La chef du Parti québécois, Pauline Marois, souhaite qu’un Québec indépendant conserve le dollar canadien et dispose d’un siège à la Banque du Canada.
[…] Mardi, la chef péquiste avait affirmé que les biens et les personnes pourraient circuler librement entre un Québec indépendant et les provinces canadiennes.
Mme Marois a refusé de préciser comment cet objectif serait atteint, mercredi, mais elle s’est exprimée favorablement pour le maintien du dollar canadien, une position précisée dans des documents du Parti québécois. – Alexandre Robillard, La Presse Canadienne, 12 mars 2014
Évidemment, l’homme à la voix de crécelle y est allé de ses commentaires abrasifs, dont celui-ci, extrait de sa page Facebook:
Sieur Duhaime de Hurlevent se nourrit pourtant aux mamelles du candidat avec le bras dans les airs et les larmes à l’âme. Si on a cessé de le lire dans les deux Hournalle (de Q et de Mourial) en 2012, Frisé Dumaime signe toujours sa chronique dans le Toronto Sun.
The media tycoon did not jump into politics because he agrees with his new colleagues on environmental or labour issues. […]
PKP is running for the PQ simply because he wants Quebec to become an independent country, as he told us with his arm in the air and his eyes nearly wet with tears.
The new de facto true leader of the separatists will push hard for a referendum within the next few months if the PQ wins a majority of seats on April 7.
Like it or not, his candidacy has realigned the political landscape and seriously threatens the future of Canada as we know it today.
Entéka, si Péladeau est devenu de facto le chef du Parti Québécor comme l’affirme Duhaime, disons que belle-maman PoPo lui a servi une rebuffade plus ou moins discrète. Pas sûr que le gars a apprécié, lui dont l’humilité n’est pas la marque de commerce…
«Je vais répondre à ça», lance Mme Marois, repoussant légèrement son candidat-vedette alors que celui-ci s’avance pour répondre à la question. Huff Post (extrait vidéo), 13 mars