Quatre des 103 élus montréalais sont issus de minorités visibles. Un chiffre qui n’est pas représentatif de la diversité montréalaise critique des élus. Selon le recensement de 2011, 30% des Montréalais sont membres d’une minorité visible.
«Les élections municipales peuvent sembler encore loin, mais il est plus que temps pour les partis municipaux de se pencher sur la question de la représentativité du conseil municipal», mentionne Marvin Rotrand, conseiller municipal de Coalition Montréal [photo, ci-dessus]. – Amélie Pineda, Le Journal de Montréal, 18 janvier 2015
Non seulement les lecteurs du Hournal ont-ils déversé leurs vomissures racistes en réaction à cet article mais le modérateur dort au gaz, laisse publier les commentaires les plus abjects et refuse .
- C’est déjà trop !!!, a réagi Normand Smith
- @Normand Smith / 2016 et on a encore des gens racistes comme ça ! – Bobshine
- @bobshine / Qui est raciste, selon vous ??? – Mario Lafortune
- @Normand Smith / 2016 et on a encore des gens racistes comme ça ! – Bobshine
- Bien correcte comme ça….Bientôt les québécois seront sous représentés partout au Québec, et les Canadiens au Canada…..Heyyyy nos ancêtres ont travailler comme des malades pour défricher les terres….Ils nous restent des droits ????? – Kim Dup
- Compétences avant couleurs. Point. – Al Dek
- ni ce commentateur ni les 20 autres qui ont aimé son commentaire (dans le sens Facebook du terme) n’en sont peut-être pas conscients, mais il n’exprime ici que le mépris le plus abject à l’égard de ces estis de nègres, de juifs, d’arabes ou de z-yeux-bridés qui jettent le blâme de leur incompétence crasse sur les électeurs de souche qui refusent de voter pour des trous de cul de races!
Pierre Karl a beau jurer sur la tête de la Reine Bébeth qu’il n’a plus rien à voir avec la gestion au jour le jour de l’Empire Québecor, c’est quand même sous sa gouverne que les médias Québecor avaient claqué la porte du Conseil de presse du Québec, le 29 juin 2010.
À l’époque, Québecor avait jeté le blâme sur un soit-disant manque de rigueur intellectuelle du Conseil de presse. Mais, avec un peu de recul, il apparaît plutôt que ce claquage de porte avait été soigneusement planifié: Québecor cherchait simplement à se débarrasser de ce carcan que lui imposaient les normes de conduite adoptées par le Conseil de presse. Les grands stratèges de Québecor avait fait le choix de la poubellisation. Comme dans radio-poubelle… Lire la suite