J’aimerais savoir ce que les anciens journalistes Bernard Drainville, Pierre Duchesne, Jean-François Lisée, Raymond Archambault et Yves Chartrand, tous passés au PQ, pensent véritablement de la nomination de Pierre Karl Péladeau à la présidence du conseil d’Hydro-Québec.
Pierre Duchesne, pour un, a livré une bataille épique contre l’empire Péladeau, lorsque Québecor tentait d’envoyer des scabs à la Tribune de la presse de l’Assemblée nationale, pour remplacer ses employés en lock-out. Duchesne était le président de la Tribune. Il n’était pas tendre à l’endroit des tactiques de Péladeau. – Gilbert Lavoie, Le Soleil, 18 avril 2013
La bonne nouvelle pour ces politiciens ex-journalistes , c’est que si Pédalo est élu il va devoir abandonner la présidence du CA d’Hydro-Québec. La mauvaise, c’est que s’il est élu, le Parti Québécois risque de devenir le Parti Québécor.
La nomination de Pierre Karl Péladeau «entretient une désagréable impression de proximité entre le pouvoir politique et le pouvoir médiatique», a critiqué la Fédération professionnelle des journalistes du Québec. Son président, Brian Myles, estime être désolé pour les journalistes de Québecor sur qui pèseront des soupçons d’apparence de conflit d’intérêts. – Michel Corbeil, Le Soleil, 17 avril 2013
Les journalisses à Desmarais, c’est yinque des jaloux. Pédalo est un maître de la convergence et le jour où il aura remlacé Lady PoPo à la suite d’un putsch orchestré par le consortium TVA/LCN/Agence QMI/Sun Media/Le Hournalle de Q/Le Hournalle de Mourial, l’État pourra enfin se passer de ses attachés de presse et Québécor se chargera de tout. Gratos…
Anyway, le minisse Duchesne a confirmé qu’il est biiiiiin content:
Ne reste plus qu’à espérer maintenant que le Pédalor s’engage tout aussi courageusement pour la défense des droits des travailleurs de l’information et des travailleurs tout court. Lire la suite