4 commentaires sur “Alice au pays des corneilles phallocrates [ajout 27 octobre]

  1. Michel Hébert, un autre scribouillard néocon du « Jounal de Mouial » qui ne sait pas encore ce qu’est une agression sexuelle.

    En passant, Pierre Trudel n’est plus au « Jounal » mais au Devoir. Ce qui n’excuse pas Michel Hébert pour autant, surtout quand il insulte dans la section commentaires ceux qui ne pensent pas comme lui.

  2. @ Mathieu

    Merci pour l’info concernant Pierre Trudel, qu’il me semble pourtant avoir lu il y a quelques semaines à peine dans les pages du Hournal.

    Pas toujours d’accord avec lui mais comme nous avons la même formation, lui et moi, ça multiplie la convergence des idées! 😉

    Au décès de Jean Lapierre, Michel Hébert [1] avait fait quelques topos au 98,5, à l’émission de Paul Arcand, à Montréal; il avait entre autres bien interprété la volonté d’un certain Pierre de lui donnner accès en primeur à des documents qui seront utilisés dans le procès Nathalie Normandeau et des 6 autres – une manoeuvre d’on ne sait trop qui, visant à faire avorter le procès. Au profit de qui?

    Il n’est pas toujours « épais » mais là, il s’est vraiment surpassé!

    __________
    [1] Je pense bien que c’était lui mais pas sûr à 100%

  3. CONFESSIONS D’UN DANGEREUX PRÉDATEUR

    C’était autrefois, en un autre siècle, bien avant les X, les Y et les Z. Deux tranches de vie tirées de mon vécu avec mamzelle ma fiancée.

    C’était l’hiver. Fiancée et moi, nous marchions sur un trottoir du Boulevard Rosemont, quelque part entre Pie IX et Bourbonnière, comme deux amoureux qui se lancent des balles de neige et se projettent l’un l’autre dans cette congère bien moelleuse qui bordait le trottoir. Soudain, la sirène d’une auto-patrouille retentit derrière nous, les gyrophares se font menaçants, et un policier nous interpelle. Mademoiselle, avez-vous été molestée? Merde! Ils m’ont vu pousser Fiancée dans la neige molle, ils m’ont vu l’aider à se relever, et ils l’ont vue, elle, me pousser dans la neige à mon tour. Bin oui, m’sieu l’agent, on est en train de se battre! Come on!

    C’était la première fois où on m’a pris pour un agresseur.

    La deuxième fois, c’était dans un autobus 197, encore une fois sur le Boulevard Rosemont; j’étais allé quérir Fiancée chez ses parents et nous nous rendions probablement au cinéma. Elle et moi, nous étions remplis de cet enthousiasme juvénile qui anime les amoureux. Seuls au monde. Seuls avec le chauffeur, un ado boutonneux assis à l’arrière du bus, et une vieille pie à l’air sévère, trois ou quatre banquettes derrière nous, de l’autre côté de l’allée centrale.

    On s’embrassait mouillé, les yeux fermés, quand soudain des coups de parapluie se sont abattus sur moi. C’était la vieille grébiche… La vieille devait avoir 40 ans – l’âge qu’a aujourd’hui mon fils aîné! Quarante ans, à l’époque, j’trouvais ça vieux! Pssst, mon paternel, lui, il avait septante ans, comme disent les méchants Wallons. et cet âge-là, Batême, j’y suis presque!

    Apparence que les moeurs ont beaucoup évolué ces 45 dernières années!

  4. « On s’embrassait mouillé, les yeux fermés, quand soudain des coups de parapluie se sont abattus sur moi. C’était la vieille grébiche… La vieille devait avoir 40 ans »

    C’est un voie de fait commi avec un parapluie par une femme sur un homme.

    Et dire qu’elles sont supposées êtres toutes des Sainte-vierges.

    Par PAPI: On pourrait appeler ça des « voies de fait », oui, mais à vrai dire, le jeune étudiant en droit et la déesse flamboyante qui l’accompagnait avaient éclaté d’un rire sonore qui avait vraiment décontenancé cette ‘vieille’ coincée à l’aube de la quarantaine!

    Elle devait être jalouse, la madame. Faut dire que quand il avait 22 ou 23 ans, toutes les filles se tournaient vers ce jeune homme élégant et tellement séduisant avec ses yeux d’un bleu profond! Quand à la jeune fiancée, avec ses yeux qui tiraient sur le vert et ce sourire à faire fondre la banquise…

    La pauvre dame s’était sans doute sentie investie de la mission divine de préserver la décence et les bonnes moeurs. D’ailleurs, entre nous, je vais réagir comment, moi, quand je serai confronté au spectacle d’un ado boutonneux qui embrassera l’aînée de mes petites-filles sous mes yeux? Elle a 15 ans, c’est sûrement pour bientôt!

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