L’Halloween est à nos portes et Dominic Maurais a revêtu son costume de morue en putréfaction.
Cette semaine, la gauche radicale a odieusement dépeint les hommes québécois comme des abuseurs nés.
L’extrême gauche rose a ressorti ses slogans haineux pour faire peur au monde. Et grâce au travail ordinaire des médias, la ″culture du viol″ passe pour un phénomène réel. Alors qu’en réalité, ce concept purement théorique tiré de bibles féministes des années 1970 ne s’applique aucunement au Québec.
[…] Traiter les Québécois d’abuseurs en série est une insulte grotesque, gracieuseté d’une poignée d’intégristes perpétuellement frustrées qui ont trop de temps libre – Dominic Maurais, le Hournal, 29 octobre 2016
Denise Bombardier – rendons à sa salade César ce qui lui revient, est plus nuancée… mais guère mieux informée:
Certes, nombre de gens ont tendance à sous-estimer les agressions sexuelles, à les nier ou à vouloir les envelopper dans un silence criminel.
Mais le Québec ne repose pas sur une culture de viol que l’on retrouve dans plusieurs continents, là où les femmes sont considérées comme légalement ou socialement et individuellement inférieures aux hommes. – Denise Bombardier, le Hournal, 28 octobre
Peut-on nier qu’il existe au Québec une culture anishinaabè? Certes, il y en a bien peu de traces visibles dans les grands centres urbains mais chez moi, cette culture est omniprésente. Anishinaabè? De kossé? C’est à dessin que j’ai choisi ce terme générique, totalement inconnu au Québec à l’extérieur des régions où cette culture est bien vivante… A.L.G.O.N.Q.U.I.N.S, disent la plupart des Québécois de souche…
Niera-t-on qu’il existe au Québec des foyers bien structurés de culture juive? Certes, personne n’a jamais vu un Juif-à-boudins au pays de Là-Là Tremblay ou à l’intersection du Boulevard Arthur-Buies et de l’Avenue de la Cathédrale à Rimouski. Pourtant, quiconque aura traîné ses savates dans le secteur Bloomfield /St-Viateur de l’arrondissement Outremont, vous dira que des Juifs ultra-orthodoxes, il y en a partout. À chaque porte, sa mezuzah.
Parce que le Québec ne repose pas sur cette culture hassidique, le raisonnement de Bombardier conduit pourtant tout droit vers la négation pure et simple de son existence.
Il n’est pas nécessaire que la culture du viol ait contaminé le cerveau d’une majorité des mâles du Québec pour que son existence soit confirmée, aussi minoritaire soit-elle. Il suffit de quelques dizaines (quelques centaines?) de trous-de-culs purulents pour remplir les médias sociaux et les forums de leur odeur nauséabonde.
La culture du viol n’existe pas au Québec? La réaction de certains lecteurs des blogues de la Morue et de la Denise contribue pourtant largement à démontrer que bien au contraire, cette culture se porte très bien chez nous.
Ainsi donc, commentait ce Jacques Cloutier chez Dom-la-Morue, le pauvre mâle sera toujours trouvé coupable, peu importent les faits. Mais peut-être cet éminent juriste aura-t-il oublié qu’en matière d’infractions à caractère sexuel, l’acquittement sur la base du doute raisonnable est la règle, et le prononcé d’un verdict de culpabilité est vraiment l’exception.
En plein dans le boulezagg? Heu… bullzagg? Wèyons… Aaaah, je l’ai: BULLSEYE!
Au lieu d’animer le Défi Miniputt à RDS pis de crier Biiiiiirdie!, Serge Vleminckx aurait donc du animer des tournois de dards pis crier Buuuuuulseye! Avec des grosses lettres jaunes qui flashent dessus l’écran. Pas de sa faute, le téteux de morue, il écrit au son! Cé vrai que les téteux de morue, ils ont moins d’instruisance que le vrai monde!
Généreuse contribution à la cause des J.U.S.T.E.S!
C’est qui, ces J.U.S.T.E.S-là? Sûrement pas les électeurs de Justin Junior Trudeau! Je voi pas autre chose que l’Assemblée Souveraine des Gros Tas de Graisse Lubrique, ce groupe de pression occulte qui prône l’enchâssement dans la Constitution Canadienne du droit à l’agression des femelles.
Faudrait que je me souvienne d’appeler mon psy pour un rendez-vous, la Médaille à deux faces dit que je serais un peu fêlé… À vérifier!
Le niveau de connaissance et la capacité de raisonnement ne sont guère plus édifiant sur le blogue de Bombardier.
Celui qui a vraiment frappé dans le bullseye, c’est ce Jean Gilbert. Bombardier a sa propre définition de la culture du viol, la Maurue a la sienne, et y a la définition des carrés rose bonbon, la définition des carrés rose pur et dur, et il y a une définition plus ou moins constante qu’ont adoptée les universitaires.
Si les uns définissent la couleur orange comme un intermédiaire entre le rouge et le jaune, faudrait pas que les autres estiment que la couleur d’une citrouille déguisée pour l’Halloween, ça s’appelle MAUVE. Ou VIOLET. Ou POURPRE, parce qu’on leur a enseigné que la couleur qui résulte d’un fondu de jaune et de rouge, en français, ça s’appelle VIOLET.
Une pioche, MOMY DEUX, a ramassé Jean Gilbert sans trop de ménagement:
Mais ça n’était pas terminé entre ces deux-là:
Bien sûr, tous les mottés de la terre font et refont les articles du Wiki. Tout le monde sait ça, tout le monde fait ça. Quand je consulte wiki, j’ai pris depuis longtemps l’habitude d’en contre-vérifier l’authenticité d’un échantillon de quelques-unes des sources citées en bas de page. Momie préfère rejeter d’emblée; c’est tellement plus commode… Le lien Wiki auquel a référé Jean Gilbert.
Je préfère pour ma part m’en remettre à la définition fournie par la Southern Connecticut State University. Ou au point de vue de la sexologue Jocelyne Robert.
On n’agresse pas une femme parce qu’on est fou d’elle ou parce qu’on a une libido d’enfer. On agresse une femme parce qu’on est aveuglé par son propre pouvoir, et qu’on considère la femme comme un objet à assujettir à ce pouvoir.
[…] Derrière la culture du silence se cache la culture du viol. Derrière les propos qui tentent de saloper les victimes, de les responsabiliser et de les décrédibiliser se cache la culture du viol. Derrière l’inertie de nos décideurs et de nos politiques pour contrer ce fléau se cache la culture du viol. Les pro culture du viol qui s’ignorent, ou qui font mine de s’ignorer, vont se jeter sur les Alice comme des chacals. – Jocelyne Robert, Le Huffington Post, mis à jour 27 octobre 2016
Entre la définition de Wikipedia, le tableau brossé par la Southern Connecticut State University et l’opinion professionnelle de la sexologue Jocelyne Robert, que des points de convergence. Même si leur angle d’attaque diffère, la définition est invariable.
Éric Duhaime
Je n’ai pas pu m’empêcher de le citer, celui-là, d’autant plus que, par ses propos, il a vraiment atteint le fond des abysses.
«C’est parce que, à ce que je sache, si une fille pense que tu la regardes comme un morceau de viande, c’est un viol, donc est-ce qu’on peut violer quelqu’un avec nos yeux? Est-ce que le fait de dire que l’on devrait barrer nos portes c’est l’équivalent de supporter (sic) le viol?
(…) Laisse tes clés dans ta voiture, laisse ta porte débarrée, fais-toi voler ta voiture pis parle à ton assureur pour voir comment qu’il va réagir, pis y’a rien à voir dans culture du viol. Pis y va t’dire: « regarde mon homme, t’as une responsabilité. Le criminel qui t’a volé ton char va être aussi coupable, pis y va aller en dedans, pis y’avait aucune affaire à te voler ton char, mais toi, parce que t’as pas barré ta porte, il va quand même te sanctionner.« » – propos tenus le 20 octobre au FM 93 (Québec, pendant l’émission Duhime Drainville,tels que rapportés dans le Huff Post
Ces propos, je les ai moi-même entendus en direct au FM93; Drainville a manifesté un déplaisir assez sonore…
En plus d’essuyer les critiques de son co-animateur, Macho Man Duhaime s’était fait ramasser par le chroniqueur Patrick Lagacé -et c’est d’autant plus amusant que cette semaine-là, Lagacé et Duhaime présentaient l’un à la suite de l’autre un commentaire politique vers 17h10 sur les ondes du 98,5 à Montréal.
On trouve ça sur la page Facebook de Lagacé:
Comparer une agression sexuelle à un vol de voiture, c’est un raccourci intellectuel risible. […] Quelqu’un qui ose comparer un viol à un vol de char fait la preuve qu’il ne prend pas trop, trop la peine de parler à des êtres humains avant de faire son show dans son micro. Il devrait.
Ce commentaire sur la page de Lagacé constitue un reflet assez fidèle de l’opinion générale; faut dire que les lecteurs de Lagacé sont plus ″allumés″ que les téteux de Morue qui fréquentent le dépotoir Péladeau.
Salut Papi, dans voici ma première et problement unique intervention. Quand on défini quelque chose étant de l’ordre de la culture on réfère à un phénomème qui couvre la majorité de la population c’est à dire 50% de la population. En bas de 50% on réfère à une sous-culture ou une tendance.
Dans le cas qui nous intéresse, il faudrait qu’il y ait au moins 50% de la population qui pense que le viols est quelques choses de socialement acceptable ou peut être justifier dans circonstance particulière. Hors il y a un sondage effectuer qui dit que 30% des hommes (15% de la population général) qui serais prêt à commettre un viole si c’était légale. C’est énorme, mais pas assez pour que l’on puisse parler de culture du violes. Nous pouvons plus parler de sous-culture « underground” au même titre que les diverses forme nazismes et de fascismes quoi que plus populaire.
De plus, la culture du viols se réflètes dans les institutions des pays où elle est présentes, soit par l’absence de loi, soit par un laxisme extrème des autorités face à la question ou par des sentence ridicule lors des condamnations.
Toutefois, je dois admettre que la popularité de cette sous-culture est assez inquiètante et elle impose de donné des cours d’éducation sexuels le plus tôt possible quitte à faire sacrée les puritains.
Ps. Sur les cas spécifique, vous ne verrez jamais me prononcer, c’est le travail des tribunaux et je prendrait pas positions avant que le verdique ne soit rendu publique.
@ Alain
Alerte: épidémie de TÉTRAPILECTOMIE !!!
As-tu lu cette partie du billet où j’ai invité au partage d’une définition commune de l’expression ‘culture du viol’?
Qu’on appelle ça la culture du viol ou l’acceptation par une proportion significative des individus de sexe masculin de l’un ou de plusieurs des situations répertoriés sur la page https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_du_viol , le phénomène existe et il faut le nommer, sinon, il y aura toujours un dialogue de sourds.
By the way, l’expression ‘l’acceptation par une proportion significative des individus… bla bla’ va elle-même faire l’objet d’une contestation en règle, en raison d’une mésentante prévisible entre tétrapilectomistes: qu’entend-on par proportion significative? 4%? 4,34% 6,00%, 6,53%, 10%? 20%? 27,84%, 37%?, 46,83%?, 50% plus un?
Je te demande pas d’enregistrer un plaidoyer – coupable ou non coupable, je te demande d’adhérer à une définition commune, afin que tout le monde puisse se comprendre.
Si on s’obstine pendant 50 ans pour savoir si une rivière est polluée, on ne fera jamais rien pour enrayer ce que les uns appellent le PROBLÈME et que d’autres appelleront plutôt une simple MENACE (immédiate? éloignée? lourde de conséquences, ou juste un tit-peu moins lourde?
Enweille mon chum, on délibère sur la définition de CULTURE DU VIOL, et pendant qu’on délibère à la demande d’Alain Chicoine, d’autres agresseurs sévissent sans qu’on lève le p’tit doigt, puisque on a pas encore commencé à se demander à quelle hauteur il faut le lever pour être reconnu comme ‘LEVEUR DE P’TIT DOIGT’
= = =
Tu la prends où, Alain, TA définition du terme ‘CULTURE’?
La maison LAROUSSE, qui publie des dictionnaires depuis 160 ans, propose sur son site une définition à plusieurs étages, dont tu devrais t’inspirer. Je cite:
3) Ensemble des phénomènes matériels et idéologiques qui caractérisent un groupe ethnique ou une nation, une civilisation, par opposition à un autre groupe ou à une autre nation : La culture occidentale.
4) Dans un groupe social, ensemble de signes caractéristiques du comportement de quelqu’un (langage, gestes, vêtements, etc.) qui le différencient de quelqu’un appartenant à une autre couche sociale que lui: Culture bourgeoise, ouvrière.
= = =
Si j’en crois LAROUSSE, à qui il me faut reconnaître une certaine expérience, la CULTURE DU VIOL, ce serait donc un ensemble de signes caractéristiques du comportement de quelqu’un. Ici, il y a plusieurs QUELQU’UN qui s’additionnent les uns aux autres.
Si j’en crois Alain Chicoine, il n’y a ni culture anglophone, ni culture musulmane, ni culture juive, ni même de culture CATHOLIQUE au Québec, puisque ni les Anglos, ni les musulmans, ni les Juifs, ni les catholiques pratiquants ne sont majoritaires.
Si j’en crois Alain Chicoine, il n’existe aucune culture religieuse 0 quelle qu’elle soit, aux USA, puisqu’aucun groupe religieux n’est majoritaire. Le Bible Belt? Impossible que ça puisse exister, puisque les cathos, les Baptistes, les Méthodistes, les Anglicans, les Évangilistes, les Saints du Dernier Jour (name it!) sont TOUS minoritaires!
Et tout le monde a beau écouter de la musique anglo sur son iPod, sur son iPhone, sur Deezer, Spotify, Apple Music ou YouTube, la culture anglo est absente du Qc puisque les anglos sont largement minoritaires.
La culture de la chasse existe-t-elle en Abitibi? Une semaine après l’ouverture de la chasse, tuauras beau trouver une carcasse d’orignal dans la boite de 75% des trucks ou un panache su’l hood, t’auras beau voir plein de dossards orange sur des chemises de bûcheron dans tous les dépanneurs pour acheter leur caisse de 24, la culture de la chasse n’existe pas puisque c’est pas vrai que 50% PLUS UN de la population abitibienne rentre dans le bois.
Alain Chouinard, t’es un sacré farceur!
@ Alain
Penser que le viol est socialement acceoptable, c’est pas ça, la culture du viol. Très rares sont les trous de cul qui considèrent que le viol est socialement acceptable. Éric Duhaime ne pense pas que le viol est socialement acceptable, mais quand il affirme sur les ondes du FM93 à Québec que les filles qui ont subi une intrusion ou pire, une agression au Pavillon Parent de l’Université Laval n’avaient qu’à fermer leur porte à clé, c’est ABSOUDRE l’agresseur et intrus.
Minimiser la responsabilité du violeur, ça fait partie de la culture du viol. Éric Duhaime n’est pas équipé pour commettre le viol d’une fille. Ai-je insinué quelque chose? Non; je dis qu’il pèse même pas 60 livres quand il sort de sa douche! Mais il est imprégné jusqu’à l’os de la culture du viol.
Alain, je serais porté à affirmer que tous ceux qui nient qu’il existe une culture du viol aident à faire pousser une forêt où iront s’abriter les prédateurs sexuels.
PAPITIBI ,
Papi , avant dernier paragraphe vous dites : La Culture de la chasse existe-t-elle en Abitibi ?
Je ne sais pas , mais j’ai déjà été rider sur la Kénojavis , on était 4 dans le bateau et on a pogné une Pitounne en montant vers Mont-Brun.
Par contre je viens de voir une émission voila quelques jours Enquête je crois où on a causé du lac Saumon , des Algonquins et des pensionnats , ÇÀ , c’est dégueulasse , je n’ai pas été au pensionnat , on avait besoin de moi à la ferme , mais j’ai des souvenirs de ceux qui ont été.
Un jour j’ai écrit : pourquoi ne pas légaliser la prostitution près des Gouvernements surtout , là , du Municipal au Clérical?
Que se passait-il au temps de J/sus-Chrits ? Yeinck des party au vin et à l’encens qui tournait en »ORGIE » , bien à eux les ZÉLUS , et qu’ils aillent tous au CIEL………..
Jean-Marie De Serre.
Par PAPI. Correction mineures; c’est la rivière KINOJeVIS, pas KinojAvis, et en langue anishinaabè ça veut dire ‘mauvais brochet’. Et c’est pas le Lac Saumon, mais le Lac SImon.
@PAPITIBI ,
Monsieur Papitibi , merçi une autre fois pour les correction.
Bonne journée ,
Jean-Marie De Serre.
Ah, Dominic Moron, Jérôme Landru, Denis Gravol, Jeff Filou, Carl Mauviette et sa machine à sucer, Éric Duhaine alias RognDudu; les représentants de la radio-guano! Ils font partie des exemples qui prouvent l’existence de la culture du viol et plus ils nient, plus la preuve est évidente.
Probablement la seule chose de bon, cette prise de conscience sur les agressions sexuelles, qui sera sortie de la campagne de Trump, à son corps défendant, mais tout de même.
J’ai l’impression qu’on a pas fini de prendre connaissance d’agressions commises par des riches et célèbres, ou simplement des gens de pouvoir. La dernière en date, celle de Hitchcock sur Tippi Hedren. Un autre qui se fait déboulonner.
Celle d’Hitchcock était suspecté depuis bien plus longtemps qu’on pense. Déjà dans les années 70, son biographe Donald Spoto avait parlé de cette histoire entre Hitchcock et Tippi Hedren.
@Mathieu
Ça m’a fait bizarre de lire cette nouvelle sur Hitchcock avec des détails que Tippi Hedren n’osait pas divulguer tellement ils sont scabreux, lui qui avait l’air d’un bon bougre, je trouvais qu’il ressemblait à monsieur Magoo.
@ Mathieu et Spritzer
Je ne suis pas [‘showbiz addict’] mais comme j’avais étudié The Birds et l’oeuvre de Hitchcock au Collège dans le cadre d’un cours de cinéma, je m’intéresse toujours au sujet, quand je vois passer un topo.
Or j’ai lu il y a un certain temps déjà que de fins connaisseurs s’interrogeaient sur la disparition soudaine et ‘inexplicable’ de Tippi Hedren dans l’oeuvre du bonhomme. Évidemment, ils avaient échafaudé des hypothèses et ma foi, ça ressemble pas mal à ça!
À vrai dire, c’était la seule explication plausible…
@Papitibi
Je pense que « Marnie », tourné après The Birds, est leur dernière collaboration et dans ce film Tippi Hedren se fait violer…
Un grand réalisateur, mais un pas si grand individu.