôt que Postes Canada, pour avoir planté des boîtes communautaires en un tel endroit… comme si Postes Canada ne devait assumer aucune responsabilité pour l’abandon dans la nature de cette merde publicitaire qu’elle a elle-même livrée. Une livraison qui – soit-dit en passant – est génératrice de profits pour Postes Canada… et génératrice de  dépenses accrues pour les autorités municipales, tant au niveau du nettoyage qu’au niveau de la gestion des matières recyclables.

People are pigs so do you think we should pay billions for an unneeded/uneconomical service just because people are pigs?
The ultimate nanny state. Litter around the boxes is not an excuse not to have them.

Comme Ponce Pilate il y a ±1982 ans, Postes Canada se décharge de toute espèce de responsabilité.

Postes-Canada et ses tites bouettes communautaires

J’ai reçu il y a quelques semaines un avis d’implantation de ma future nouvelle bouette communautaire. Ce sera, m’informait-on, en face du XXXX, avenue YYYY.

Le numéro civique devrait en principe correspondre à celui de mon voisin d’en face. Bingo! Je traverse la rue et m’y voilà. Sauf que j’me vois déjà ramasser le junk-mail que le vent aura dispersé sur ma pelouse. Bon… comme je ne prends jamais rien pour acquis, je traverse la rue et je cherche l’adresse indiquée… qui n’existe pas! Oups!

Je vérifie cette fois sur PostesCanada.ca, à l’aide de mon code postal. Oups again! La carte indique que MA bouette communautaire sera plutôt installée à l’intersection voisine. Alors là, c’est le boutte du boutte, j’appelle au 1-844-454-3009; après que je lui eus fourni mes coordonnées, le gars consulte son logiciel [construit autour de Google street view]. Il me décrit les lieux, il situe les arbres et me dit, triomphant: c’est drette en face d’une maison qu’il me décrit en détail. Bon… je connais la cabane, je connais son proprio, je sais où c’est, mais diantre, l’endroit ne correspond ni à celui de l’avis écrit, ni encore moins  à celui que m’indiquait la carte à laquelle mon code postal me donnait accès.

Encore que, d’ajouter le porte-parole, ça  pourrait encore changer!

J’objecte au monsieur que dans ce secteur, la ville n’a aménagé qu’un seul trottoir – de l’autre côté, si bien que pendant les six mois que dure l’hiver,abitibien, la Ville y pousse la neige et la laisse s’y accumuler jusqu’à 8-10 pieds de hauteur.  Pas grave, qu’il me dit, on va payer un entrepreneur pour déblayer l’accès aux boites communautaires.

Chaoui et le chameau: je blatère, tu déblatères (ou inversement)

D’aucuns affirment que les chameaux qui ont fait sciences humaines sans maths détiennent le monopole de l’irrationalité. Hamza Chaoui, dont on a vaguement entendu parler – j’veux dire, il soulève des vagues! –  a confirmé son statut de chameau full rationnel le jour où il obtint son diplôme en génie électrique de cette Université nommée en l’honneur de Saint François de Montmorency-Laval, homme de foi et Monseigneur de son état.

Ni la démocratie ni les feufis ne sont solubles dans la bouillabaisse coranique, d’affirmer le chef Chaoui:

Selon l’imam Chaoui, les femmes devraient avoir un tuteur et les hommes devraient porter la barbe. Il critique aussi la démocratie, qui permet d’élire des homosexuels. – TVA, 30 janvier 2015

Mais l’imam-ingniégnieur électrique semble avoir du mal à imposer sa recette parmi les fidèles de sa propre communauté, rapportait madame la Ministre Lise Thériault le 31 janvier:

«Au cours des derniers mois», Hamza Chaoui a pris part à un «rassemblement» auquel assistaient des musulmans.

[…] «Après l’avoir entendu, les gens de la communauté musulmane à Anjou lui ont signifié clairement que ce n’était pas leur façon de voir l’islam, que ce n’était pas leur façon d’appliquer leur religion et que ce n’était pas compatible avec les valeurs du Québec. Ils lui ont demandé de ne jamais revenir.»

Le gniengniégnieur de la Foi a dessein d’implanter dans l’Est de la Ville de Montréal une patente-à-gosses moitié mosquée, moitié centre communautaire, moitié centre de formation de la jeunesse anti-feufi; après l’avoir autorisé à procéder à des travaux de réaménagement dans le bâtiment qu’il avait spotté pour son projet grandiose à la gloire d’Allah et du Prophète, l’arrondissement cède aux pressions.

Denis Coderre et le maire d’arrondissement Réal Ménard ont annoncé ce matin qu’ils opposaient une fin de non-recevoir au projet parce qu’ils craignent pour la sécurité des Montréalais.

«Des informations obtenues auprès des différents organismes responsables de l’application de la loi m’ont convaincu qu’il est de mon devoir de ne poser aucun geste de nature administrative qui aurait pour conséquence d’offrir une tribune à l’imam Hamza Chaoui», a dit M. Ménard.

L’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve modifiera ses règlements pour bloquer la création du centre communautaire de l’imam Hamza Chaoui, qualifié d’«agent de radicalisation» par le maire de Montréal. – Philippe Teisceira-Lessard, La Presse, 31 janvier 2015

La règle de droit en matière de zonage

Ne vendez pas trop vite la peau de l’ours – et encore moins celle de l’ingniégnieur-imam, bande de mécréants. Il y a un os… 

Montréal: la honte a une ville

Saisissante, cette image de l’Hôtel de ville de Montréal par Michel Julien.

Dommage, toutefois, que les ronds-de-cuir de son Service des finances ne soient pas toujours aussi lumineux…

Une erreur de la Ville de Montréal a forcé un propriétaire à payer deux fois une taxe municipale pendant 15 ans. Plutôt que de s’excuser et de le rembourser, la Ville lui répond par la bouche de ses avocats.

Michel Plouffe est propriétaire d’une maison à Rivière-des-Prairies. Une lettre de la Ville lui a récemment appris qu’il a été victime d’une erreur lors de l’imposition de la taxe à l’amélioration locale. L’erreur s’est répétée chaque année pendant 15 ans, pour un total de 15 960 $. –François Dallaire, Ici.R-C/La Facture, 30 novembre 2014

La Ville invoque – un peu à l’aveuglette à mon avis, les dispositions contenues à l’article 2925 du Code civil pour limiter le remboursement aux seuls montants perçus en trop au cours des trois dernières années.

18 août: la grande invasion des syndikâlisses

La question n’est pas de savoir si la Loi 3 est, ou n’est pas légitime. Comme toutes les lois mur-à-mur, elle engendre sa large part d’iniquités et de déséquilibres. Malgré les beaux principes qui la sous-tendent, telle qu’on l’a présentée, cette Loi est à chier!

Qui plus est, le Ministre Moreau s’en pète modestement les bretelles, se disant tout aussi aussi infaillible qu’inflexible; il ne reculera pas. Du moins, c’est ce qu’il dit. Est-ce là un signe de santé mentale? Je serais porté à en douter… Il doit donc assumer – en partie – la responsabilité de l’escalade provoquée par la grogne des retraités et futurs retraités de la fonction publique.

Dans une société de droit, l’assemblée délibérante des élus revêt un caractère sacré, que cette bande de troglodytes en rut a violé avec une désinvolture et une arrogance qui frisent l’indécence. Ma réaction, à chaud, ce serait de les virer, du premier jusqu’au dernier. Ouf… Ronald Reagan [1], sors de ce corps!

C’est au nom de la démocratie qu’ils se sont déguisés en ados boutonneux? C’est au nom de la démocratie qu’ils se sont rendus coupables – du moins pour certains d’entre eux – d’agression armée contre  des élus? La démocratie est-elle devenue synonyme de lâcheté?

Cette tête-à-poils-blancs, que j’ai ajoutée au photomontage ci-dessus, n’était pas présente à l’intérieur mais le photographe l’a captée au cours d’une manif en réaction à la Loi 3. N’existe-t-il pas un règlement pour interdire le port des masques lors d’une manif? Et cette gang de sauvages – n’étaient-ils pas au moins 51? – qui se sont rués dans l’enceinte de l’Hôtel de Ville, est-ce qu’ils avaient fourni leur itinéraire à leurs ti-namis du SPVM? Pour ce que j’en sais, quelques individus devaient poser quelques questions aux élus mais le scénario a changé en cours de route sans qu’une seule crisse de police ne déclare la manifestation illégale.

Double standard au SPVM: où sont passées les matraques du printemps érable?

Le Téléjournal Montréal. Des images de la veille.  Le président de l’Association des pompiers de Montréal, Ronald Martin, joue au pyromane, s’empare d’un mégaphone et enflamme ses troupes: « On s’en va toute à l’Hôtel de ville pis on va essayer de rentrer, OK!« . Le syndikâliss troquera dès lors son costume de Néron [2] pour enfiler celui de Ponce-Pilate: scusez, on a perdu le contrôle! Bin oui, bin oui…

Affaires minissipales: une solution coderroise en vue?

Full avertissement

Peut contenir de l’écrapou et quelques réflexions pas si tant frivoles, passé l’aire des fariboles

Génial, ce Denis Coderre! Et dire qu’il n’a même  pas besoin de porter le déguisement du Denis Drolet à palettes pour projeter cette image d’intellectuel de haut niveau! Peut-être que j’ai pas le bon Denis Drolet, là. Bof! Des palettes ou un nique à poux, ça change quoi?

Sans nécessairement vouloir tirer du drame qui secoue Taïwan un profit qui pourrait paraître indécent, le bon maire Coderre a su faire d’une pierre deux coups.

Trois coups. Et même bien au delà de la simple trilogie.

Primo, ça va rendre fou de rage le p’tit Régis, qui aurait préféré pouvoir se débarrasser en douceur de offrir de nouvelles opportunités de carrière à ses propres cols-bleus syndicaleux. C’était à lui d’y penser avant.

Secundo, cette exportation de nos syndiqués promet d’alléger le fardeau fiscal des contribuables de Mourial, et tant  pis pour les ceusses de Régis-Village.

Le goujat de la semaine: Jeremy Searle, élu municipal

 

Ces petites bestioles, ce sont des agriles du frêne. Un parasite d’origine est-asiatique, introduit à Détroit et à Windsor depuis 2002, d’où il s’est lancé à l’assaut du Québec.

La grosse bestiole, Jeremy Searle, siège depuis novembre 2013 au Conseil de ville de Montréal, à titre d’indépendant. Il y représente le district Loyola de l’arrondissement multi-ethnique Côte-des-Neiges-Notre/Dame-de-Grâce. Secteur Sherbrooke/Cavendish, drette au sud de Côte-St.Luke. La signature est authentique. Le visage itou. Mais pas les flammes…

Lise Ravary fustigeait le bon monsieur – c’est un brave socialo-syndicaliste, born in Great Britain!  – dans son billet du jour: 

Haineux, Jeremy Searle ? Disons que ce n’est pas le mot que j’utiliserais pour le décrire. Stupide, irresponsable, irréfléchi, ou même carrément ding dong, crackpot… Et, pour qu’il me comprenne, ‘deeply offensive’.

Francophobe ? Probablement, même s’il parle français. Ce n’est pas la première fois qu’il dit des niaiseries patentées sur le fait français au Québec.

Comme on aura pu le noter ci-haut, l’inquiétude se lit dans les yeux du pauvre Searle, à la vue de ces séparatistes agriles voraces qui l’assaillent de toutes parts. Qu’il sente le besoin de se défendre des assauts de ces parasites immondes, quoi de plus normal!

Les élections minissipales, c’est fiiiniii!!!

À 20h25, avant que les médias mainstream n’en confirment l’élection, Homer Simpson publiait déjà ici ses premières impressions sur l’élection de Denis Coderre. Homer est un homme de peu de mots et un seul lui aura suffi: Shit!

Avec 31,8% des 40% d’électeurs qui ont exprimé leur choix, on ne peut pas dire que le gros Coderre a soulevé l’enthousiasme. Il a été élu avec l’appui d’un montréalais sur huit. Et parmi ceux qui ont voté, près de 7 sur 10 ont rejeté la candidature du bonhomme.

Que l’un ou  l’autre de Mélanie Joly, Richard Bergeron ou Marcel Côté ne  soit PAS candidat, et Coderre ne passe pas; la vaste majorité des appuis dont a bénéficié cet adversaire aurait été reportée sur l’un ou l’autre des non-Coderre restants. Bref, le Coderre l’a échappé belle et il peut dire Merci à la Joly Mélanie; si elle ne s’était  pas  présentée, c’est probablement Richard Bergeron qui aurait été élu à la mairie.

Que Mélanie Joly dispose d’une couverture médiatique équitable en début de campagne, ou que le scrutin soit tenu une ou deux semaines plus  tard – ce qui revient au même, et c’est elle qui aurait été élue à la mairie. Coderre ne l’avouera jamais mais il faisait campagne depuis 3 ans, mettant à profit son rôle et son (immense) visibilité à titre de maître-twitteur et de député fédéral pour laisser planer un doute savamment calculé sur des intentions réelles qui n’étaient qu’un secret de polichinelle.

Denis Coderre:

Trois ans en campagne plus ou moins avouée, visibilité +++ et… moins de 32% des suffrages exprimés. Au dernier sondage, 17 jours avant la date du scrutin, il obtenait 41%, et sa  plus  proche rivale, 23%. Depuis, l’écart a fondu de 2% par période de 3 jours; à ce rythme, il n’aurait pas conservé le lead encore très longtemps!

Surtout que le contenu de la marmite commençait à dégager de drôles d’odeurs en fin de campagne.

Mélanie Joly: