Le Conseil National du Parti Québécois se termine sur fond de mensonge.
Pauline Marois ne considère pas le projet de charte de la laïcité comme un outil pour mousser l’option souverainiste.
À l’issue d’un discours de clôture destiné à fait vibrer la fibre souverainiste de ses troupes, dimanche, la première ministre a affirmé qu’elle n’avait « vraiment pas fait d’adéquation entre la charte et la souveraineté ».
«La charte, elle n’a pas été déposée pour nous donner un avantage sur la question de la souveraineté. Je veux être très claire là-dessus», a lancé Mme Marois lors du point de presse organisé en conclusion du conseil national s’étant déroulé à Montréal au cours du week-end. – La Presse Canadienne (Le Devoir), 10 novembre 2013
Bin wèyons donc, jamais au grand jamais! Et Jos Électeur, bin… il a une poignée dans le dos, bien sûr!
Jos Électeur, il n’est quand même pas dupe à ce point là. Les sparages électoralistes, il en a vu d’autres! Et c’est quand même lui qui a inventé ces adéquations fumeuses – mises de l’avant par les sbires de Lady Po-Po – qui font de Parti Kébékwa et souveraineté des synonymes et de l’idée même d’indépendance une propriété intellectuelle du Parti.
Hors de l’Église cathopéquiste, point de salut!
Extra Ecclesiam nulla salus – St-Cyprien de Carthage. Hors de l’Église, point de salut.
C’est ce qu’on nous enseignait avant la prise du pouvoir par René Lévesque. Avant la prise du pouvoir par Jean Lesage. Au temps des dinosaures et de Maurice Duplessis. Au temps où l’Église québécoise et l’Union Nationale, c’était bonnet blanc, blanc bonnet.
On ne réinvente pas l’Histoire; c’est bien plus simple de la faire tourner en rond.