Je me permets de reproduire ici un texte publié dans La Presse + en cette journée anniversaire du plusse beau pays du monde, dont on célébrait le 11 janvier dernier le bi-centenaire de la naissance de son père fondateur, Sir John A., le plus abject raciste dont on puisse imaginer qu’on puisse encore le célébrer.Et pourtant, les deux blondes qui assurent la co-animation de la grande Fête du Canada à la CBC belingouale osent qualifier ce porc de grand visionnaire!
D’ailleurs, le sketch qu’on nous a présenté en hommage à Sir John ne confirmait-il pas l’exclusion des Premières Nations dans ce pays qui naissait? Français, Anglais, Écossais, Irlandais, Catholiques et Protestants, tous unis dans une oeuvre commune, ai-je entendu. Ouin, pis les Sauvages, messieurs, vous saviez pas qu’ils étaient là, déjà, en 1867? Shame on you!
Cette année, c’est également le cinquantième anniversaire de notre plusse beau Canadienne flague. Let’s celelbrate!
Ce texte, j’y adhère entièrement.
Je n’ai pas l’âme à la fête
Depuis neuf ans, son gouvernement cache ses largesses aux 1 % les mieux nantis en lançant la veille du scrutin des bonbons aux autres 99 %. Il impose le bâillon sur le débat des projets de loi. Il le rend impossible en les dissimulant dans des budgets mammouths qui accroissent l’inégalité. Il rend difficile l’accès à l’assurance-emploi, en déshabille les cotisants pour nipper ses bilans. Il dissout les groupes consultatifs, met fin au financement public des partis politiques. Lire la suite