Cé-t’y un nwézo? Naaan! Cé t’y un aéroplane? Naaan… C’est le juge Jacques Viens, nommé par Phil Couilard à la présidence de la Commission ″Écoute, Réconciliation et Progrès″, chargée d’enquêter sur la qualité des services rendus aux maudits sauvages.
Le titre fait un peu cucul. Entéka…
La commission se penchera sur toute forme de violence ou de pratique discriminatoire dans la prestation des services publics aux autochtones. Son mandat dépasse donc les seuls rapports entre policiers et Premières nations, et touchera la santé, le système de justice, les services correctionnels et la protection de la jeunesse. – Martin Croteau, La Presse, 21 décembre 2016
Pour ce qui est des relations entre la DPJ et les Algonquins d’Abitibi-Témiscamingue, – un domaine où ma pratique au quotidien m’aura permis de développer une certaine expertise, j’ai donné l’alerte dans un billet du 10 août 2010: sommes-nous coupables de génocide?
Ma réponse de 2010, c’était un OUI retentissant. Et je n’ai pas changé d’avis. Oooh, bien sûr, il faut bien protéger les enfants de la communauté, mais…
Que fera Jacques Viens de tout ceci? J’ai plaidé CONTRE Jacques, l’avocat, et j’ai plaidé DEVANT Jacques – le juge. Un ami. Un gentleman. Un bon chrétien. Et un homme de principes… même si c’est un Libéral plus rouge que le plus rouge des poissons rouges!