L’Halloween est à nos portes et Dominic Maurais a revêtu son costume de morue en putréfaction.
Cette semaine, la gauche radicale a odieusement dépeint les hommes québécois comme des abuseurs nés.
L’extrême gauche rose a ressorti ses slogans haineux pour faire peur au monde. Et grâce au travail ordinaire des médias, la ″culture du viol″ passe pour un phénomène réel. Alors qu’en réalité, ce concept purement théorique tiré de bibles féministes des années 1970 ne s’applique aucunement au Québec.
[…] Traiter les Québécois d’abuseurs en série est une insulte grotesque, gracieuseté d’une poignée d’intégristes perpétuellement frustrées qui ont trop de temps libre – Dominic Maurais, le Hournal, 29 octobre 2016
Denise Bombardier – rendons à sa salade César ce qui lui revient, est plus nuancée… mais guère mieux informée: Lire la suite
Robert Benoit fut autrefois un gros nom dans l’organigramme du PLQ. Il en a dirigé la trésorerie et occupé la présidence à la fin des années ’80 mais, depuis quelques années ce jeune septuagénaire affiche sa dissidence face à certaines orientations avec lesquelles il n’est pas toujours d’accord au sein du Parti. En 2010, il comptait parmi les rares sympathisants Libéraux à réclamer la tenue d’une Commission d’enquête sur les relations incestueuses entre les donneurs d’ouvrage et ceux qui financent les partis politiques.
[intercalaire irrévérentieux, de type Question bête et méchante:
Une question, bête et méchante: si la gangrène n’avait pas atteint le coeur du PLQ des années Charest, pourquoi diantre le cabinet était-il si farouchement opposé à la tenue d’une enquête? Et comment les hautes instances du Parti ont-elles réussi à empissetter à ce point les militants que la proposition du militant Martin Drapeau n’a trouvé ni appui, ni même un secondeur au congrès de novembre 2010? Le Parti refusait même ne serait-ce qu’un débat sur la question. Pourquoi?
Bon OK, je m’arrête ici, déjà que j’en suis à 3 questions, moi qui ne devais en poser qu’une seule… ]
Robert Benoit a connu les années Bourassa, les années Ryan, et le début des années Charest. L’éthique rigoureuse sous Claude Ryan. et puis, heu… l’éthique élastique du gars qui traînait derrière lui les casseroles du Groupe Éverest, éclaboussé dans le scandale des commandites.
Le président de Groupe Everest, Claude Boulay, a grassement profité du programme des commandites. Entre 1994 et 2003, il a obtenu des contrats de commandites pour une valeur de 67,6 millions de dollars. À cette somme s’ajoutent 40 millions de dollars en contrats accordés par d’autres ministères fédéraux, dont 4 millions par le ministère des Finances, alors dirigé par Paul Martin.
Plutôt agacé, le Benoit – et c’est là un bien pâle euphémisme, par l’omnipotence de Marc Shockbéton Bibeau dans la moindre décision à connotation financière ou dans la moindre nomination dite politique qui puissent émaner de SON Parti. C’est d’ailleurs le communisse fémino-islamo-fasciste d’Amir Khadir qui, le premier, a dirigé les réflecteurs vers ce travailleur de l’ombre:
Il faut tout d’abord savoir gré au député Amir Khadir de Québec Solidaire d’avoir été le premier à soulever le voile sur les rapports étroits de Jean Charest avec Marc Bibeau. […] voici ce qu’écrivait Patrick Lagacé, blogueur-vedette du « quotidien de la rue St-Jacques » :
Daniel Breton a joué avec le feu. Et il s’est brûlé.
Le personnage m’est sympathique, je ne vais pas m’en cacher. L’homme est un passionné, et il parle d’abord avec son coeur plutôt qu’avec sa raison – ce qui ne veut pas dire qu’il en est dénué, loin de là. Sa fougue en a fait un polémiste. Un whistle blower. Un élément incontournable de la conscience collective des Québécois.
Toutefois, s’il a cru un seul instant pouvoir occulter un passé trouble sans coup férir, alors il aura fait preuve ou bien d’une naïveté navrante, ou bien d’un manque de jugement incompatible avec ses fonctions ministérielles.
Bref, il n’avait pas vraiment le choix de quitter. Lire la suite
Sept septembre 2011. Trois policiers, une foule hostile.
C’est l’affrontement.
La police de Montréal enquête sur une intervention musclée de ses agents, la semaine dernière, après l’apparition sur Internet d’au moins trois vidéos qui ont suscité l’indignation. Plusieurs se questionnent sur le comportement d’un policier qui a projeté une jeune femme contre un poteau alors qu’elle portait assistance à l’un de ses amis aspergé de poivre de cayenne. – Pierre-André Normandin (La Presse), 12 septembre
Un témoin raconte, sur le blogue de Patrick Lagacé: HowHow, 12 septembre, 0h44
J’étais présente et le contexte était loin d’être dans un bar. Il était environs 23h15 et c’était à la suite d’une projection d’un court-métrage qui avait lieu sur Saint-Laurent. Tout ça, pour une canette de bière…Le jeune homme buvait une canette sur le trottoir …Tout ça pour une canette de bière…
Cette jeune femme ne résistait pas à son arrestation. Elle ne commettait pas un geste illégal. Elle n’était ni armée, ni menaçante, ni violente. Elle portait secours, tout simplement, comme l’article 2 de la Charte des droits et libertés du Québec lui en fait obligation [1]. Mais la Charte, c’est pas nécessairement la tasse de thé de nos forces patibulaires constabulaaires, scusez! Interrogé par Anne-Marie Dussault dans le cadre du journal du midi de la SRC, ce 13 septembre, un représentant de la Fraternité des policiers (Yves Francoeur) affirmera, au contraire, qu’elle faisait illégalement obstacle à l’arrestation d’un tiers.
De nombreux patrouilleurs du SPM convergeaient vers la scène, comme en font foi le bruit des sirènes et l’image des gyrophares sur le clip qui suit. C’est à 01:28 que les affaires se gâtent. La brute en uniforme empoigne sauvagement la jeune femme, alors accroupie, et la projette violemment contre une borne de parcomètre, avant de s’en retourner prêter main forte à ses collègues sans même jeter le moindre regard de compassion sur la jeune femme. Malgré les cris qu’il ne pouvait pas ne pas entendre…
Prêter main forte à ses confrères… qui avaient eux-mêmes projeté tout aussi violemment cet autre individu sur le sol.
Dans le cas de ce deuxième individu, je m’abstiendrai de commenter. Ce qui me préoccupe au premier chef, c’est la conduite du policier à l’égard de la jeune femme projetée sur la borne de parcomètre… et la réaction des internautes!
Patrick Lagacé
Je me contenterai de citer ici un extrait de son billet, et d’en commenter un bref extrait. Pour le reste, je partage son indignation:
Ce qu’aucun contexte ne peut justifier, c’est ce policier qui agrippe la jeune fille qui s’est portée au secours du gars poivré. Qu’il la manipule pour la déplacer, ça va : les agents ont affaire à parler au jeune poivré, ça ressemble à une arrestation imminente.
Mais qu’il la balance face première — c’est à 1:28 — sur une borne de stationnement est injustifiable : la citoyenne n’est absolument pas une menace. Elle n’a pas obéi dans la seconde au policier qui lui disait de se déplacer ? Rien qu’un policier bien entraîné et bien équilibré ne peut pas surmonter sans jouer à Robocop, comme s’il venait de tomber sur un dangereux Hells Angels.
Regardez la séquence : le flic prend la fille par les bras, la met devant lui prend deux, trois pas et la pousse sur la borne. S’il n’a pas visé pour qu’elle se ramasse face première sur l’objet, je suis le dalaï-lama.
Ah bon! Peut-être qu’il se prend pour le Dalaï-lama, le Lagacé, après tout! Lire la suite
Ce 31 août, Jean-Luc Proulx « sort ses poubelles » et me fait l’honneur de citer mon blogue parmi les 10 pires torchons de la blogosphère.
10) Papititebite: blogue-poubelle d’un Hétutistananais, d’un faux avocrasse incohérent qui diffame plus vite que son ombre…
C’est la consécration! Un mois à peine après la publication de mon premier billet, le gros Jean-Luc (la rumeur veut qu’il pèse 243 kg et qu’il ait été banni de certains ascenseurs de Québec-région) déroule le tapis brun, parsemé de vomissures, d’éjaculats, de pisse et de marde molle.
Excellent timing, par ailleurs; le jour-même où le Commissaire Bastarache légitimise ma description de l’état du droit quant à la mutation du statut de simpletémoin vers le statut de participant, pour Marc Bellemare, Proulx me qualifie de faux avocrasse. Merci, Jean-Luc, tu ne pouvais choisir meilleur jour que celui-là pour te ridiculiser une fois de plus.
En guise de remerciement, je te consacre une page de mon bêtisier. Une page à toi tout seul.
Voilà, c’est ta fête. Mon cher Jean-Cule, c’est à ton tour…
Un portrait complaisant?
En guise d’introduction, voici de cet inculte, analphabète et grossier personnage une description grasse et juteuse qui demeure toutefois largement en deçà de la réalité, mais il faut bien commencer quelque part.
L’auteur porte le pseudo de JLPestobese – bin oui, JLP est obèse! Tu parles d’un pseudo qui parle, toé!
(9 février 2009, 12h34): Après avoir répandu son fiel sur cyberpresse, s’être fait fermer un blogue, le voilà maintenant à parcourir le web, à la recherche de kekchose à dire sur Montréal.
JLP sera notre prochain Marc Lépine, mark my words. Ce gars-là est profondément dérangé et paranoiaque. Lire la suite