AVERTISSEMENT FORMEL: Ce billet est rédigé à la manière de Mike Ward. Alors, les sales mômes aux yeux globuleux, allez vous coucher, la lecture de ce billet, c’est pour les grandes personnes. Allez, ouste! Eille, toé, là, ma p’ptite crisse de face lette, je t’ai vu: DÉCRISSE!
- «Mike Ward était en train de détruire notre vie, j’ai beaucoup pleuré, j’ai même dû prendre des antidépresseurs. Mon mari était très fâché, il aurait voulu que ça se règle sur un ring.» -Sylvie Gabriel, mère de Jérémy
- «Ce que je fais est différent de l’intimidation, c’est une œuvre artistique devant un public consentant. L’humour noir n’est pas obligé d’être gentil.» – Mike Ward
- «Il y a une différence entre dire “ça fait de la peine” et “je t’amène en cour pour avoir de l’argent”.» – Mike Ward (citations tirées du Journal de Montréal, 24 février 2016)
De toute évidence, ce chancre mou à coiffe de coq en rut n’a rien compris; sa liberté d’expression artistique s’arrête là où commence le droit de Jérémy Gabriel à sa propre dignité. Bien sûr, dans le Hournal, la majorité des commentaires donnent raison à Mike Ward. Le Hournal, c’est pas Le Devoir…
Même après l’audition devant le juge, il persiste dans son délire: la victime, c’est pas Jérémy, c’est Mike Ward, persécuté par la cupidité du clan Jérémy! Lire la suite